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Visé-infos - Page 194

  • A la chapelle des Sépulcrines à Visé, exposition des oeuvres de Julian Van Bur et de son atelier

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    A Visé; rue du Collège 21, exposition des oeuvres de Julian Van Bur et des élèves de son atelier, jusqu'au 16 mai, tous les jours de 13h à 18h.

    Entrée libre et respect des normes sanitaires

    PEINTURE, Céramique.

    Atelier : Danielle Colin, Brigitte.........., Catherine Coue,

    Anne De Lamper, Josiane Ducachet , Christiane Goujon, 

    Michael  Jiliak, Math, Marcelle Leunis, Liliane Lizen, 

    Frans Reul,  Zou, Nicole Forir, Marie claire Dormal, Huberte Dessart, Pierre Desmeth.

    Photos : © Adrien Angé (6 ans et demi)

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    Le jeune photographe au travail, vu par grand-papa. Merci à Adrien pour son reportage et encore bravo à lui !

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    (P. Neufcour)

     

  • LE DEVOIR DE MÉMOIRE 1914-1945 vient de sortir. 132 pages de conseils

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    LE DEVOIR DE MÉMOIRE 1914-1945 vient de sortir. 132 pages de conseils

    Sortie dernièrement, cette édition du comité national belge du Souvenir (asbl) écrite par son président Jean-Pierre Schellekens analyse cette période 1914-1945. Il tente de démontrer combien les découvertes scientifiques (amplement expliquées), les souffrances des populations, les évolutions mentales, les erreurs politiques et les espoirs d’un monde meilleur se suivent et se ressemblent pour n’être compris que dans une seule époque globale qui réunit les 2 guerres mondiales. L’auteur veut aiguiller le lecteur à cultiver un esprit critique concernant les interprétations des faits et à souligner l’importance d’une empathie envers ces situations que nous espérons ne plus jamais revivre.

    Il évoque la mémoire dans notre société : celle de différents héros tant dans leur vie que par leurs exploits, le rôle des écrivains (cités en grand nombre) et l’importance de la musique (un grand nombre de titres de CD nous est donné dans ce livre). Les monuments de nos villes et les peintres qui ont transcrit dans leurs œuvres leur expérience de la guerre sont aussi d’autres piqures de rappel. La plupart de temps, l’immédiate après-guerre a été l’heure du pacifisme. L’auteur insiste aussi sur la pédagogie et l’importance des visites de site (pour la Belgique, Breendonk ou Malines ou pour l’ailleurs, Auschwitz). Il ne négative pas cette période car ce fut l’occasion de découvertes médicales. Mais à contrario, des innovations chimiques, biologiques , technologiques développèrent aussi les mécanismes de mort. Après ces guerres, des améliorations sociales (la sécurité sociale) et des changements économiques virent le jour.

    La mémoire vise aussi les victimes, comme les résistants militaires et civils mais aussi la population civile dans son ensemble - comme ceux qui moururent de faim en 1914 – et surtout la shoah.

    M.Schellekens aborde et c’est important le comportement humain de la mémoire avec le danger de l’indifférence ou le droit à l’oubli, le chagrin et la foi. Ce devoir finalement c’est le poids du passé sur l’avenir : sur les deux guerres pourquoi se souvenir, comment le faire. Une question essentielle dans ces conflits : pourquoi mourir pour un autre ou la solidarité et de citer des extraits de Malraux lors de l’entrée de Jean Moulin au panthéon ou de l’opéra 31 mai 1413 et de quelques autres.

    Arrive en fin de livre une abondante documentation : une liste de bibliothèques, une nombreuse sélection de films, de littératures , de musiques tant de films que sacrées, classiques ou des chansons populaires. Il y a aussi des œuvres d’art à voir, des pièces de théâtre à découvrir. Importantes aussi les tombes des soldats inconnus de par le monde et les dates de commémorations, les centres de recherches où retrouver une victime militaire ou civile. Une bibliographie historique parachève ce livre important pour l’enseignant, le chercheur, le passionné d’histoire. Un index des centaines de noms de personnes ou de lieux cités est des plus instructifs avec une liste de la centaine d’illustrations. Bonne synthèse rarement trouvée dans un seul ouvrage.

    JPRGM

  • Argenteau : un cycliste percute la benne d'un tracteur. Ses jours sont en danger.

    A la sortie d'un virage, Jean (66 ans) a été victime d'un grave accident. A la sortie d'un virage, il a percuté la benne d'un tracteur. Les secours et le police se sont rendus sur place et l'hélicoptère médicalisé a été appelé.  

    L'accident n'a pas eu de témoins et le conducteur du tracteur ne sait pas expliquer ce qu'il s'est passé. L'enquête devra déterminer les circonstances exactes dans lesquelles cet accident s'est produit. (P. Neufcour)

  • Visé : belle reprise de l'horeca, si on en croit le monde aux terrasses

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    Cet après midi, vers 16h45, il devenait malaisé pour les consommateurs de trouver des tables libres aux terrasses des cafés du centre ville comme en témoignent les quelques photos reprises ci-dessous. Un air de "liberté" retrouvée, de joie, de bonheur simple et de convivialité planait sur le place Reine Astrid. Tant pour le bien des consommateurs que pour celui des exploitants des divers établissements fermés par obligation.

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    DSC_7436.JPGLe cabinet d'orthodontie du docteur Raskin avait lui aussi décidé d'installer une terrasse devant son établissement!

    © Photos P. Neufcour

  • Le bureau d'architecte Luc Spits veut ériger un "totem" à l'entrée de Visé

    Pour rappel, le bureau d'architectes Luc Spits veut ériger une tour "contemporaine"  de 11 étages composée de 13 appartements et 1.400 m² de bureaux à l’entrée de la Ville de Visé, juste à la sortie de l’autoroute E25 sorte de collégiale moderne!  Après avoir emprunté cette sortie d’autoroute et franchi le pont, vous arrivez à un grand rond-point et le site se trouve directement à gauche rues Porte de Souvré et de Jupille.

    Le collège de Visé a tenu à organiser une réunion d’information en présence de l’architecte et des riverains proches Cette réunion s’est tenue ce mercredi soir à l’Hôtel de ville de Visé.

    « J’étais présent en tant qu’échevin de l’Urbanisme avec un représentant du service de l’Urbanisme et l’architecte visétois Luc Spits. Il y avait aussi 18 riverains à raison d’une personne par famille concernée par le projet et domiciliée à moins de 50 mètres du projet », détaille Xavier Malmendier. (ndlr : pourquoi seulement 18 familles impactées par ce projet?)

    « Il y a eu une projection sur grand écran du projet et chacun a pu exprimer son point de vue. Le collège n’était pas obligé de tenir cette réunion mais il nous a semblé qu’elle s’imposait, vu la pétition lancée avant même le début de l’enquête publique », ajoute l’échevin de l’Urbanisme.

    Une réunion constructive

    « Globalement, cette réunion s’est bien déroulée et chacun a pu exprimer son point de vue durant une heure, dans le respect de chaque partie. C’est la luminosité qui pose le plus de problème aux riverains qui peuvent formuler leurs remarques par écrit », précise encore Xavier Malmendier.

    « Certaines personnes ont indiqué qu’elles aimaient bien ce projet mais se demandaient pourquoi le construire à cet endroit. Je leur ai rappelé que l’endroit était symbolique pour marquer l’entrée de Visé, sans vraiment cacher la Collégiale. Tout dans ce projet a vraiment été étudié de manière très approfondie (hauteur, forme…). C’est un peu un totem en entrée de ville. Je sais que c’est un projet audacieux. Certains ne l’aiment pas et je peux le comprendre et l’entendre », indique Luc Spits. (Ndlr : nous, les visétois, avons-nous vraiment besoin d'in totem? Cette tour serait un peu comme un wigwam géant?)

    Plan d’ensoleillement

    « J’ai envoyé ce jeudi au service de l’Urbanisme à Visé un plan d’ensoleillement heure par heure et pour chaque maison située autour de ce projet. les riverains perdront chaque jour un maximum d’une heure à une heure trente d’ensoleillement », avoue l’architecte visétois.

    Nous saurons mardi prochain si Luc Spits a été convaincant au vu du nombre des réclamations.

    À noter que ce mercredi soir, une manifestation d’une quinzaine de personnes opposées au projet s’est tenue devant l’Hôtel de Ville de Visé avec des représentants notamment du PTB,  de Visons Demain mais aussi de simples citoyens.

    (Source : Marc Gérardy/a+euse)