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Vie communale - Page 198

  • La police aurait-elle engagé des Personnes à Mobilité Réduite ?

    Photo0257_2.jpgElle râlait sec la dame qui m'a envoyé cette photo prise cet après-midi rue des Beguines. Elle est titulaire d'une carte de stationnement pour handicapés, elle a des difficultés pour se déplacer. Elle avait des courses à faire dans le centre ville et m'a dit avoir dû chercher un emplacement beaucoup plus loin. Même si, nous, on ne les connaît pas, on peut supposer que le véhicule de police avait de bonnes raisons pour être stationné, à la sortie du commissariat, sur un emplacement réservé aux handicapés.  

  • En 2012, la ville renforce sa lutte contre les incivilités

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    Ce matin, au pied des bulles à verre du quartier de la Wade, on trouvait de tout : même un seau hygiénique. Honte à vous, auteur(s) de ces dépôts, vous polluez notre ville !

    Chacun peut remarquer que les chemins, rues, places, espaces verts, sont envahis de toutes sortes de déchets abandonnés ou jetés. Toute la population en est gênée. La ville doit affecter en permanence des ouvriers au ramassage de ces saletés. Le coût de cette main d'oeuvre est pris en charge par la collectivité. Le collège estime que la majorité ne peut payer pour "l'incivisme" de quelques uns.

    Les dépôts sauvages, quelle que soit leur taille, ne sont pas faciles à identifier quant à leur auteur. Tant les policiers que certains agents communaux formés rapportent divers constats au Sécrétaire communal qui a la compétence d'infliger une amende aux pollueurs, dont le montant peur aller jusqu'à 250 €. A celà s'ajoute la facture pour les frais d'enlèvement et de nettoyage par les services communaux.

    En 2011, 55 dossiers ont été ouverts. a titre d'exemple, CR a écopé d'une amende de 100€ pour avoir jeté sa canette de coca par la fenêtre de sa voiture dans le quartier Ma campagne, un garage automobile s'est acquitté de 25€ parce que son employé avait expulsé son mégot sur a voie publique. RL incinérait ses déchets de plastique dans un quartier peuplé de Cheratte Bas : 250€ lui ont été réclamés. Cette même amende a été infligée à OM qui vidait sa remorque de déchets dans un sentier de Lixhe. Si l'amende n'est pas payée dans les délais, un Huissier de justice s'occupera d'en récupérer le montant (augmenté, évidement, des honoraires cet Officier de Justice)

    La ville agit donc dans l'intérêt de l'ensemble de ses citoyens. On ne passe pas toujours inaperçu et la ville se montrera inflexible envers ces agissements délictueux, inciviques et honteux.         

  • Les Prix de l'Urbanisme ont été décernés

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    Luc Lejeune, Echevin de l'Urbanisme, pendant son allucution.

    Il y a quelques jours, les Prix de l'Urbanisme de la ville de Visé ont été attribués. Trois catégories étaient en lice : le résidentiel nouveau, le résidentiel rénové et le non résidentiel. Cette année un "Prix du public était également décerné : les visétois avaient été invités à voter pour la réalisation qui avait leur préférence lors de leur passage à l'Hôtel de ville. Le Jury était constitué de neuf personnes : la Présidente, madame Bertaux (architecte urbaniste à Olne), monsieur Mottet, architecte à la Région Wallone, mesdames Hennequin et Janssen (architectes), monsieur Abot (Commission consultative de l'aménagement du territoire) et messieurs Knops, Aussems, Reul et T Lejeune, représentants les partis politiques siégeant au conseil communal visétois.

    Avant la proclamation des résultats, la Présidente du Jury a tenu à faire remarquer que toutes les réalisations déposées étaient d'un niveau très satisfaisant. Le Prix en lui-même était constitué d'un diplôme et d'un chèque de 1000 €.

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    Les Lauréats, leurs architectes et les membres du Jury

     

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    Le Prix du "résidentiel neuf" est décerné à la Régionale visétoise, pour la construction de huit logements   "basse énergie" dans le quartier de la Wade. Architectes : Stephane Adamp et Michaël Hick (SAM)

     

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    Les époux Toussaint-Bruyere se sont vus attribuer le Prix "résidentiel rénové" pour la transformation du bâtiment faisant coin au bas des rues de Dalhem et Porte de Lorette . Architecte Vincent Schyns.

     

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    Le Prix "non résidentiel" a été remis à la société Casual Management, pour la transformation et l'aggrandissement de l'immeuble 34 de la rue Haute (partie arrière du magasin Esprit située rue Raskinroy). Architecte Luc Spits.

     

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    Quant au prix du public, environ 1/3 des 310 votants ont désigné la réalisation de la famille Willems-Piot, au 13 du Clos de l'Ermitage. Architecte Fabian Labeye. 

     

  • Grands froids : qu'en est-il à Visé ?

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    Ce matin, peu avant 10h, mon thermomètre indiquait encore une température de - 10 C. Il est à l'abri du vent et dans l'ombre. Dans de nombreuses villes, la paupérisation d'une tranche croissante de la population fait que le nombre de citoyens sans abri augmente. Je me suis posé la question :  à Visé, y a-t-il des personnes contraintes de passer leurs nuits dehors ? Y a-t-il des mesures particulières qui sont prises pour aider les plus malheureux d'entre nous ? Au CPAS, la responsable de l'aide sociale, Renée Otte répond :"A ma connaissance, Visé ne compte aucun sans abri. En tous cas, aucun ne nous a été signalé et aucune demande n'a été introduite. Une personne sans domicile est actuellement hébergée dans sa famille, mais personne ne passe ses jours ou ses nuits dehors. En Collaboration avec l'Echevinat de la famille, le plan "vigilance chaleur et froid" est activé. Nous disposons d'une liste de toutes les personnes isolées de plus de 75 an. Ces personnes sont régulièrement contactées, nous nous informons de leur situation, proposons notre aide le cas échéant, et prodiguons les conseils de circonstance. Visé ne dispose pas de "Samu" social, le besoin ne s'en est heureusement jamais fait ressentir".

    Chantal Voets travaille à l'Echevinat de la famille. De par sa fonction, elle est bien au courant de la situation. elle explique : "Visé ne compte aucun sans abri. Aucun visétois de doit dormir dehors. Si le cas se présentait, la personne serait dirigée vers Liège car nous ne comptons malheureusement aucune structure d'accueil. Les logements d'insertion de l'ancien presbytère de Lixhe sont en réfection, inhabitables actuellement. Les bâtiments de la rue des Récollets ne sont pas terminées. Les maisons de repos "Claire Fontaine" et les "Trois Rois" ne pourraient non plus héberger personne : toutes les chambres sont occupées et il y a des listes d'attente. Cependant, des dortoirs existent au hall omnisports. Ils sont destinés à héberger des sportifs lors de manifestations. En cas de catastrophe importante dans l'entité, ils pourraient être utilisés, mais dans ce cas seulement".

    A Police secours, la réponse obtenue est la même : aucune patrouille nocture n'a remarqué la présence de personnes qui s'abriteraient dans un endroit isolé, ou qui squatteraient un logement à l'abandon.

    Par contre, le CPAS informe les visétois qu'il tient à la disposition des plus démunis de l'entité du riz et des boîtes de paella qui ont été offertes. Les quantités ne sont pas importantes. Si vous, ou une de vos connaissances vous trouvez dans une situation de nécessité, vous pouvez vous y rendre sans crainte.

  • Les actualités visétoises en vidéo par Marc Lacroix

    _DSC0012.JPGA l'initiative de l'initiative de l'Echevinat du Tourisme, AM Prod réalise régulièrement des reportages vidéos sur les activités visétoises. Vous pouvez les voir soit sur www.vise.be soit sur You tube "VisedADL"  

    http://www.youtube.com/watch?v=PCKsEAbQ02o&context=C38bcc69ADOEgsToPDskJFhAp48lYXs7j1mNrYWE_e