Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 9

  • Visé : cérémonie du souvenir devant la stèle dressée à la mémoire du Roi Chevalier

    DSC_0088.JPG

    Le 17 février 1934, le roi Albert 1er trouvait la mort dans les rochers de Marche les Dames. Cette année, le jour anniversaire du décès du Roi Chevalier se trouve être le jour du mardi gras. Les autorités communales visétoises, les porte-drapeaux des associations patriotiques, l'amicale des anciens para-commandos et quelques Visétois ont décidé que la petite cérémonie du souvenir se déroulerait ce matin. La stèle dressée au pied de l'avenue des Combattants a donc été fleurie en mémoire de cet ancien Souverain qui, par son comportement  au cours de la "Grande Guerre", a particulièrement marqué l'histoire du pays.

    DSC_0091.JPG

  • Scandaleux: la police de la Basse-Meuse verse 250.000 euros au commissaire pour le faire taire et éviter de le nommer chef de zone

    1278769227_B974780198Z.1_20150214094838_000_G9L3VUPGR.1-0.jpg

                      La police de la Basse-Meuse verse 250.000 euros au commissaire pour le faire    taire et éviter de le nommer chef de zone.                  Photo Sophie Kip

    La zone de police de la Basse-Meuse va payer 250.000 euros au commissaire Philippe Lambert pour éviter de le nommer chef de zone. C’est le prix à payer pour qu’il cesse ses recours au Conseil d’Etat, tous en sa faveur jusqu’à présent. (Rédaction en ligne)

    La zone de police de la Basse-Meuse – qui regroupe les communes de Bassenge, Blegny, Dalhem, Juprelle, Oupeye et Visé – se prépare à débourser discrètement 250.000 euros pour en terminer avec une procédure de nomination de chef de zone qui dure depuis… 14 ans ! Objectif : se « débarrasser » de l’encombrant Philippe Lambert, candidat malheureux au poste tant convoité, qui n’a cessé depuis lors d’introduire des recours au Conseil d’Etat. Conseil d’Etat qui, à chaque fois, lui a donné raison. Et manifestement, ça a fini par agacer les responsables de la zone de police, qui ont décidé d’en finir une bonne fois pour toutes en mettant la main au portefeuille pour offrir une retraite dorée au candidat mécontent.

    Pour les observateurs avisés de cette véritable saga, l’étau se resserrait en effet autour de la zone de police, qui n’allait plus avoir d’autre choix que de nommer Philippe Lambert au poste de chef de corps de la police de la Basse-Meuse. Ce qu’ils tentent justement d’éviter à tout prix depuis près de 15 ans. Seule alternative dès lors : acheter son départ et l’assurance qu’il cesserait toute action devant le Conseil d’Etat, actuelle et à venir…

    > Notre dossier complet sur ce payement à lire dans nos éditions papiers et numériques de ce samedi.

  • Révélations exclusives dans le Meuse ce samedi

    0001kq.jpeg

    - Exclusif Basse-Meuse : 250.000 € pour faire taire un policier gênant. Et c'est le contribuable qui paye !

    - Affaire Jean-Luc Lahaye : comment Facebook surveille vos messages

    - De Camargo : le Qatar fait le forcing

    - Le futur hôpital de Glain déjà en Justice

    - St-Valentin : leur coup de foudre chez Lidl

    - Miss Belgique : je suis un coeur à prendre

    - Jonathan Legear s'attaque au "zozotement"

    - La love story de nos people

    - Arnaques aux chihuahuas en région liégeoise

    -Intoxication à Milmort : de l'américain et des pâtes seront examinés par l'AFSCA

    - Encore 2 braquages, mais 7 arrestations

    - 1402 "Oui" au don d'orane

    - Notre Top 10 du week-end

    - Trilogiport : toujours rien de signé pour le rail

    - nottre rubrique humoristique : ça va se savoir

    - Salon du chocolat à Bruxelles : un jeune Fouronnais est primé

    - Energie : changez de fournisseur

    - Etc, etc...

     

    Lien permanent Catégories : Divers
  • Le mot du Bourgmestre

    picture.jpeg

    Ce mercredi 11 février, Monsieur le Gouverneur de la Province Michel Forêt a reçu 8 associations de la Province deLiège pour leur conférer le titre de « Royal ».

    Parmi elles, deux Visétoises le Basket Club Visétois et l'Académie de musique César Frank.
    Voici l'extrait du discours du Gouveneur concernant ces deux associations.

    « En ce qui concerne le Basket club Visétois.
    C'est le 20 septembre 1964 qu'une bande d'amateurs du ballon orange décident de fonder un club  à Visé et d'arborer les couleurs bleue et blanche.   

    Et 50 ans plus tard, c'est toujours avec succès que jeunes et moins jeunes prennent la balle au bond avec la même ferveur. Actuellement composé de 12 équipes d'âge, vous avez toujours mis en exergue l'esprit familial du club, la formation des jeunes et la recherche de la performance sans pour autant tendre vers l'élitisme.
    Actuellement vous comptez environ 120 pratiquants et 150 membres au sein de votre club dont l'objectif illustre parfaitement l'importance que revêt le sport à mes yeux: la formation physique et morale de la jeunesse par la pratique du basket.
    En effet, et ceci est valable pour les 5 associations dont je viens de parler, le sport poursuit un double but: le premier est de permettre au plus grand nombre de développer ses performances sportives et de maintenir sa forme physique. Le second est tout aussi essentiel: il s'agit de porter haut et d'inculquer à ses membres les valeurs du sport. Permettez-moi à ce titre de citer Pierre de Coubertin; «le sport va chercher la peur pour la dominer, la fatigue pour en triompher, la difficulté pour la vaincre ». En effet, des valeurs telles que le goût de l'effort et du dépassement de soi mais aussi le respect, la solidarité ou encore l'opiniâtreté font que le sport reste une véritable école de vie tout autant qu'un vecteur d'intégration sociale.

    Pour conclure, je voudrais souhaiter aux membres du Basket club visétois de continuer à vivre leur passion, leur sport avec la même mentalité pendant les 50 prochaines années. »

     

    « En ce qui concerne l'Académie de musique César Frank de Visé.

    En 1964, Messieurs René Dessart et Marcel Fraikin décident de fonder à Visé une structure culturelle axée sur l'enseignement de la musique, des arts de la parole et du théâtre et de la danse classique: l'Académie César Franck était née.

    A l'époque, elle compte 150 élèves et 12 professeurs et son essor va rapidement se manifester par l'ouverture de sections dans les environs de la Cité de l'oie, comme à Blegny en 1973 et à Oupeye l'année suivante.
    Actuellement, vous accueillez des élèves à partir de 5 ans et sans limite d'âge et l'académie est ouverte quasiment tous les jours pour le noble objectif que vous poursuivez depuis 50 ans: permettre à tout un chacun de construire, au travers des domaines artistiques, son affirmation de soi, des liens sociaux et une capacité d'altérité.
    La qualité de l'enseignement dispensé au sein de votre institution permet également de préparer, dans les meilleures conditions, les élèves à accéder à l'enseignement artistique de niveau supérieur.

    Le nombre impressionnant de concerts que vous organisez atteste en outre de la vitalité de l'académie qui, faut-il le dire, est fréquentée aujourd'hui par plus de 1.000 élèves et où enseignent presque 40 professeurs.
    L'Académie César Frank jouit d'une excellente réputation dans toute la Basse-Meuse et ne se repose jamais sur ses lauriers puisque les projets ne manquent pas; Vous travaillez au développement d'un pôle culturel dans toute l'entité visétoise et vous êtes attelés à la réalisation d'un CD avec notamment votre talentueux ensemble instrumental « Les Ménestriers mosans ».
    Permettez-moi de vous féliciter pour la qualité de l'enseignement prodigué et, comme Sully Prud'homme disait de la musique qu'elle double la vie, je vous donne rendez-vous dans 50 ans pour fêter le centenaire de l'Académie! »

    Le 12 février 2015

    Marcel NEVEN,

    bourgmestre.