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  • Le billet du CAL Basse Meuse

    attachment.jpgConversations en wallon

    La Maison de la Laïcité de Visé, rue des Béguines, 7A, 4600 Visé, se prépare maintenant à organiser des tables de conversations en wallon sous la houlette de Guy Michaux qui s’occupe déjà des tables de conversations en anglais.

    Après avoir reçu le weekend dernier des personnes désireuses d’y participer et après avoir écouté leurs désirs, voici ses conclusions :

    « Il y aura une alternance de semaine en semaine, en principe les premier et troisième vendredis  de chaque mois à 14h ainsi que les deuxième et quatrième samedis de chaque mois à 10h, hormis vacances scolaires.

     Notre premier contact permet de penser que nous allons pouvoir nous rencontrer autour d’une table pour des conversations conviviales et animées, ouvertes aux différents niveaux de pratique de notre langue comme à ses différentes formes locales.

    Les sujets de nos discussions seront libres mais chaque participant(e) pourra proposer un point de départ pour notre rencontre suivante ou pour le jour même ; lors de nos journées inaugurales ont été évoqués : un thème (un sujet), une chanson, un petit texte, la note hebdomadaire de P-H Thomsin, un événement d’actualité, et j’espère ne rien oublier.

    Nos conversations seront donc ouvertes à toutes vos suggestions, comme elles seront accessibles à toute personne désireuse d’y participer. 

    La participation est totalement gratuite, la Maison de la Laïcité organise ces conversations et met ses locaux à notre disposition. »

    Les conversations commenceront le vendredi 20 février à 14h et le 28 février à 10h, puis le vendredi 6 mars à 14h et le 14 mars à 10h. Chacun et chacune d’entre vous peut participer à chacune de ces dates.

    Quel que soit votre niveau, osez vous lancer et venez nous rejoindre, nous serons heureux de vous accueillir.

    Plus de renseignements : Rachel Etienne : laicite.vise@mail.com ou 04/265 96 48

     

     

    C.Dethioux, vice-présidente de Culture et Action Laïque de la Basse-Meuse.

  • Salubrité publique : le RAVEL transformé en "merdier"

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    Voici un courrier reçu, émanant d'une lectrice qui s'indigne avec raison de la présence de nombre de déjections humaines sur le RAVeL. Elle joint des photos explicites ainsi qu'un cliché sur lequel se trouve plusieurs camping-cars. Contrairement à la plupart des caravanes utilisées par les gens du voyage, ces véhicules sont équipés de toilettes et de sanitaires. Personnellement, je ne suis pas certains que les propriétaires des véhicules photographiés soient aussi ceux des déjections. 

    "Ce dimanche matin, 15 février, nous profitons de ce beau soleil pour nous balader sur le Ravel avec les enfants. Au niveau du parking juste avant le rond-point du barrage de Lixhe, nous constatons une vingtaine de "tas de merde" avec morceaux de papier toilette pour couronner le tout!!! Tout ça en plein milieu du Ravel...c'est dégueulasse!!!!!! Même nos enfants se rendent compte que c'est vraiment honteux!

    Le parking est à nouveau occupé par des caravanes...ben comme par hasard...si c'est pas eux, je me demande bien quand même alors qui se fait une belle promenade sur le Ravel, avec son PQ dans son sac à dos et se dit 'je vais faire un gros caca en plein milieu du bazar, juste puis ennuyer les promeneurs et les cyclistes'?!! Et l'odeur,je ne vous dis pas....! Qui va nettoyer tout ça????.... Quand va-t-on stopper ces incivilités ???

    Déjà les crottes de chien un peu partout, ça m'énerve au plus haut point,mais là, c'est vraiment trop!!! Il y a quelques années déjà, je m'étonnais de voir qu'au départ des caravanes, toutes les crasses restaient là, en plein milieu de la nature.Donc, on peut se permettre de laisser ses merdes dans la nature,le long d'un chemin sur lequel circule pas mal de monde, sans être puni????? Quelle belle image pour nos enfants à qui on apprend le respect de la nature et des autres!
    A notre retour, j'ai téléphoné à la police pour faire part de tout cela. La personne en ligne m'a dit qu'ils avaient déjà remarqué des déjections humaines au pied des arbres bordant le Ravel...et alors?...on ne fait rien???? 
    Quelques belles photos illustrant notre belle promenade du matin! "
  • Ce lundi votre Meuse vous propose

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    - Omar el-Hussein met le Danemark à feu et à sang

    - Les braqueurs de Seraing sont arrêtés

    - Lenteurs de la Justice : 434 millions dorment sur un compte

    - Igor de Camargo reste au Standard

    - Santé : entreprises, fonction publique...La grippe paralyse le pays

    - Christine defraigne : "Le cd&V est le partenaire instable de la coalition"

    - Enseignement : le latin et le grec à Liège

    - Basse-Meuse : "25.000 € à un policier, c'est scandaleux"

    - Eclairer les salles de fitness grâce aux efforts des sportifs

    - Tony Cavaleri a 65 ans, dont 20 ans d'inventions

    - Axelle Red : "Mes chansons résistent au temps"

     

    Lien permanent Catégories : Divers
  • LE PRÉSIDENT PROVINCIAL DU SYNDICAT NATIONAL DU PERSONNEL DE POLICE DEMANDE DES COMPTES: «250.000 EUROS À UN POLICIER, C’EST SCANDALEUX»

     

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                                                                      (Photo S.Kip)

    Dans notre édition de samedi, nous évoquions l’accord financier intervenu entre Philippe Lambert, candidat malheureux au poste de chef de corps de la police de la Basse-Meuse depuis… 2011 et la zone de police. Celle-ci, pour mettre fin à la série de recours intentés au Conseil d’Etat depuis près de 15 ans, vient en effet de décider de lui verser 250.000 euros d’indemnités. Ce qui met fin à la saga «chef de zone», mais ouvre la porte à une nouvelle polémique. Cet arrangement «à l’amiable» n’est en effet pas du goût de Fabrice Discry, le président provincial du syndicat policier SNPS, qui va demander des comptes aux responsables de la zone de police bassimosane.

    « C’est scandaleux à plus d’un titre, tonne-t-il.Quel signal donne-t-on à la population? S’asseoir sur un arrêt du Conseil d’Etat, c’est nier l’état de droit. Et ça pose aussi des questions sur la légitimité du chef de corps… »

    Pour rappel, le conseil de police de la Basse-Meuse refuse depuis 2001 de nommer le commissaire Philippe Lambert au poste de chef de zone. Le commissaire Jean-François Adam lui a été préféré dans un premier temps, avant d’être pensionné. Et c’est le commissaire Alain Lambert qui a pris sa succession à la tête de la zone. Mais jusqu’à présent, Philippe Lambert avait réussi à faire casser toutes ces nominations par le Conseil d’Etat.

    Aujourd’hui, le dossier est clos. Le conseil de police a en effet décidé de verser 250.000 euros à Philippe Lambert pour solde de tout compte et de le laisser prendre sa pension. Son dernier recours n’a donc plus lieu d’être…

    Mais pour Fabrice Discry, « cet arrangement financier est préjudiciable à la sécurité tant des policiers que des citoyens. Cette zone de police rechigne sur de petites dépenses en faveur des policiers, revient sur des acquis statutaires, ne sait pas compléter le cadre des inspecteurs, tout ça par manque de moyens financiers nous dit-on, mais sait trouver 250.000 euros… Que le politique assume alors! Que le conseil de police débloque une dotation spécifique complémentaire, mais qu’il n’aille pas puiser cet argent dans le budget de la zone… »

    Pas question en effet, assure le président SNPS d’encore faire des économies sur le dos du personnel pour financer ce pécule en faveur de Philippe Lambert.

    Nul doute dès lors que les responsables de la zone vont devoir s’expliquer dans les prochaines semaines sur cette procédure semble-t-il votée à l’unanimité, mais moins unanimement appréciée à l’extérieur du conseil de police.

  • Visé : les Oeuvres sociales du Bourgmestre aident St Vincent de Paul

     

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    Ce matin, le M.R. visétois a remis un chèque d'un montant de 2.000 € à Philippe Jodogne, président du Centre St Vincent de Paul de Visé. Le chèque a été remis symboliquement à la Maison libérale de Visé par Marcel Neven, bourgmestre, et Dany Germain, président de la section locale du parti.

    Cette somme provient des bénéfices engrangés lors de "l'apéro du Bourgmestre" qui se déroule chaque année au début janvier. Par le passé, diverses oeuvres ont été aidées, mais depuis quelques temps, c'est la société d'aide aux démunis qui est récompensée.

    Dans sa brève allocution, Philippe Jodogne a rappelé que l'association caritative qu'il DSC_0101.jpgpréside aide régulièrement pas moins de 700 personnes. Aides diverses, dont la branche principale est l'aide alimentaire, mais aussi distribution de vêtements, mobilier, etc. St Vincent de Paul peut aussi aider financièrement à régler des factures de soins médicaux, d'hospitalisation aux plus précarisés. 

    "Nous nous sommes aperçus que le nombre de personnes ne pouvant se procurer les médicaments nécessaires était en augmentation, ajoute le Président. C'est pourquoi nous étudions actuellement de quelle manière nous pourrions aider le plus efficacement les nécessiteux"

    L'association ne fonctionne qu'avec l'aide de bénévoles, les candidats sont les bienvenus. Saint-Vincent de Paul est également à la recherche d'un local d'environ 70 m2 qui servirait de dépôt pour les fournitures alimentaires.