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  • Les pompiers de Liège et la Cellule ART de Hesbaye ont sauvé un cheval à Argenteau

    Les pompiers de Liège et la Cellule ART de Hesbaye ont sauvé un cheval à Argenteau

    Belle collaboration entre les pompiers de Liège, la Cellule ART (Animal Rescue Team) et une vétérinaire pour sortir un cheval d’un caniveau à Argenteau ce samedi midi. Tout s’est très bien passé et le cheval a été remonté dans sa prairie.

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    Ce samedi vers midi, un groupe de chevaux galopait dans une propriété privée rue du Tilleul à Argenteau (Oupeye). À un certain moment, dans une allée qui longe la propriété, un des chevaux est tombé dans un caniveau qui n’était pas visible avec les nombreuses feuilles tombées.

    Les propriétaires du cheval ont appelé les pompiers de Liège qui sont intervenus avec une auto-pompe et une auto-échelle. Ils ont fait appel à la Cellule ART (Animal Rescue Team) de la zone de secours de Hesbaye qui a envoyé sur place trois hommes spécialisés et un chef d’équipe. « Je me suis également rendu sur les lieux en tant que conseiller technique en cours d’intervention. La vétérinaire du cheval est venue le tranquiliser pour permettre aux pompiers et à la Cellule ART de secourir le cheval, effrayé, à l’aide de l’auto-échelle et de sangles. Le cheval âgé a pu être remonté dans la prairie sans aucune blessure grave. Tout s’est très bien déroulé et le sauvetage était terminé vers 12h45. C’était une très belle collaboration entre les pompiers de Liège et la Cellule ART avec l’aide de la vétérinaire du cheval », se félicite Michaël Robert, conseiller technique.

  • « Du pré à la bouche » : une boucherie à la ferme en région liégeoise

    À Bombaye, en région liégeoise, Brigitte et Daniel Piron ont ouvert leur boucherie à la ferme pour y vendre des produits issus de leur élevage mais pas que…

    Pour Daniel Piron, la grande aventure de la ferme a débuté très tôt. « En 1986, j’ai repris la ferme de mes parents », explique-t-il. « C’était une ferme à production laitière jusqu’en 2004 puis c’est devenu compliqué sur le plan économique. Nous étions une petite structure et nous avons choisi de remettre le quota laitier. Je suis parti travailler à l’extérieur tout en gardant une petite activité à la ferme avec un troupeau mixte à tendance viandeuse ».

    Daniel a commencé à proposer, de temps en temps, des colis de viande qui étaient très appréciés des clients. « En 2018, j’ai racheté du matériel et je me suis complètement relancé dans la ferme et en juin, on a ouvert notre boucherie à la ferme, « Du pré à la bouche ». De notre côté, on ne fait plus que le viandeux avec du Blanc Bleu et environ 70-75 bêtes et on vend notre viande qui est produite chez nous, à la ferme, en circuit très court. On propose aussi à la clientèle du porc, du poulet ou encore du gibier via des partenaires mais c’est toujours produit localement. Cela n’a rien à voir avec de l’industriel », argumente Daniel qui vend aussi, dans son magasin, des fruits cultivés aussi dans l’exploitation familiale ainsi que des produits venant d’artisans locaux (jus, sirops, fromages…).

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    Depuis un mois, le couple propose même, dans la cour de la ferme, un petit marché. « Nous travaillons avec deux légumiers mais nous cherchons d’autres partenaires, toujours avec des produits de base et locaux ».

    La formule « de la ferme à l’assiette » semble séduire de nombreux clients. « Je pense que les clients apprécient le fait que ce soit local et de qualité et, contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce n’est pas plus cher que d’aller en grandes surfaces. Nous ne sommes pas bio mais nous travaillons de manière raisonnée. Le Blanc Bleu, par exemple, est une des races qui a le moins d’impact sur l’environnement et celle qui est la plus rentable sur le plan de la viande. On ne fait pas du Blanc Bleu industriel. Il faut laisser le temps au temps pour avoir du goût et de la consistance », conclut-il.

  • Envisan veut tripler la surface de ses installations de Lixhe, à Visé, pour traiter les terres polluées

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    Une étude d’incidences va être lancée à la fin de ce mois par la société Envisan. Active dans le dragage environnemental et le traitement des sédiments et terres polluées, Envisan souhaite ainsi tripler son site de Lixhe.

    La société Envisan est spécialisée dans le dragage environnemental et le traitement des sédiments, la dépollution des sols et des eaux souterraines et le traitement et la valorisation des déchets spéciaux et matières premières secondaires.

    Depuis de nombreuses années, elle est installée à l’île Monsin où, sur 7 hectares, elle s’occupe du traitement de terres polluées, provenant de chantiers de la construction, mais aussi de la dépollution de certains sites. Depuis 2017, elle est également installée dans la darse de Lixhe, juste à côté de l’usine CBR. Elle y a installé un centre de traitement des sédiments de dragage sur un terrain de 3,5 hectares. Mais tant pour son site de l’île Monsin que celui de Lixhe, Envisan commence à manquer d’espace.

    D’où la volonté de s’étendre là où c’est encore possible de le faire, sur son site de Lixhe. La société va en effet prochainement déposer une demande de permis unique de classe 1 pour construire et exploiter un nouveau centre de regroupement de déchets minéraux dont des terres excavées, un centre de traitement des boues de lagunage, un centre de traitement physico-chimique et un centre de traitement biologique et exploiter une station d’épuration et de lagunes de déshydratation. Une réunion d’information préalable au lancement de l’étude d’incidences est d’ailleurs organisée ce mercredi 21 décembre à 18h, à la salle de l’Union Saint-Martin (rue de Liège 39 à Visé). Les détails de ce projet seront présentés à la population à ce moment-là, raison pour laquelle peu d’éléments peuvent filtrer jusque-là. Envisan nous a d’ailleurs confirmé ne pas vouloir communiquer sur le sujet d’ici là, préférant laisser la primeur aux personnes présentes à la réunion.

    De 3,5 à 11 hectares

    Néanmoins, on a appris que cette demande permettrait d’étendre les activités basées à Lixhe, les faisant passer de 3,5 hectares à 11 hectares. Une extension qui permettra à Envisan de développer également à Lixhe, en plus du traitement des sédiments, une unité de traitement physico-chimique des terres polluées, exactement comme ce qui se fait à l’île Monsin. Attention néanmoins, le site de l’île Monsin continuera de fonctionner normalement, mais le développement d’une unité similaire à Lixhe permettra à Envisan de répondre à la demande. L’acheminement des terres et sédiments continuera de se faire par barges, transport largement privilégié par Envisan pour ses sites. Chaque année, ce sont ainsi 150.000 tonnes de terres et sédiments qui sont acheminés par bateaux.

    Du côté de la Ville de Visé, par la voie de Xavier Malmendier, échevin en charge de l’Environnement, on précise que, comme le veut la procédure, ils auront les détails du projet lors de la réunion d’information. À l’issue de toute la procédure, ça sera à la Région wallonne de se prononcer sur la demande de permis. Notons que vu la localisation du site, les habitants de Visé, Oupeye, Bassenge, Fourons et Eijsden pourront émettre avis et remarques lors des différentes étapes.

    (Aurélie Drion pour La Meuse)

  • Disparition inquiétante

    Disparition inquiétante en région liégeoise: Rania, 18 ans et originaire de Sprimont, devait se rendre à son stage à Beaufays mais n’y est jamais arrivée… L’avez-vous vue?

    C’est l’inquiétude. Depuis ce jeudi 1er décembre, Rania Harrach, une jeune femme de 18 ans, n’a plus donné signe de vie. Elle devait se rendre sur son lieu de stage à Beaufays mais n’y est jamais arrivée. Ses proches la cherchent désespérément.

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