Visé-infos - Page 261
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Petit déjeuner littéraire organisé par l'Oiseau-Lire
L'Oiseau-Lire vous invite à son petit-déjeuner littéraire le dimanche 11 octobre à la salle des Tréteaux, de 09h30 à 12h30Le dimanche 11 octobre, de 10 h à 12 h 30, aura lieu notre traditionnel petit-déjeuner littéraire. Vu le succès des éditions précédentes, nous vous invitons à vous y inscrire rapidement.Pour pouvoir vous installer dans les meilleures conditions, nous vous convions à partir de 9 h 30. Entre un café et une viennoiserie, nos libraires vous présenteront leurs coups de cœur de la rentrée littéraire 2020.Parmi ces coups de cœur figure le premier roman de Ketty Rouf "On ne touche pas" et c'est l'auteure elle-même qui se chargera de vous en parler !Nous espérons vous y voir nombreux ! -
Gardes médicales des 26 et 27 septembre 2020
Médecin de garde : du lundi au jeudi soir de 19h00 à 08h00 : un seul numéro : 04/379.09.00.
Pour leur sécurité, les médecins de garde de la Basse-Meuse sont en liaison avec les services de la Police.
Attention : un poste de garde médicale est ouvert les week-ends et jours fériés de 08h à 20 h rue Basse-Hermalle n° 2, à côté de la clinique. N° unique pour le médecin de garde : 04/374.09.34.
- Dentistes de garde : former le 112 pour connaître la liste.
PHARMACIES DE GARDE
Pour toutes gardes entre 9h et 22h : www.pharmacie.be ou www.appl.be
Pour toutes gardes entre 22h et 9h :
Appeler le 0903/99.000
- le samedi 26 septembre 2020 : Pharmacie HALFKAN-DARCIS, rue de la Paix 1/03 à Barchon
Tél : 04/387.50.90
Pharmacie MEURENS, rue de la Station 10 à Houtain St Siméon
Tél : 04/286.11.20
- le dimanche 27 septembre 2020 : Pharmacie DELISSE, rue Gervais Toussaint 2 à Dalhem
Tél : 04/379.17.68
Pharmacie VERLAINE-LIEGEOIS, chaussée Brunehault 630 à Liers
Tél : 04/278.50.68
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Aux cimaises de la chapelle des Sepulcrines, au Centre culturel
Ce vendredi soir Sabine Van Op Den Bosch procédait au vernissage de l'exposition de ses dernières oeuvres en présence de Viviane Dessart, bourgmestre de Visé, Mathieu Ulrici, échevin de la Culture, Marcel Neven, président du Centre Culturel et Bernard Aussems, conseiller communal ainsi que d'un public nombreux.
C'est en 1979 que Sabine Van Op Den Bosch présentait ses premières oeuvres à Liège, à la galerie Gustin. Exposer son travail c'est aussi s'exposer soi-même ; c'est exhiber son savoir faire mais aussi ses faiblesses. Cap difficile à franchir pour une jeune artiste qui plus est lorsqu'on et d'un naturel réservé. Il peut s'avérer plus proche du "supplice" que de la gratification.
Peintre, dessinatrice, pastelliste, autodidacte. Sabine dessine depuis 1972.
C’est à la peinture acrylique, qu'elle a découverte en 2000, qu'elle doit sa nouvelle liberté dans l'emploi des couleurs et des supports variés. Son inspiration l'a menée à saisir aussi bien les paysages d’un atlas rêvé qu’un bestiaire de créatures chimériques ou un monde végétal surprenant. Elle dresse également les portraits d’êtres étranges à la physionomie inquiétante.
Son dessin, minutieux à la façon de Pierre Joseph Redouté, s’est principalement consacré depuis quelques années, sans toutefois délaisser d’autres sujets, à la création d’une GRANDE FLORE IMAGINAIRE qui doit permettre à cette amoureuse des arts du jardin de recenser tous ses plus beaux rêves botaniques.
Son univers, c'est celui qu'elle veut vous faire découvrir aux cimaises de cette exposition.
Après avoir présenté l'artiste et ses oeuvres à l'assistance, l'échevin Ulrici
céda la parole à l'artiste qui remercia le public intéressé par son travail.
A Visé, à la "chapelle" du Centre Culturel rue du Collège 31.
L'Artiste vous y recevra du 26 septembre au 12 octobre les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 13h à 18h, les mercredi, samedi et dimanche de 10h à 19h. Nocturne les vendredi 2 et 9 octobre jusqu'à 20h30.
Site : www.sabinevod-bosch.be
Courriel : lemairevanopdenbosch@gmail.com
En marge de droite, un pêle-mêle de quelques photos prises lors du vernissage. N'hésitez pas à entrer à la chapelle, les oeuvres exposées sont "étonnantes".
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Themis : la patrouille supplémentaire de la police de la Basse-Meuse
La zone de police de la Basse-Meuse n’est pas la seule à dresser ce constat : il n’y a pas assez de bleus dans les rues, la faute à une surcharge de travail et à un manque cruel d’effectifs.
Alors, en mai 2019, la police bassi-mosane a posé les jalons d’une nouvelle équipe de patrouilleurs, composée d’agents volontaires qui ont accepté cette mission en plus de leur charge de travail habituelle. Condition sine qua non pour faire partie du noyau de policiers : le travail de base doit être fait dans les temps, et les policiers doivent être à jour dans leurs formations. Thémis -c’est son nom- a officiellement débuté en juillet 2019. Thémis, c’est aussi la déesse grecque de la justice, voilà qui plante le décor. Car les 30 à 40 policiers qui la composent ont de l’ambition… et des résultats plus qu’encourageants (lire ci-dessous) !
L’équipe est composée à chaque fois de trois policiers : un gradé et deux hommes qui patrouillent sur l’ensemble de la zone, à raison d’une sortie par semaine et d’une autre sortie par week-end. Trois hommes, n’est-ce pas un peu trop maigre pour une zone aussi vaste ? Pour les aider à affiner leurs recherches, Thémis peut compter sur les renseignements donnés par les commissariats de quartier. « Lorsque la patrouille démarre, elle emporte un bulletin de service avec les points d’intérêt. Après, nos policiers ouvrent aussi les yeux », explique le commissaire Jean-François Duchesne, chef de zone adjoint.
« Avant, dès qu’on devait faire quelque chose qui sortait de la routine, ce n’était pas possible », poursuit-il. « Cette patrouille de policiers volontaires fait immanquablement la différence. Ils se concentrent sur les incivilités comme les mauvais stationnements ou les rassemblements de jeunes, mais aussi sur les deals de stup, la criminalité, etc. En fait, tout ce qui est inscrit dans le plan zonal de sécurité. Il y a quelques jours, ils ont notamment interpellé un dealer de stupéfiants dans le centre de Visé. »
En première ligne
Thémis n’est pas un service spécialisé comme le PAB peut l’être, cela reste une équipe de première ligne. « Ils arrivent sur les lieux en voiture banalisée pour ne pas se faire repérer. Par contre, quand ils sortent, ils sont équipés d’armes longues, d’un gilet pare-balles : leur fonction policière ne fait aucun doute. Ces membres ne reçoivent aucune formation supplémentaire, ce sont des policiers ‘normaux’ qui ont à cœur de faire leur travail correctement. »
Déjà 23 arrestations!
Entre juillet 2019 et décembre 2019, la patrouille Thémis a procédé à 1.059 contrôles. Lors de ceux-ci, 112 P.-V. ont été rédigés, dont 42 qui concernaient les stupéfiants. Douze personnes ont ainsi fait l’objet d’une arrestation judiciaire. Pour 2020, tous les mois n’ont pas encore été encodés, mais 680 contrôles ont déjà été réalisés. Onze arrestations judiciaires ont été menées et 32 P.-V. ont été dressés pour des faits de stupéfiants. La drogue constitue toujours un réel problème en Basse-Meuse. « En 2013, quand les Hollandais ont fermé leur frontière aux étrangers, on a vu une chute vertigineuse du narco-tourisme. Mais on a pris conscience que la problématique était toujours bien présente. »
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Port du masque, baromètre, nouvelle bulle: voici les mesures prises par le CNS
L’intention affichée par les autorités était d’édicter des règles sanitaires valables sur le long terme. Il y a un mois, la Première ministre, Sophie Wilmès, avait expliqué qu’il faudrait désormais passer de la « gestion de crise » à la « gestion des risques ».
Les mesures :
Après avoir fait le point sur la situation sanitaire, Sophie Wilmès a rappelé que les 6 règles d’or, dont celle des contacts sociaux.
> CONTACTS SOCIAUX
Le nombre de contacts rapprochés est limité à un maximum de 5 personnes par mois en dehors du foyer, a déclaré jeudi la Première ministre Sophie Wilmès à l’issue d’une réunion du Conseil national de sécurité (CNS).
Il faut toujours limiter ses contacts rapprocher. Les experts proposent un point de référence qui varie entre 1 et 5, en fonction de la situation sanitaire. « Pour l’instant, les experts conseillent à chacun de ne pas avoir de contacts rapprochés avec plus de 5 personnes, hors foyer, par mois. » Il s’agit de personne que vous pouvez enlacer, avec qui vous pouvez manger ou boire un verre en étant proche l’un de l’autre. Les personnes avec qui vous ne maintenez pas les distances de sécurité. Il s’agit donc bien d’un choix individuel de 5 personnes (pour un mois). « Et puisque ce n’est pas obligatoire, cela induit que vous faites le choix de ces 5 personnes en votre âme et conscience ».
« Si chacun participe à l’effort – même de manière adaptée – nous pourrons continuer à mener nos vies sociales en maximisant nos chances de rester en bonne santé mais aussi en maximisant nos chances d’éviter de devoir reprendre des mesures drastiques. Voyez qui vous voulez en respectant les distances de sécurité, et évitez autant que possible les contacts rapprochés », résume Sophie Wilmès.
> MASQUES
À partir du 1er octobre, il ne sera plus obligatoire de porter un masque à l’extérieur, sauf dans les lieux très fréquentés et dans les endroits où la distance de sécurité de 1,5 mètre ne peut être garantie, a annoncé mercredi la Première ministre Sophie Wilmès lors d’une conférence de presse suivant une réunion du Conseil national de sécurité (CNS).
Le masque reste cependant obligatoire dans les transports publics, dans les magasins et dans les cinémas.
« Le port du masque est important dans la gestion de l’épidémie. Le port du masque est d’ailleurs obligatoire quand les distances ne peuvent pas être garanties. Néanmoins, il est inutile de l’imposer partout, tout le temps », a indiqué Sophie Wilmès. Des le 1er octobre, le masque ne sera plus obligatoire à l’extérieur sauf :
– dans les lieux extrêmement fréquentés, où les distances de sécurité ne peuvent pas être respectées. Ces lieux sont déterminés par les autorités locales.
– Et en tout état de cause, dans les lieux couverts bien déterminés comme dans les transports en commun, les magasins ou les cinémas par exemple ; peu importe leur niveau de fréquentation.
Il sera demandé aux autorités locales d’aller dans le sens du CNS à ce sujet-là.
> RASSEMBLEMENTS
Si vous organisez vous-même un événement, le nombre d’invités est limité à un maximum de 10 personnes (enfants non compris). « Cela vaut également pour les rassemblements dans la rue. »
Événements organisés par des professionnels – les fêtes, par exemple, ou les réceptions, sont soumises aux règles de l’industrie hôtelière.
Il n’y a pas de limite au nombre maximum d’invités, mais il y en a un maximum de 10 par table. Les protocoles doivent être suivis à la lettre.
Les soirées dansantes ne sont toujours pas autorisées.
Pour les événements avec une audience – quelle que soit leur nature – la limite de 200 personnes à l’intérieur et 400 personnes en extérieur continue de s’appliquer. Ceci jusqu’à ce que les protocoles soient ajustés. D’ici là, tous les protocoles (sports, culture, éducation, etc.) resteront en vigueur. « Ces règles seront donc ajustées dans un proche avenir. C’est pourquoi nous avons demandé à Celeval de travailler avec les ministres compétents et les différents secteurs pour réviser ces règles. L’objectif est de donner stabilité et prévisibilité à tous les secteurs, mais aussi de donner à ces secteurs la capacité de se redresser, tout en continuant à protéger la santé publique. »
> BAROMETRE DE L’EPIDEMIE
« Les experts du Celeval travaillent aussi sur un baromètre de l’épidémie qui va être implémenté progressivement dans notre pays, au niveau national, régional mais aussi provincial. » indique Sophie Wilmès. « Il doit encore être affiné. Ce baromètre fonctionnera selon un principe de paliers. »
En clair, si la situation s’aggrave, des mesures de restrictions doivent être prises. « Les autorités, les professionnels et les citoyens pourront ainsi mieux appréhender l’évolution de l’épidémie. Ce baromètre sera d’ailleurs repris comme référence dans les conférences de presse du Centre de crise qui ont lieu 3x par semaine »
Ce baromètre se basera principalement (mais pas seulement) sur l’évolution du nombre d’hospitalisations. Ce nouveau baromètre aura aussi l’avantage d’être prospectif. « Nous pourrons établir des prévisions sur plusieurs semaines afin que chacun d’entre nous puisse envisager de quoi sera peut-être fait demain. » L’objectif est d’aboutir en Comité de concertation dans deux semaines.
> QUARANTAINE DE 7 JOURS
« Si vous présentez des symptômes du Covid-19, vous prenez contact avec votre médecin qui vous vous isolez immédiatement pour 7 jours. Et vous devrez passer un test le plus rapidement possible. » Si le test est positif : la quarantaine continue. Si le test est négatif : dès que votre situation clinique le permet, vous pouvez sortir de quarantaine.
Si vous n’avez pas de symptômes mais que vous avez eu un contact rapproché avec une personne positive : dès que vous l’apprenez ou que vous êtes contacté par le contact-tracing, vous devez vous mettre immédiatement en quarantaine pendant 7 jours, à compter du dernier jour où vous avez eu contact rapproché avec la personne contaminée. Il est important de seulement vous mettre en quarantaine quand vous avez eu un contact rapproché avec la personne positive. Ensuite, vous prenez un rendez-vous pour passer un test unique au 5ème jour. Si ce test est positif : votre quarantaine est reconduite de 7 jours et si ce test est négatif : vous ne devez plus être en quarantaine après le 7ème jour.
« Ces règles démontrent bien que garder ses distances est un impératif pour éviter la quarantaine inutile, si vous n’avez pas de symptômes » dit encore Sophie Wilmès.
> VOYAGES
La quarantaine concerne actuellement aussi les voyageurs reviennent de « zones orange » et de « zones rouges ». Comme cela avait été annoncé, à partir de vendredi, se rendre dans ces différentes zones sera fortement déconseillé, et non plus interdits afin d’établir des règles harmonisées avec le reste des pays européens. Dès lors, les obligations de test et de quarantaine s’adapteront également : les « zones orange » ne feront plus l’objet d’un testing et pour les voyageurs qui reviennent d’une « zone rouge », ils devront se mettre en quarantaine dès le premier jour de leur retour – durant 7 jours – et faire un test au jour 5. « Ils pourront se soustraite à cette obligation s’ils remplissent un document d’auto-évaluation qui, après analyse, les autorise à le faire. »
Ces consignes ne concernent pas les personnes qui passent moins de 48h dans une « zone rouge », comme dans le cas des transfrontaliers par exemple.
> TESTING
Plusieurs décisions ont été prises ce mercredi, notamment en ce qui concerne les tests. Car, comme l’a signalé Sophie Wilmès lors de la conférence de presse, l’arrivée de l’automne puis de l’hiver, risquent de créer des difficultés pour les familles, engorger la médecine généraliste et, au final, entraîner une demande très forte de testing.
Ce sujet est donc d’une importance cruciale pour la lutte contre le coronavirus. Pour l’heure, la Première ministre a souligné des chiffres « positifs » depuis le début de la crise : plus de 2 millions de tests ont déjà été réalisés et la moyenne actuelle est de 250.000 tests par semaine. Mais l’objectif, pour faire notamment à la saison de la grippe, est d’arriver à une capacité de 70.000 à 90.000 tests par jour.
Pour que cet objectif devienne une réalité, les autorités savent également qu’il faut alléger la pression sur les professionnels du terrain, actuellement débordée face aux nombreuses demandes de patients inquiets. Dans cette optique, une série de décisions ont été prises par le CNS :
– L’augmentation de la capacité de testing des centres de tri existants et en instaurant de nouveaux points de dépistage.
– La création d’un call-center qui permettra de concentrer toutes les demandes vers un seul point d’information et soulager les médecins généralistes ;
– La mise en place d’une plateforme de rendez-vous pour dispatcher les demandes à travers les centres disponibles.
– L’allégement des charges administratives des médecins en permettant à plus de professionnels de fournir un code pour le testing ;
– Ou encore favoriser l’obtention directement par les patients des résultats des tests effectués sur internet, notamment via le système Cozo ou masanté.be.
Les autorités sont également conscientes d’augmenter la rapidité de la communication des résultats de tests auprès des patients.
(Source : Sudinfo)