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Communiqué - Page 5

  • GAIA expose l'état déplorable de certains élevages de dindes flamands

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    Le Groupe d'action dans l'intérêt des animaux (Gaia) diffuse mardi de nouvelles images vidéo, tournées en novembre 2021, pour sensibiliser à la "misère noire" à laquelle sont exposées les dindes de certains élevages flamands. Ne constatant pas d'évolution depuis 2019, l'association de défense des droits des animaux en appelle à une instauration urgente de normes juridiques spécifiques pour les élevages de dindes, encore inexistantes aujourd'hui en Belgique, renseigne le communiqué.

    Sur les images, on peut apercevoir des centaines de dindes entassées, gravement affaiblies, à la peau nécrosée, blessées et mourantes, voire des cadavres en état de décomposition avancée. "Dans les élevages de dindes que nous avons visités, la situation est si mauvaise qu'ils devraient être fermés", explique Ann De Greef, la directrice générale de Gaia, citée dans le communiqué.

    Par cette action, Gaia entend insister sur l'absence de législation spécifique pour protéger le bien-être des dindes de chair. "Par exemple, aucune limite légale claire n'est fixée concernant la densité d'élevage: un éleveur détermine donc lui-même le nombre de dindes qu'il souhaite entasser dans un poulailler", détaille l'association.

    Mais la densité dans les élevages n'est pas le seul problème, selon Gaia, qui demande à également améliorer la qualité et la quantité des perchoirs, à rendre obligatoire l'usage de races à croissance plus lente, et à proposer une litière sèche ainsi qu'un enrichissement suffisant.

    Selon le communiqué, l'élevage intensif de dindes en Flandre compte actuellement environ 25 exploitations. Les images diffusées par Gaia proviennent de quatre d'entre elles, à savoir l'élevage de dindes Casteele de Heuvelland, l'élevage Lavens de Wervicq, un troisième à Lichtervelde et un quatrième à Lendelede. "Il est significatif et révélateur que l'élevage de dindes Casteele de Heuvelland appartient au président de l'association flamande des éleveurs de dindes", dénonce Gaia.

    En Wallonie, le gouvernement a récemment adopté en première lecture un projet d'arrêté relatif au bien-être des dindes dans les élevages, indique le communiqué. "Mais ils ont préféré ne pas suivre les recommandations des experts du Conseil wallon du bien-être", en termes de densité dans chaque poulailler, déplore Gaia. "Manifestement, les intérêts de certains lobbies pèsent plus lourd dans la balance que d'assurer un niveau décent de bien-être animal", conclut Ann De Greef.

  • Les nouvelles mesures prises par le Codeco

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    A l'issue du comité de concertation, voici les  mesures prises annoncées par le Premier Ministre

    Réunions privées et activités dans un contexte organisé

    Le Comité recommande vivement pendant les activités dans un contexte organisé, telles que les camps sportifs, de ne prévoir aucune nuitée, ainsi que de limiter la taille des groupes.

    On demande aux ministres compétents de prendre les mesures nécessaires pour mettre en œuvre ces recommandations.

     

    Les événements de masse, y compris les marchés de Noël et les villages d’hiver, les représentations culturelles et autres et les congrès

    – à l’intérieur: interdits;

    – à l’extérieur: autorisés à condition de ne pas utiliser de tentes ou des espaces couverts par le public; maximum 1 visiteur par 4 m2; à partir de 100 visiteurs simultanément, un plan de circulation à sens unique doit être élaboré, avec des entrées et des sorties distinctes.

     

    Entreprises et associations offrant des biens ou services aux consommateurs

    Les magasins restent ouverts sous les conditions suivantes:

    – Les courses sont effectuées avec maximum 2 personnes, à l’exception des mineurs de son propre ménage;

    – Une distance de 1,5 mètre doit être garantie entre chaque personne;

    – Un consommateur est autorisé par 10 m2 de la surface accessible au public;

    – Si la surface accessible au public est inférieure à 20 m2, il est autorisé d’accueillir deux consommateurs, à condition qu’une distance de 1,5 mètre soit garantie entre chaque personne;

    – Si la surface accessible au public est supérieure à 400 m2, un contrôle d’accès adéquat doit être prévu;

    – L’activité doit, le cas échéant conformément aux instructions de l’autorité compétente, être organisée de manière à ce que les rassemblements soient évités et à ce que les règles de distanciation sociale puissent être respectées, en particulier en ce qui concerne les personnes qui attendent à l’extérieur de l’établissement.

     

    Secteur culturel et récréatif

    Les entreprises et associations offrant des activités culturelles, ou récréatives aux consommateurs à l’intérieur, sont fermées: cinémas, salles de concert, salles de théâtre.

    Seules les exceptions suivantes sont autorisées:

    – Les bibliothèques, les ludothèques et les médiathèques;

    – Les musées;

    – Les camps sportifs;

    – les piscines, à l’exception des parties récréatives et des piscines subtropicales;

    – Les activités organisées qui sont destinées aux groupes vulnérables, à savoir les activités socioculturelles, les activités d’éducation permanente et d’activités de jeunesse qui sont encadrées par des professionnels;

    – Les salles de fêtes et de réception uniquement pour des mariages et enterrements;

    – Les centres de bien-être, comprenant entre autres des saunas, solariums, jacuzzis, hammams et bains de vapeur;

    – Les centres de fitness.

    Les parcs d’attractions à l’intérieur sont fermés.

     

    Le culte

    Les bâtiments utilisés pour le culte et pour l’exercice public de services moraux non confessionnels restent accessibles.

     

    Compétitions sportives

    La présence de public lors de compétitions et entraînements sportifs professionnels et non professionnels, à l’intérieur comme à l’extérieur, est interdite.

    bowling, snookers, paintball, escape-room: interdits

     

    Télétravail

    L’obligation de télétravail à domicile est maintenue. Un moment de retour de maximum un jour par semaine par personne peut être organisé.

    Par jour, un maximum de 20% de ceux pour qui le télétravail à domicile est obligatoire peut être présent simultanément dans l’unité d’établissement.

     

    Obligation généralisée de port du masque dans l’enseignement

    À partir de l’âge de 6 ans tant dans les espaces accessibles au public ( couloirs, salle d’études…) que dans les espaces non accessibles au public ( classe, salle des professeurs…).

     

    Les réunions privées à domicile

    Le Comité recommande de réduire le nombre de contacts. Le Comité encourage fortement l’utilisation d’autotests. Le recours à l’autotest constitue notamment un moyen utile pour prévenir la propagation du virus. Il est donc conseillé de l’utiliser avant une réunion ou une rencontre.

    Les bénéficiaires d’une intervention majorée (BIV) et leur famille relative à leurs soins de santé peuvent se procurer 4 autotests par 2 semaines à un euro/pièce auprès d’un pharmacien.

  • Sapins ou agriculture ? Malheureusement, aujourd’hui le choix se pose

     

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    Hier, mercredi 15 décembre, l’émission Investigation (RTBF) s’est penchée sur l’épineuse question des sapins de Noël. Le titre « Mon beau sapin, roi du business » évoque à lui seul les nombreux problèmes que pose cette culture industrielle. La FUGEA et une famille d’agriculteurs soutenue par Terre-en-Vue ont été interviewées dans le cadre de cette longue d’enquête. En effet, depuis de nombreuses années, nos deux organisations font front commun pour dénoncer les dérives d’un business nuisible pour l’agriculture et l’environnement. Retour sur les raisons qui nous poussent à dénoncer cette culture.

    Depuis de nombreuses années, la culture de sapins de Noël occupe de plus en plus de terres agricoles en Famenne et en Ardenne.

    La FUGEA et Terre-en-vue s’associent, une fois encore, pour dénoncer l’utilisation de terres agricoles à des fins non-nourricières. Les sapins, qui ornent les salons de nombreux belges quelques semaines par an, rendent difficile l’accès à la terre pour les fermes à taille humaine – celles-là même sur lesquelles nous comptons pour garnir nos tables toute l’année.

    Sur le terrain, nous entendons le cri du cœur de nos agriculteurs : «Un sapin occupe une terre nourricière pendant 7 ans pour trôner quelques semaines dans un salon. » « Notre ferme est encerclée de sapins de Noël : quand la Wallonie va-t-elle comprendre que nous ne pouvons pas nous nourrir avec des sapins ? »

     

    Explication.

    Une pression sur le marché foncier. La culture de sapins est bien plus rentable et moins risquée que la culture de carottes ou l’élevage laitier ou viandeux. Les pépiniéristes mettent le prix fort pour acquérir les terres. Très rares sont les agriculteurs capables d’acheter de telles terres devenues si chères.

    Une dégradation des sols et de l’environnement. La culture conventionnelle de sapins a recours à un usage important de produits phytosanitaires et d’engrais chimiques. N’étant pas reprise comme activité agricole, la culture de sapins échappe au Programme de Gestion Durable de l’Azote et aux contrôles potentiels qui visent à limiter l’impact des effluents agricoles sur nos nappes phréatiques – pour ne citer qu’un élément de notre environnement victime de la pollution.

    Manger du sapin ? Le sapin, cultivé en zone agricole, remplace les cultures nourricières ou les prairies permanentes servant au pâturage. Cette monoculture a un impact direct sur notre souveraineté et sécurité alimentaire. Quand bien même elle n’est pas l’unique responsable de l’accaparement de nos terres agricoles, elle s’ajoute à une diversité d’autres occupations qui portent préjudice à nos terres agricoles : manèges équestres, énergie (panneaux photovoltaïques, éoliennes,  bio-méthanisation…), zonings industriels, voiries, loisirs et  tourisme… Certaines de ces activités sont soumises à l’octroi de permis, permettant l’intervention de citoyens sur le processus décisionnel – la culture de sapins en zone agricole, par contre, ne nécessite pas de permis !

     

    Alors que faire ?

    1. N’achetez pas de sapin ! Nous invitons tous les citoyens et institutions à être créatifs et à inventer de nouvelles décorations à l’occasion des fêtes ! Faisons savoir à tous les conséquences néfastes des cultures de sapins, et marquons notre soutien à une agriculture qui nous nourrit !

    2. Nous appelons la Wallonie à mettre en place une politique foncière qui soit au service d’une agriculture nourricière, locale et durable, incluant la mise en place :

    ·         d’un statut de « terres nourricières » pour protéger les terres de toutes les activités concurrentes qui participent à la hausse des prix.

    ·         d’une gestion transparente des terres publiques dans le but d’une mise à disposition de projets agricoles nourriciers et durables.

    ·         d’une régulation du prix du marché foncier.

    Il en va de notre nourriture, de la survie de nos fermes familiales et de la préservation de notre environnement !

     

    Contacts

    ·         Alix Bricteux  Chargée de communication (Terre-en-Vue) : 0483 49 22 56

    ·         Yves Vandevoorde  Coordinateur politique (FUGEA) : 0491 39 49 50

    (Communiqué)

  • Nucléaire : le meilleur scénario est plus que jamais la sortie en 2025

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    Le Gouvernement fédéral va incessamment décider du sort du nucléaire. Pour Inter-Environnement Wallonie, le scénario aujourd’hui incontournable est celui de la sortie « par le haut » qui réclame l’accélération de la mise en œuvre des alternatives. C’est, d’après nos informations, ce que le nouveau rapport du Gouvernement semble d’ailleurs confirmer. Explication.Prendre une décision dans le dossier nucléaire est devenu complexe pour les autorités qui ont trop trainé pour assumer la décision de sortie prise en 2003, et qui n’ont dès lors pas assuré une transition progressive et suffisante des alternatives. Il s’agit non seulement du renouvelable, mais aussi de la gestion de la demande, d’un réseau de distribution et de transport plus flexible et renforcé, d’une baisse des gaspillages…

    Prolonger les réacteurs, un chemin pavé d’incertitudes

    Imaginons que le Gouvernement fédéral décide d’ici la fin de l’année d’entamer les négociations avec Engie pour prolonger 2 réacteurs. Problème ! Engie a annoncé plusieurs fois avoir tourné la page nucléaire. Et les retours reçus des sites de Tihange et Doel confirment que cette décision est effectivement mise en oeuvre sur le terrain.
     
    Un tel contexte est très loin d’être propice pour une négociation avec l’électricien et l’on doute qu’elle se fasse à l’avantage des autorités ! Pour appâter Engie, le président du MR, Georges Louis Bouchez propose de mettre sur la table les coûts de démantèlement des réacteurs et des déchets. Il s’agit d’un cadeau potentiel de plusieurs milliards € à charge de l’Etat et donc in fine du contribuable. Tout ça pour une prolongation inutile. En comparaison, les couts liés à l’arrêt du nucléaire comme le soutien octroyé à une centrales au gaz supplémentaire (~ 75 millions €/an) seront très faibles.
    Pour clore le débat sur les coûts, rappelons que fermer les réacteurs affectera peu le prix de l’électricité comme l’objectivait une récente étude de l’UGENT. Les prix marginaux sont en effet fixés au niveau européen et nos 2 réacteurs n’ont qu’une influence limitée sur ceux-ci. « L’impact de la non-prolongation de Doel 4 et Tihange 3 a été évalué à une fourchette entre 4,2 et 12,6 euros (HTVA) par an pour une consommation moyenne d’électricité. A cela il faut ajouter le coût des subsides qui seront octroyés aux centrales au gaz ».

    La prolongation n’évacue pas la question de la sécurité d’approvisionnement

    Les deux réacteurs seront-ils disponibles au cours des hivers 2025-2026 ? Des travaux sont requis avant toute prolongation et il faut en outre recevoir le feu vert de la commission européenne, obtenir les permis environnementaux, et à nouveau un feu vert en termes de sécurité… Aucune de ces étapes n’est acquise d’emblée et chacune peut être la cause de retards conséquents.
    Donc, décider de prolonger 2 réacteurs n’est pas une garantie que la sécurité d’approvisionnement est acquise pour les hivers 2025-2026… Au contraire.

    Prolonger, c’est plus de déchet et plus d’insécurité.

    Prolonger ces 2 réacteurs implique que plusieurs tonnes de combustibles usagers et de déchets nucléaires de haute intensité viendront se rajouter aux déchets existants… Nous n’avons toujours pas l’ombre d’une solution pour ces déchets hautement dangereux pour des milliers d’années... A la chambre en juin 2021, Thierry Saegeman, CEO d’Engie, précisait que l’entreposage des déchets sur le site durerait 80 ans…
    La prolongation retardera irrémédiablement le début des travaux de démantèlement qui devraient eux, prendre plusieurs dizaines d’années. Engie, qui dispose aujourd’hui de peu d’expérience en matière de démantèlement, parle d’une échéance tournant autour de 2045. Il est bien sûr inimaginable de se lancer dans ce type de travaux sur un site encore en activité !
    Enfin, ces deux réacteurs nucléaires construit pour durer 40 ans sont forcément moins fiables et donc potentiellement plus dangereux que des nouvelles installations. Le Conseil supérieur de la santé (CSS) est clair sur le sujet :« Le risque d’accident nucléaire grave ne peut donc pas être exclu et la Belgique présente à cet égard une vulnérabilité spéciale en raison des caractéristiques des sites concernés : situés près de grandes villes et axes de trafic international, réseau routier saturé et populations denses. (…) Le CSS estime que, vu la vulnérabilité particulière des sites belges, la poursuite de ce risque pendant 10 ou 20 ans supplémentaires pose des questions d’ordre environnemental, sanitaire et éthique. »
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    Le scénario de sortie du nucléaire en 2025

    Le scénario d’une prolongation des réacteurs de Doel 4 et Tihange 3 est donc un chemin pavé de doutes, d’incertitudes et de risques.
    Le scénario de l’arrêt des réacteurs pose indubitablement la question du climat. IEW est engagé de toute cette force dans cette lutte. Prolonger 2 réacteurs diminuera les émissions de CO2, mais pas dans les proportions défendues par les pro-nucléaires qui tentent de nous faire croire que ces 2 réacteurs sont au cœur de l’enjeu climatique. En fait, le débat sur la prolongation nucléaire qui représente 4% de notre production d’énergie est tout à fait secondaire. Et ce gain ne justifie pas le risque à prendre.
    Notons – ce n’est certes pas toujours simple à comprendre – que le marché du carbone ETS va absorber une part de ces émissions de CO2 émises sur le sol belge ! C’est indéniable ! En effet le marché fixe un plafond d’émissions de CO2 au niveau européen qui ne sera pas dépassé, que l’on installe des centrales au gaz belges ou pas… En conséquence, par un jeu de vase communicant, faire tourner des nouvelles centrales gaz belges va entraîner une diminution du recours à des centrales plus polluantes ailleurs en Europe.

    Le scénario de « sortie par le haut » : une transition accélérée.

    Faire tourner un minimum ces fameuses centrales gaz et donc émettre le moins possible de CO2 est à notre portée et ne dépend que de nous ! Plus vite nous installerons les alternatives au nucléaire et au gaz, moins nous émettrons de CO2.
    Accélérer l’installation des alternatives au nucléaire et au gaz en Belgique est, de fait, la clé de voûte du débat. C’est la « sortie par le haut »…
    Les projections réalisées par Elia sont claires. Pour sortir du nucléaire en 2025 sans risque sur la sécurité d’approvisionnement, il faut accélérer le développement des alternatives en ligne avec les projections du Plan Energie Climat remis par la Belgique à la Commission européenne en 2019. Ces objectifs sont un minimum à atteindre.
    IEW invite à aller bien au-delà des projections de ce plan de 2019. Il est temps de mettre le turbo à la transition énergétique belge ! Et le maintien des deux réacteurs est un frein indubitable à cette évolution. Avec 2 réacteurs en activité, nous aurons par exemple des moments de surproduction d’électricité qui vont se multiplier, entrainant l’arrêt d’éoliennes, ce qui affectera leur rentabilité.

    Il est trop tard pour un débat sur la prolongation

    Les partisans d’une prolongation du nucléaire arrivent comme les carabiniers d’Offenbach… Le seul scénario positif pour la Belgique est une « sortie par le haut ».
    Il est temps que les Régions, que les citoyens, que les entreprises… tous ensemble se retroussent les manches pour accélérer le développement du renouvelable, du stockage, de la flexibilité, de la réduction des gaspillages…
    La Belgique n’a jamais été si prête. Même si c’est probablement un sport national de remettre tout en cause à deux doigts la ligne d’arrivée.
    Changer de cap maintenant serait une erreur historique. (Communiqué)
     
  • Inondations : la Ville communique

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    ⚠️Avis à la population ⚠️
    Reconnaissance des inondations comme calamité publique.
    Visé, en ses composantes Lanaye, Lixhe et Devant-le-Pont, a eu très peur des inondations, mais l’eau est finalement passée sans causer trop de dégâts.
    Mais il peut y en avoir, et également en dehors de la zone située entre canal et Meuse.
    Nous nous estimons privilégiés par rapport à diverses communes, notamment celles de la vallée de la Vesdre qui auront bien besoin des aides.
    Si la Ville de Visé introduit une demande de reconnaissance, ce ne peut être qu’en fonction des dommages individuels qui ne sont pas couverts par une assurance.
    Si donc vous avez subi un dommage lié à la calamité publique et non couvert par un contrat d’assurance, vous pouvez vous adresser, dans les meilleurs délais, au secrétariat communal, rue des Récollets, 1, à Visé (tél. 04/3748431). Il vous faudra alors déposer des éléments probatoires de votre dommage et une première estimation de celui-ci.
    Après, nous verrons si le gouvernement wallon reconnaît un périmètre de calamité publique en Basse-Meuse liégeoise.
     
     
    Le DG                                     Le premier échevin                                  La bourgmestre
    Ch. Havard                               F. Theunissen                                               V. Dessart