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Quartiers - Page 78

  • En 2012, la ville renforce sa lutte contre les incivilités

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    Ce matin, au pied des bulles à verre du quartier de la Wade, on trouvait de tout : même un seau hygiénique. Honte à vous, auteur(s) de ces dépôts, vous polluez notre ville !

    Chacun peut remarquer que les chemins, rues, places, espaces verts, sont envahis de toutes sortes de déchets abandonnés ou jetés. Toute la population en est gênée. La ville doit affecter en permanence des ouvriers au ramassage de ces saletés. Le coût de cette main d'oeuvre est pris en charge par la collectivité. Le collège estime que la majorité ne peut payer pour "l'incivisme" de quelques uns.

    Les dépôts sauvages, quelle que soit leur taille, ne sont pas faciles à identifier quant à leur auteur. Tant les policiers que certains agents communaux formés rapportent divers constats au Sécrétaire communal qui a la compétence d'infliger une amende aux pollueurs, dont le montant peur aller jusqu'à 250 €. A celà s'ajoute la facture pour les frais d'enlèvement et de nettoyage par les services communaux.

    En 2011, 55 dossiers ont été ouverts. a titre d'exemple, CR a écopé d'une amende de 100€ pour avoir jeté sa canette de coca par la fenêtre de sa voiture dans le quartier Ma campagne, un garage automobile s'est acquitté de 25€ parce que son employé avait expulsé son mégot sur a voie publique. RL incinérait ses déchets de plastique dans un quartier peuplé de Cheratte Bas : 250€ lui ont été réclamés. Cette même amende a été infligée à OM qui vidait sa remorque de déchets dans un sentier de Lixhe. Si l'amende n'est pas payée dans les délais, un Huissier de justice s'occupera d'en récupérer le montant (augmenté, évidement, des honoraires cet Officier de Justice)

    La ville agit donc dans l'intérêt de l'ensemble de ses citoyens. On ne passe pas toujours inaperçu et la ville se montrera inflexible envers ces agissements délictueux, inciviques et honteux.         

  • Agenda des prochaines activités dans l'entité - Mise à jour

     

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    Agenda susceptible de modifications suivant les annonces de nouveaux évènements.


     

    -  Le 16 février : conférence "Quelle église pour le monde d'aujourd'hui ?" par Serge Maucq. Salle Maria Goretti (Inst. du Sacré Coeur Avenue Albert 1er) à 20 h Rens : 04/379.17.30

    - Le 17 février : Anniversaire de la mort du Roi Albert. La section visétoise de la F.N.C organise un cortège au départ de l'Hôtel de Ville en direction du monument du Roi Albert au pied de l'avenue des Combattans. Les drapeaux monteront une garde silencieuse de 16h à 17h devant la stèle. 

    - Du 23 février au 04 mars : Exposition de peintures de Pierre Colson. De 14h à 18h à la chapelle des Sépulcrines. Vernissage le 22 à 19h

    - Le 22 février : Collecte de sang au Collège St Hadelin 

    - Le 24 février : "Les richesses de l'art mosan" par Albert Lemeunier. A la salle polyvalente du Centre culturel à 20h. Renseignements au musée : 04/374.85.63.

    - Le 26 février :  Bourse "Vieux papiers auto" à l'Institut St Joseph rue de la Croix Rouge. (une news dédiée va paraître.

    Les 2,3 et 4 mars : Week-end tapis rouge à la salle des Arbalétriers : Le 2 à 20h30, concert de la Troupe En Chanté.                

  • Dans les environs : Hermée on leur coupe le courant alors qu'il fait - 10°

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    Philippe et Christine vivent à Hermée. Il est commercial et elle est fonctionnaire. Lundi en rentrant du travail Christine constate qu'il n'y a plus de courant chez elle. Elle va examiner le compteur et les fusibles, mais tout lui semble normal. Comme son compagnon n'est pas encore rentré du travail, elle contacte deux membres de sa famille. L'un après l'autre, les deux hommes examinent l'installation sans rien découvrir d'anormal. Tout est bien enclenché. Il semble que le compteur ne soit pas alimenté. Un électricien professionnel est alors appelé. Nous sommes en soirée et il commence à faire froid dans l'habitation, plus rien ne fonctionne. L'homme de métier ne constate lui non plus rien d'anormal.

    "L'électricien a donc téléphoné chez Resa, explique la jeune femme. On lui a répondu que leur société avait coupé l'alimentation en énergie dans l'après-midi, suite à une demande de Luminus. Chez Luminus, les bureaux étaient fermés, je devais attendre le lendemain. Pas de lumière, pas de chauffage, plus rien ne fonctionnait. De plus, nous avions peur pour l'élevage de poissons d'aquarium de Philippe". Le couple va donc loger chez les parents du jeune homme.

    Mardi matin, Philippe enchaîne les appels téléphoniques. Chez Resa, il apprend que la demande de coupure d'énergie leur a été faite par Luminus... au mois de mai l'année dernière !!! Surchargés, ce n'est que maintenant qu'ils ont pu exécuter cette demande. Fameux retard : neuf mois ! On confirme à Philippe que toutes ses factures sont payées, qu'il ne doit rien à personne.

    "Chez Luminus, explique alors Philippe, on m'a rappelé qu'au mois de mai j'avais payé une facture en retard. Comme je n'étais pas d'accord de payer une amende pour quelques jours de retard, ils m'avaient proposé de m'installer un compteur fonctionnant avec une carte prépayée, ce que j'avais immédiatement refusé. Le mois suivant, la situation était réglée, j'avais payé ce qu'ils exigeaient et ma maison a continué d'être alimentée en énergie. J'ai toujours payé ce que je devais. Ce que j'ignorais, c'est qu'au mois de mai, Luminus avait demandé qu'on débranche mon raccordement"

    Pour tenter de savoir comment une telle décision pouvait être prise alors qu'il fait -12/-13 les nuits nous avons contacté aussi bien Resa (le transporteur d'énergie) que Luminus (le fournisseur du client).

    Chez Resa, notre correspondant nous a expliqué que vu le retard accumulé dans leur service, ils n'avaient pu effectuer la coupure plus tôt. Quand à savoir pourquoi la décision de débrancher l'alimentation électrique avait été exécutée lors des conditions météos actuelles, ils n'ont pas désiré communiquer.

    Luminus reconnaît son erreur et présente ses excuses au couple. La société a effectivement demandé à_DSC0127.jpg Resa d'interrompre l'alimentation en électricité des jeunes Herméens en mai 2011. Le mois suivant, lorsque la situation administrative a été réglée, on a "oublié" d'annuler la demande de coupure auprès de Resa. Luminus insiste sur le fait que le retard de plus de huit mois ne leur est pas imputable.

    Philippe, qui travaille pour un grand groupe pétrolier, a son bureau à la maison. "Je ne savais même plus envoyer un mail" précise-t-il. Et Christine d'ajouter "Heureusement que nous n'avons pas encore d'enfant ! Vous voyez un petit bout dans une maison où il n'y a que 10 degrés ? Il y a bien un feu ouvert dans notre living, mais nous ne nous en étions jamais servis. Nous avons dû emprunter quelques bûches. En plus, le ventilateur ne fonctionne pas, puisqu'il est électrique"

    "Si ils ont le malheur de me réclamer des frais pour le débranchement et le rebranchement, ils entendront parler de nous" tempêtait Philippe, "c'est de leur faute, nous ne devons rien à personne"

    La chaîne du froid ayant été rompue, le contenu du congélateur doit être jeté. Quand aux poissons d'aquarium, hier en fin de journée, un voisin compatissant avait tiré une allonge de chez lui pour permettre de rebrancher le système de chauffage et d'aération. Aura-ce été suffisant ?  

    Mardi à 19h30, un technicien Resa est venu effectuer le rebranchement en électricité. Le brave homme n'a évidement pas voulu émettre de commentaire sur la situation, mais son regard en disait long. 

     Philippe et Christine terminent : "Nous pensons que c'est quand même grâce à vous, la presse, que nous avions avertis, que les sociétés se sont dépêchées de réparer leur "boulette". Sans vous, nous sommes persuadés que nous aurions encore pu attendre..."


  • Dans les environs : Haccourt, soirée caritative pour Logan, 8 ans, atteint d'un cancer incurable

    401488_1963173234121_1086541900_32445046_1295784917_n.jpgLogan habite Haccourt avec son papa, sa maman et ses deux frères. Le 18 avril dernier, en jouant au football à proximité de chez lui, il a reçu le ballon et un coup de genou sur la tête. Souffrant d'une commotion cérébrale, l'enfant est resté hospitalisé trois jours. Son papa explique : "De retour à la maison, je voyais qu'il y avait quand même quelque chose qui n'allait pas. Le gamin n'était plus comme avant. J'ai appelé notre médecin de famille qui nous a envoyé passer un IRM"

    Là, c'est la catastrophe. On détecte une tumeur cancéreuse au cerveau du petit. Elle est de grade 4, inopérable. Le petit subit alors un traitement de radiothérapie à Namur, pendant trente jours. Actuellement il continue à faire de la chimio à domicile : cinq jours de chimio, 23 jours de repos et ainsi de suite. Les médecins sont plus que pessimistes, l'enfant est condamné à plus ou moins brêve échéance.

    "Ils m'ont dit que tout ce que nous pouvions faire, ajoute le papa, c'est de lui faire profiter du peu de temps de vie qu'il lui reste. Son rève est d'aller voir les orques au Marineland à Antibes, sur la côte d'azur. Notre situation familiale ne nous permet pas de nous y rendre en famille. C'est pour cette raison qu'une soirée est organisée ce 18 février à la Maion du Peuple de Haccourt, mise gracieusement à notre diposition. Les bénéfices retirés serviront à réaliser le voeu de Logan". 

    Un club moto local, les Kurrgans, s'est associé à cette démarche et organise une balade moto au profit de cette opération caritative. Comme le fiston aime bien la moto, si les conditions météo le permettent il aura l'occasion de faire quelques centaines de mètres sur un trike. Bon courage à sa famille pour l'avenir.

  • Petit Lanaye : quarante habitations sans eau depuis samedi

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    A l'heure actuelle, la tour de commande de l'écluse et les habitations n'ont toujours pas d'eau.

     

    Depuis samedi matin, il n'y a plus d'eau dans une quarantaine d'habitations de Petit Lanaye. Depuis samedi après-midi, les ouvriers de le CILE sont sur place. Ils ont travaillé jusqu'aux environs de minuit ainsi que la journée de dimanche. Une nouvelle vanne a été installée, mais deux fuites subsistaient. Ce matin, le bloc d'habitations attenant à l'écluse n'était toujours pas alimenté, la tour de commande de l'écluse et le bâtiment de la régie voisin non plus. "Les ouvriers vsont en train de creuser devant le bâtiment de la régie" nous confirmait un éclusier il y a quelques minutes à peine. "Nous avons de l'eau sporadiquement, quelques minutes, oui, quelques minutes non". Espérons pour ces travailleurs et habitants que le problème soit rapidement résolu. Selon la CILE, des bidons d'eau potable ont été distribués (un bidon de 10l doit suffire aux besoins d'une famille de 4 personnes pendant 24h)