Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Quartiers - Page 35

  • Cheratte : Quel avenir pour le château Saroléa ?

     

    cheratte-sarolea.jpg

     

    Le Conseil Communal a pris acte à l’unanimité le 21 octobre 2013 du  PROGRAMME COMMUNAL D'ACTIONS 2014-2016 en matière de logements. La ville doit en effet 2 fois par législature décrire en général et en particulier la politique qu’elle souhaite mettre en œuvre dans le cadre du décret « ancrage communal du logement ».  Dans ce programme figurait un projet novateur, à savoir la création possible d’un Community Land Trust au Château Sarolea, situé à Cheratte-Bas. Ce château classé, mais dans un état déplorable, fait partie du périmètre de requalification du quartier souhaité depuis longtemps par la ville.

    Pour rappel aussi, le site du charbonnage vient de faire l’objet d’une acquisition par la SPI après une procédure d’expropriation judiciaire, avec l’aide de la Région wallonne dans le cadre du plan Marshall 2.Vert.  

    En ce mois d’avril 2014, il nous revient que la Région Wallonne soutiendrait le projet relatif au château Saroléa.

    Notre vision, reprise à ce stade par la Région, est que pour attirer des capitaux privés nécessaires au redéploiement de cette zone, les pouvoirs publics doivent investir massivement d’abord et montrer par là-même le réel potentiel de développement de la zone. 

    Qu’est-ce qu’un Community Land Trust ?  Il s’agit  d’une association de partenaires dont l’objectif est de permettre à des familles à bas revenus de devenir propriétaires d’un logement en séparant la propriété du sol de celle du logement.  En restant propriétaire du terrain, le CLT permet aux familles d’acheter seulement le bâtiment à un prix nettement plus abordable.

    Les droits des propriétaires dans un CLT sont particuliers dans le sens où ils ne sont propriétaires que du bâti et, en cas de revente, ils récupèrent un maximum de 25% de la plus-value, le solde étant rétrocédé au CLT. Ce mécanisme favorise ainsi la revente du bien à prix abordable, par la CLT, à une autre famille à faible revenu.

    La première étape consistera à étudier l’opportunité et la faisabilité de devenir propriétaire du site et d’y envisager une mixité de fonctions (sociales, culturelles et/ou économiques) et une mixité de logements.  Le parc du château sera dédicacé à un jardin collectif et communautaire.

    Si le projet CLT est intéressant, c'est surtout l'opportunité de voir le Chateau Sarolea restauré qui nous réjouit. Nul doute que ce sera une avancée positive pour Cheratte. Les prochains mois seront décisifs.

    Dans l’immédiat, avec l’accord de la SPI, il n’est pas exclu que la population puisse visiter une dernière fois le charbonnage avant les démolitions des parties qui ne seront pas conservées.  J’aurai l’occasion dans les semaines qui viennent de communiquer plus précisément sur cette suggestion.

    Communiqué de :

    Luc LEJEUNE

    Echevin du Développement territorial, de la Mobilité et de l'Entretien   

     

     

     

  • Cheratte-Haut : Jeunes Talents 2014

    philimg317.jpg

    La Société Royale "Le Blé qui lève" vous présente son exposition annuelle. Celle-ci se tiendra, comme les années précédentes, dans la salle St Joseph.

    Parmi les exposants, on pourra trouver des peintres (aquarelles, acrylique et huiles), des potiers, des céramistes, des artisans (bijoux, peinture sur porcelaine, photographe...) mais aussi un bar bien achalandé et de la petite restauration.

    Vernissage le 25 à 20h30.

    Exposition ouverte le 26 de 14h00 à 20h00 et le 27 de 11h00 à 19h00

    Entrée GRATUITE 

  • Cheratte : les 15 ans du Festival Couleurs locales

     DSC_0022.JPG

     La 15 ème édition de ce festival bien connu dans la Basse-Meuse s'est déroulée le week-end dernier dans la salle des sports de l'école communale de Cheratte-bas. Organisé par une vingtaine de bénévoles permanents, cette manifestation "culturo-gastronimique" a accueilli de très nombreux visiteurs.

    "Cheratte Quartier de Vie", l'association créée par Dany Germain, avait en effet mis les petits plats dans les grands.

    Les diverses nationalités représentées par les habitants de l'ancienne cité minière offraient ainsi divers plats typiques et régionaux à la dégustation ainsi que des objets d'artisanat. On y retrouvait la Grèce, l'Italie, la Turquie, le Brésil, l'Espagne, le Maroc, la Pologne, mais aussi des comités de fête régionaux ( Hoignée et les compagnons de la Belle fleur), les Ridodoyes, les jeunes de Couleurs locales et l'école communale de Cheratte-Bas.

    L'animation proposée était constituée de divers groupes de danses, allant de la danse moderne, à la danse folklorique et aux D.J. (Dommage que l'un de ceux chargés des platines ait "oublié" l'interdiction de fumer)

    Le reportage photo est disponible en marge droite.

    (Texte et photos : P. Neufcour)

  • Cheratte : 15 ème édition du festival "Couleurs locales" ce 5 avril

     

    397546_10203238750631154_299359096_n.jpg

     

    Cheratte sera à nouveau en fête ce samedi 5 avril dès 14h à l’occasion de la 15e édition du festival COULEURS LOCALES.

    Au programme dans le hall de Cheratte-bas, de la musique, de la danse mais aussi la possibilité de découvrir les spécialités gastronomiques proposées par une douzaine de stands représentant les pays d’origine des habitants : ITALIE, ESPAGNE, GRECE, TURQUIE, POLOGNE, BRESIL, MAROC... et les comités de fêtes du village : Compagnons de la Belle-Fleur, Hoignée, Sabaré, Ecole communale...

    Sur le podium se produiront des groupes de danse modernes et traditionnelles : CLUB NEW DANCE (Joseph D’Atria), TERPSICHORE (Nikos Tanibis), DANCE ATTITUD (Axel Happart), SHAMS CREW CIE et AVENIR DANCE (Yousra Makhlouki), DANCE CREW (Carolyne Dujardin), STAR KIDS SHOW (Chantal Dams et Muriel Dortu), DARK MYSTIC (Jade Ploum), DANAPATI (Anika Danapati), ANTHONY CUBIDO, SEBASTIAO KINKEMBO.

    Une belle occasion de faire la fête, se restaurer tout en assistant à de splendides spectacles. Et cerise sur le gâteau, l'entrée gratuite.

    Une organisation de Cheratte Quatier de Vie asbl

    Info : Danny Germain – 0476 61 68 27 – germain52@gmail.com

  • Pas contents, les riverains !

     DSC_0002.JPG

     Le 15 septembre 2013 débutaient les travaux pour la rénovation de la rue St Hadelin et de la rue de Maestricht. Durée des travaux : de 6 à 8 semaines, selon les services des travaux de la ville de Visé et, aujourd’hui, 6 mois plus tard, la partie Visé-Nord n’est toujours pas terminée malgré les promesses du bourgmestre qui avait, en novembre, annoncé la fin des travaux pour le première semaine de décembre. L’accès aux commerces est toujours difficile, les accotements ne sont pas encore stabilisés. En plus du manque à gagner pour certains,  la chaussée présente un danger pour la circulation. En cause : des taques d’égouts qui dépassent le revêtement actuel de plus de 5 cm.

     DSC_0005.JPG

    Pourquoi, Diable, autant de retard ?

    Nous avons contacté la Direction des routes, au SPW, et monsieur Montalbano, ingénieur, nous a apporté quelques éléments de réponses.

    "A l'origine, explique-t-il, le chantier devait débuter à proximité du collège St Hadelin et se terminer à l'accès d'autoroute de Visé nord, près du pont de chemin de fer. En réalité, il a été prolongé d'environ 800 mètres, nous avons dû travailler jusqu'à la limite de la commune de Mouland. De plus, à divers endroits, dont sous le pont du chemin de fer, la couche de fondation était inadaptée pour recevoir la nouvelle matière de recouvrement, nous avons dû la modifier. Les filets d'eau, initialement prévus en blocs de beton juxtaposés, se sont révélés instables suite au trafic très importants de poids lourds. Il a fallu les remplacer par des filets d'eau en beton coulés d'une pièce, sinon les rigoles n'auraient pas résisté au temps"

    A noter que suite à une erreur de "niveau" de l'entrepreneur concernant ces filets d'eau, le travail a dû être partiellement arraché et recommencé.

    Notre correspondant ajoute encore : " Comme il faut que la température soit d'au moins 8 degrés pour pouvoir placer le tarmac, en période hivernale, les usines qui le fabriquent cessent leur production et en profitent pour effectuer l'entretien des machines. Le matériau n'était donc pas disponible.n Une réunion est prévue cette semaine avec les entreprises concernées afin de pouvoir établir le planning de la suite des travaux"

    DSC_0001.JPG

    Puis, il faudra alors procéder au marquage routier. Heureusement, le chantier est signalé dans les deux sens, et la vitesse y est limitée à 30 km/h. Il ne reste plus aux riverains et aux usagers qu'a faire preuve de patience, mais pour combien de temps encore ? 

    (Texte et photos : P Neufcour)