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Visé-infos - Page 265

  • Ville de Visé: Action Zéro déchets 2020

     

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    Jeter son mégot , un geste banal? Pas tant que ça ...

     

    Savez-vous qu’un seul mégot jeté dans la nature peut polluer jusqu'à 500 litres d’eau, ou 1 m³ de neige ?

    Jeter son mégot n’importe où n’est pas un geste anodin.  Ce déchet a beau être petit, il n'en reste pas moins très polluant.  En plus des nombreuses matières toxiques qui le composent, ce déchet mettra plus de 12 ans avant de se décomposer.

     

    Un mégot jeté sur la voirie partira bien souvent dans les égouts, puis dans les fleuves et arrivera dans les mers.  Ce « petit » mégot est le déchet le plus abondant repéré dans les océans.  Rien que pour la Belgique, dix millions de mégots sont jetés chaque jour !

     

    Dans le cadre d’une démarche « Zéro déchets , la Ville de Visé a décidé d’effectuer deux actions :

    La première est d’offrir aux citoyens visétois fumeurs, un cendrier de poche afin qu’ils ne soient jamais pris au dépourvu lorsqu’il n’y a pas de cendrier à proximité.  Ils pourront ainsi transporter leurs mégots jusqu’à la prochaine poubelle.

     

    La seconde action, en collaboration avec le contrat de rivière Meuse-aval, est d’apposer des pastilles « Ici commence la mer » sur certains avaloirs de l’entité, afin de sensibiliser la population au long cheminement via nos cours d’eau des déchets jetés dans les égouts.

     

    Comment se procurer votre cendrier de poche ?  Rendez-vous dans les lieux suivants :

    * hall hôtel de ville, Rue des Récollets n°1 à Visé (à l’accueil)

    * hall omnisport Visé à la cafeteria

    * hall omnisport de Cheratte à la cafeteria

    * au centre culturel  (à l’accueil)

    Agissons dès à présent pour préserver notre environnement et notre santé.

     

    Xavier MALMENDIER

    Echevin de l’urbanisme et de l’Environnement

     

    Francis THEUNISSEN

    Echevin des travaux et des Plantations

  • Les gardes médicales en Basse-Meuse et vallée du Geer pour les 5 et 6 septembre 2020

    images.jpegMédecin de garde : du lundi au jeudi soir de 19h00 à 08h00 : un seul numéro : 04/379.09.00. 

    Pour leur sécurité, les médecins de garde de la Basse-Meuse sont en liaison avec les services de la Police.

    Attention :  un poste de garde médicale est ouvert les week-ends et jours fériés de 08h à 20 h rue Basse-Hermalle n° 2, à côté de la clinique. N° unique pour le médecin de garde : 04/374.09.34. 

     - Dentistes de garde : former le 112 pour connaître la liste. 

    PHARMACIES DE GARDE

    Pour toutes gardes entre 9h et 22h : www.pharmacie.be ou www.appl.be

    Pour toutes gardes entre 22h et 9h :

     Appeler le 0903/99.000

     

    - le samedi 05 septembre 2020 : Pharmacie DELISSE, rue Gervais Toussaint 2 à Dalhem  

    Tél : 04/379.17.68

                                                    Pharmacie VERLAINE-LIEGEOIS, chaussée Brunehault 630 à Liers

    Tél 04/278.50.68

     

                                          

    - le dimanche 06 septembre 2020 : Pharmacie DEFFET, avenue Reine Astrid 23 à Oupeye 

    Tél : 04/264.23.83

                                                        Pharmacie DEMEUSE, rue Sabaré 119 à Cheratte

    Tél : 04/362.74.59

  • Journées du patrimoine : visite exceptionnelle d'une partie du parc du château d'Argenteau

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    Photo Le Soir

    A l’occasion des Journées du Patrimoine 2020, l’asbl Les Rendez-Vous de Richelle vous invite à découvrir les bois entourant le château d’Argenteau en mettant en valeur des éléments significatifs, témoins du patrimoine naturel et architectural de ces lieux chargés d’histoire.

    Au départ de la place du hameau de Wixhou, vous pourrez partir à la découverte de la chapelle Notre-Dame de Wixhou exceptionnellement ouverte, du champignon de Wixhou, élément décoratif restauré en 2018 par l’asbl Les Rendez-Vous de Richelle, des séquoias et des châtaigniers multi-centenaires et d’une partie du parc du château d’Argenteau.

    De là, vous admirerez le plus ancien cèdre du Liban de Wallonie et la vue sur la vallée de la Meuse depuis le rocher sur lequel était, autrefois, édifié un château-fort. Cet accès au parc est cependant limité et réservé aux personnes inscrites préalablement via le site des Journées du Patrimoine.

    Sur la page d’accueil, vous pourrez suivre le mode d’emploi pour une inscription individuelle en ligne. Le site des réservations des Journées du Patrimoine est accessible jusqu’au jeudi 10 septembre à 12 heures et suivez le mode d’emploi pour les inscriptions en ligne sur la page d’accueil.

    Renseignements :

    • Horaire : 10 à 17h (heure limite pour entrer dans le parc du château)

    • Adresse principale : rue de Wixhou, 29 • Adresse unique pour accéder au parc du château : rue de Borre, 1

    • Site de l’asbl Les Rendez-vous de Richelle : www.richelle.be • Site des Journées du Patrimoine : www.journeesdupatrimoine.be

    • Email : info@richelle.be

  • Interception d'un dealer à Visé ce mardi

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    L'établissement où le jeune dealer logeait (Photo P. Neufcour)
     
    Ce mardi après-midi, une patrouille « Themis » de la police de la Basse-Meuse a procédé à intercepté un homme, domicilié à Liège et suspecté de dealer des stupéfiants à Visé.
    « La police a procédé au contrôle de l’individu », détaille Catherine Collignon, Premier substitut du Procureur du roi, notamment en charge des relations avec la presse. « Sur lui, l’équipage a trouvé 455 euros en diverses coupures, trois pacsons de cannabis et un gramme de résine de cannabis. »
    L’homme, un jeune Afghan domicilié sur Liège, résidait en réalité dans une pièce à l’arrière d’un magasin de nuit, situé sur la place de la Collégiale, au cœur de la Cité de l’oie.
    « Les policiers se trouvaient dans le cadre du flagrant délit. Le magasin de nuit a donc été perquisitionné dans la foulée, ainsi qu’un autre commerce similaire appartenant à la même personne. »
     
     
    Le gérant suspecté
     
    En effet, au départ, les soupçons des policiers se sont également dirigés vers le gérant du nightand day qui hébergeait le dealer. Les enquêteurs pensaient avoir mis au jour un trafic bien plus important encore.
    Avec le renfort de la BLR (Brigade Locale de Recherche) de la zone de police de la Basse-Meuse, une seconde perquisition a été menée au siège de l’autre magasin appartenant au gérant, situé quant à lui au carrefour de l’avenue du Pont et de la rue des Francs Arquebusiers.
    Ces deux magasins ont donc fait l’objet de perquisitions et ont été momentanément fermés, ce qui a pu attirer l’attention de la population. Mais le gérant n’a finalement rien à se reprocher et a été relaxé au terme de son audition par la police.
     
     
    Pour le dealer, c'est autre chose
     
    Pour le jeune Afghan, c’est une autre affaire… Ce mercredi après-midi, Mano, né en 1997, était toujours en cours d’audition dans les locaux de la zone de police.
    Il y a fort à parier qu’il sera déféré devant le magistrat de garde du parquet de Liège. Celui-ci décidera alors de mettre le dossier à l’instruction ou pas, et d’y envoyer Mano, qui devra le cas échéant s’expliquer sur les faits.
    (P. Neufcour avec A. Ma)

  • Les gestes des policiers ne seraient pas la cause du décès de Jozef Chovanec

    Il ne semble pas prouvé, au stade actuel de l’enquête, que les gestes posés par les policiers sont la cause directe du décès de Jozef Chovanec, ce ressortissant slovaque décédé à l’aéroport de Charleroi en 2018, réagit mercredi soir le parquet général de Mons dans un communiqué de presse.

    « Il s’agit là du nœud de l’enquête », indique le parquet général de Mons. « Par leurs comportements, les policiers peuvent-ils être considérés comme pénalement responsables de la mort de la victime ? », s’interroge-t-il.

    De nombreuses expertises ont été ordonnées par le juge d’instruction, notamment une autopsie, une anatomopathologie ainsi que des analyses toxicologiques. « En l’état actuel des expertises, aucun élément ne démontre de signe de compression thoracique exercée par les policiers qui serait en lien avec le décès de la victime », précise le communiqué.

    La veuve de la victime, Mme Chovancova, a affirmé plus tôt dans la journée que son mari « a été étouffé et était déjà mort en cellule ».

     

    Le parquet s’est par ailleurs attardé sur les images de vidéosurveillance des faits, dont une copie a été enregistrée sur une clef USB et dont le contenu fut ensuite gravé sur un CD Rom. « Ce n’est pas le serveur central qui a été saisi. Cela signifie que la police a donc toujours gardé l’original des images, nonobstant la saisie opérée, et qu’elle pouvait parfaitement visionner celles-ci à tout moment, indépendamment de l’enquête judiciaire en cours, et spécialement dans le cadre de ses compétences disciplinaires », insiste-t-il.

    Le parquet général de Mons précise encore que le juge d’instruction avait communiqué son dossier en janvier dernier, sans procéder à l’inculpation des policiers. « La partie civile a demandé des devoirs complémentaires auxquels il a été fait droit et c’est en mai 2020 que la partie civile a déposé un rapport d’un conseiller technique critiquant les expertises judiciaires. Suite à ce rapport, le juge d’instruction a désigné un collège de trois experts, dont un psychiatre, pour rencontrer les arguments du conseiller technique de la partie civile, » communique le parquet.

    L’instruction se poursuit, conclut-il.

    Le parquet de Charleroi pas dessaisi

    Le parquet de Charleroi n’a pas été dessaisi de l’enquête relative à l’affaire Chovanec, souligne mercredi soir le parquet général de Mons.

    Le dossier est toujours à l’instruction, situe d’ailleurs le parquet général dans un communiqué mercredi soir, qu’il diffuse « compte tenu des nombreuses affirmations souvent erronées, véhiculées par les médias, le plus souvent au mépris du secret de l’instruction, des droits des parties et de la présomption d’innocence et après avoir obtenu l’accord du juge d’instruction ».

    Le parquet général y a en outre précisé que, lors de la descente effectuée par le juge d’instruction le 27 février 2018, « la saisie des images de vidéo surveillance a été ordonnée. Une copie des images a été enregistrée sur une clef USB, dont le contenu fut ensuite gravé sur un CD Rom. Ce n’est pas le serveur central qui a été saisi. Cela signifie que la police a donc toujours gardé l’original des images, nonobstant la saisie opérée, et qu’elle pouvait parfaitement visionner celles-ci à tout moment, indépendamment de l’enquête judiciaire en cours, et spécialement dans le cadre de ses compétences disciplinaires ».

    Plus tôt dans la journée, la veuve de Jozef Chovanec avait affirmé que la juge d’instruction connaissait ces images. « Sûrement qu’elle protège quelqu’un », avait lancé Mme Chovancova. « Comment pouvez-vous expliquer autrement qu’elle en ait fait si peu ? Elle connaissait ces images et n’en a rien fait. »