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  • Une voiture fait plusieurs tonneaux à Hermalle : un blessé

    Une voiture qui circulait depuis Haccourt en direction d’Argenteau a, d’après les premiers éléments observés sur place, voulu éviter un autre véhicule alors qu’il circulait plutôt rapidement… Il s’est alors déporté vers le centre de la route et aurait percuté un potelet, envoyant la voiture dans les airs, qui a ensuite effectué plusieurs tonneaux sur des centaines de mètres avant de s’immobiliser.

    La zone de police de la Basse-Meuse et une ambulance sont sur place : le conducteur de la voiture est blessé et a été emmené en milieu hospitalier. Une désincarcération n’a pas été nécessaire. Ses jours ne sont vraisemblablement pas considérés comme en danger malgré l’ampleur des dégâts. (Source : La Meuse)

  • Relais pour la Vie : tous les évènements prévus reportés en 2021

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    En 2021, La Fondation contre le Cancer prévoit d’organiser tous ses Relais pour la Vie pendant l’été, entre le 12 juin et le 5 septembre.

    Face à la pandémie de Covid-19, la Fondation contre le Cancer avait dû prendre la décision difficile mais réfléchie d'annuler tous les événements des Relais pour la Vie qui devaient se tenir du printemps à l’automne en 2020, et de les déplacer en 2021. Étant donné l'incertitude toujours présente quant à la possibilité de les organiser dans leur forme habituelle en 2021, la Fondation contre le Cancer va maintenant plus loin et les événements des Relais pour la Vie seront exceptionnellement concentrés sur une période donnée, à savoir l'été 2021.

    Cette période offre probablement le plus de chances de faisabilité ! Il faudra un certain temps avant que la vie "normale" puisse reprendre et que de grands événements puissent avoir lieu. En outre, on ne sait pas quelles mesures de précaution seront prises à l’avenir et quel impact elles auront sur les événements. Il est probable que ces mesures seront progressives, ce qui aura bien sûr aussi un effet sur les préparatifs des nombreux événements du printemps, y compris les Relais pour la Vie. L'été sera la période idéale La Fondation contre le Cancer a donc jugé prudent de déplacer tous les événements des Relais pour la Vie aux mois d'été.

    La décision a été difficile à prendre, mais l'incertitude, le stress et les risques éventuels liés à l’organisation ont pesé lourdement dans ce choix. La santé des organisateurs, des bénévoles et des "Battants" passe avant tout. Ces derniers, surtout pendant la phase de traitement, font partie des personnes qui courent un risque plus élevé de complications en cas d'infection au Covid-19. Ils ne doivent pas prendre le moindre risque ! "Nous voulons protéger les bénévoles et les Battants contre le virus et réduire tous les risques. Et puis l'été est le meilleur moment pour organiser ces événements. Le temps est beau, tout le monde peut maintenir la distanciation physique et les événements peuvent se dérouler en plein air sans aucun problème. Le Relais pour la Vie doit rester une célébration de l'espoir et de la victoire » a commenté Benoît Koerperich, directeur général de la Fondation contre le Cancer.

    La Fondation contre le Cancer remercie les comités organisateurs pour leur flexibilité La Fondation contre le Cancer comprend que cette décision exige une certaine flexibilité de la part de tous les bénévoles et organisateurs. Il faudra un certain temps avant que chaque comité puisse fixer une nouvelle date et/ou un nouveau lieu pour chaque ville ou commune accueillant un Relais pour la Vie. La Fondation contre le Cancer remercie tous ceux qui sont engagés pour l’organisation de ces événements, et leur demande de la compréhension face à cette décision. Elle fera tout ce qui est en son pouvoir pour faire de cet été un succès. Elle apportera le soutien nécessaire aux comités, qui sont déjà au travail pour analyser quand et sous quelle forme ils pourront organiser leurs Relais pour la Vie de l'été 2021.

    www.relaispourlavie.be

  • Gardes médicales pour les 28 et 29 novembre dans la Basse Meuse et la vallée du Geer

    images.jpegMédecin de garde : du lundi au jeudi soir de 19h00 à 08h00 : un seul numéro : 04/379.09.00. 

    Pour leur sécurité, les médecins de garde de la Basse-Meuse sont en liaison avec les services de la Police.

    Attention :  un poste de garde médicale est ouvert les week-ends et jours fériés de 08h à 20 h rue Basse-Hermalle n° 2, à côté de la clinique. N° unique pour le médecin de garde : 04/374.09.34. 

     - Dentistes de garde : former le 112 pour connaître la liste. 

    PHARMACIES DE GARDE

    Pour toutes gardes entre 9h et 22h : www.pharmacie.be ou www.appl.be

    Pour toutes gardes entre 22h et 9h :

     Appeler le 0903/99.000

    - le samedi 28 novembre 2020 : Pharmacie STASSEN-BYA, rue Provinciale 629 à Slins

    Tél : 04/278.54.17

                                                 : Pharmacie WECKX, rue G. Wilket 7 à Saint-Remy 

    Tél : 04/387.44.99

                                                                                         

    - Le dimanche 29 novembre 2020 : Pharmacie MATHY, rue des Récollets 27 à Visé  

    Tél : 04/379.11.54

  • Voici toutes les nouvelles mesures annoncées par le Comité de concertation

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    Le Comité de concertation s’est réuni ce vendredi 27 novembre pour réévaluer les mesures de confinement qui sont en place depuis plusieurs semaines pour lutter contre la propagation du coronavirus en Belgique.

    Le moins que l’on puisse dire, c’est que nos responsables politiques se sont montrés prudents, alors que de nombreuses personnes espéraient un allégement des mesures. Si certains secteurs auront prochainement plus de libertés, plusieurs d’entre eux devront attendre de longues semaines avant d’entrevoir la fin du tunnel. « Il faut continuer à se protéger, surtout à l’approche de l’hiver », à d’ailleurs lâché le Premier ministre.

    Pour le ministre de la Santé, on sortira de l’oeil du cyclone si on arrive à maximum 800 nouveaux cas par jour et maximum 75 hospitalisations par jour et les autres indicateurs devront être favorables. À ce moment-là, on pourra imaginer un assouplissement.

    Voici, en résumé, les principales décisions qui ont donc été prises et les dates clés à retenir.

    Magasins (1er décembre)

    Comme attendu, les commerces dits « non-essentiels » pourront rouvrir dès la semaine prochaine, et plus précisément le 1er décembre « de façon responsable ». Mais sous strictes conditions. « Il n’y aura pas de fun shopping », a précisé Alexander De Croo. Il faudra faire ses courses seul (sauf si on accompagne une personne à mobilité réduite), durant un court laps de temps et il pourra y avoir maximum un client par 10 mètres carrés.

    L’accès aux rues commerçantes et aux centres commerciaux doit être géré par les autorités communales.

    Métiers de contacts

    Les métiers de contacts (coiffeurs, esthéticiennes, salon de massage et tatouages…) restent fermés.

    Musées et piscines

    Les musées et les piscines peuvent rouvrir dès la semaine prochaine (mais pas les centres aquatiques)

    Culture et sport

    Les secteurs culturels et sportifs (sauf les piscines et musées) restent à l’arrêt. Sur base des protocles, ces secteurs pourront être relancés si le contexte le permet. Ils doivent donc se préparer. Mais aucune date n’est évoquée.

    Noël (24 et 25 décembre)

    Le Comité de concertation a fait une exception pour le réveillon de Noël (le 24 au soir et le 25). Les personnes isolées pourront inviter leurs deux contacts rapprochés ensemble, ce qui n’est pas permis en temps normal. Rien ne change pour les familles qui ne peuvent recevoir qu’une seule personne. « Si aujourd’hui vous êtes déçus, je vous comprends. J’aurais aussi voulu fêter Noël avec ma famille, mais cette année, ce ne sera pas possible », a expliqué Alexander De Croo. « Il ne faut pas gâcher en quatre jours ce que nous avons fait ces dernières semaines ».

    Pour les rassemblements extérieurs, la règle de quatre reste d’application. Le couvre-feu fédéral entre minuit et 5h reste d’application. « Le couvre-feu du coté wallon est de 22h à 6h et il le restera », a précisé Elio Di Rupo. « La décision actuelle vaut jusqu'à la mi-décembre. Il faudra réévaluer la situation. Si nous décidons de maintenir le couvre-feu à 22h, je pense qu'on peut, le 24 et le 25, faire un couvre-feu de minuit à 5h mais je dois encore en parler au sein de mon gouvernement ».

    Il reste, quoi qu’il arrive, interdit de se rassembler. La vente et l’utilisation de feu d’artifice sont interdits.

    Horeca (15 janvier)

    À l’heure actuelle, le secteur de l’horeca reste fermé jusqu’au 15 janvier. Une évaluation aura lieu au début de l’année.

    Contrôles aux frontières et voyages à l’étranger

    Par ailleurs, Alexander De Croo a rappelé qu’il déconseillait fortement les vacances aux skis. Il y aura des contrôles aux frontières ! Pour vérifier si les personnes qui reviennent de l’étranger ont bien rempli leur formulaire et si elles respectent les mesures de quarantaine et d’isolement.

    Selon le Premier ministre, le vrai déconfinement n’aura lieu qu’à la moitié du mois de janvier.

    (Source Sudpresse)

  • Un élément du patrimoine : la carte vue ancienne qui retrouve ses lettres de noblesse

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    Les cartes vues anciennes, un immense réservoir de recherches ? Et d’étonnantes découvertes

     

    Combien d’entre nous ne conservent-ils pas des cartes-vues anciennes. Il est vrai qu’à notre époque , smartphone aidant, nos contacts sont plutôt d’envoyer une photo d’un coin que nous visitons chez nous ou à l’étranger et en un clic, notre famille et nos amis sont au courant. Et Facebook ou Instagram aidant, nous avons un cliché. Est-il conservé longtemps ou ne passe-t-il pas la journée pour disparaître finalement dans la blogosphère !.

    Mais au siècle précédent et même la fin du 19e s., la carte postale était un vecteur tout aussi important et même plus que le téléphone que seuls certaines entreprises ou particuliers possédaient. (3 chiffres pour Visé avant 1914 et 9 chiffres des numéros téléphoniques maintenant) ; Il y avait plusieurs levées postales par jour et les facteurs étaient nombreux à travailler. Le prix du timbre était à la portée de la plupart et les boites de la poste étaient nombreuses dans la ville et plutôt que d’envoyer une simple carte (avec enveloppe c’était plus cher), la carte vue illustrée était de mise pour tous les actes de la vie quotidienne : la mère âgée envoyait à sa fille plus mobile sa commande chez l’épicier du coin, l’élève en internat envoyait une des nombreuses cartes vues éditées par l’école à ses parents qu’il ne retrouverait qu’aux grandes vacances, le voyageur envoyait à sa famille des vues de la ville visitée et j’en  passe. Qui éditait ces cartes-vues qui font encore le bonheur des collectionneurs et des musées intéressés à connaître le passé de leur région ? Il y avait des éditions nationales comme les NELS, LEGIA, HERMANS mais le plus souvent des éditeurs locaux comme des photographes, des libraires, des épiciers, des commerçants, des hôtels ou des restaurants…….. Mais le collectionneur averti se méfiera des légendes :

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    une vue de la rue du Perron qui n’est qu’une vue de la Rue Haute, l’église en ruines de Visé qui n’est autre que l’église de Barchon,

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    le chantier naval de Cheratte qui se muera en sentier naval…….Ne pas prendre tout comme argent comptant.  Il y a aussi l’aspect idéologique comme ces cartes vues des ruines de la ville de Visé détruite par « les boches ». Au grand désarroi des chercheurs, certains coins d’une ville ne feront jamais l’objet d’un cliché car trop peu représentatif ou commercial. L’éblouissement des personnes aussi quand un photographe s’installait dans la rue et que tous ses habitants sortaient de chez eux pour être dans la « boite ». A côté du cliché, il y a les textes : simples parfois, naïfs peut-être, intéressants souvent. Essayons de reconnaître ceux de nos ancêtres qui y sont dessus  Regardons donc ces cartes-vues dont la cote est parfois surfaite selon qu’il y a des personnes ou un motif particulier, selon la soi-disant rareté. Apprécions le côté noir et blanc pour les plus anciennes et surtout ne les jetons pas dans nos poubelles. Il peut y avoir aussi des musées que cela intéresse !!!

    En légende, quelques vues intéressantes :

    Les ruines non pas du chœur  de la collégiale de Visé  mais bien de l’église de Barchon et à côté le vrai chœur de la collégiale ruinée  et la  fausse rue du Perron qui est le sommet de la rue Haute, sans oublier Cheratte  et son « sentier » naval. Arrêt sur images, les petites filles Jeanne et Philomène Cerfontaine venaient de sortir de l’école communale de la place du Marché et furent prises en photo au dessus de la rue Haute peu après 1900.