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  • Gardes médicales des 18 et 19 décembre 2021 pour la Basse-Meuse et la vallée du Geer

    images.jpegMédecin de garde : du lundi au jeudi soir de 19h00 à 08h00 : un seul numéro : 04/379.09.00. 

    Pour leur sécurité, les médecins de garde de la Basse-Meuse sont en liaison avec les services de la Police.

    Attention :  un poste de garde médicale est ouvert les week-ends et jours fériés de 08 hr à 20 hr rue Basse-Hermalle n° 2, à côté de la clinique. N° unique pour le médecin de garde : 04/374.09.34. 

     - Dentistes de garde : former le 100 pour connaître la liste. 

    PHARMACIES DE GARDE

    Pour toutes gardes entre 9h et 22h : www.pharmacie.be ou www.appl.be

    Pour toutes gardes entre 22h et 9h :

     Appeler le 0903/99.000

    - le samedi 18 décembre  2021 :  Pharmacie BERNARD, rue Visé-Voie 36 à Oupeye

    Tél : 04/264.21.04

                                                                                                             

    - le dimanche  19 décembre 2021 : Pharma Lixhe, rue de la Croix 13 à Lixhe

    Tél : 04/379.17.91

                                                                Pharmacie INGRAO, rue Tollet 5 à Oupeye

    Tél : 04/264.04.46

                                                   

  • A Visé, un nouveau règlement tente de corseter l'opposition (Communiqué)

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    La démocratie est fragile ... aussi au niveau local.

    Ceux qui exercent le pouvoir cherchent souvent à limiter les droits de l'opposition à s'exprimer.

    C'est ainsi que le Conseil communal de Visé revit l'épisode de 2013 où la majorité de l'époque avait tenté de baillonner l'opposition. L'opposition - dont le PS alors - s'y était opposée et finalement suite à l'annulation de la tutelle, la limitation à 4 questions par groupe avait été abandonnée.

    Le nouveau Règlement d'ordre intérieur du Conseil communal qui était à l'ordre du jour du Conseil de ce 16 décembre aurait dû être une simple mise à jour du Règlement de 2013. Certes, il précise certains aspects de façon positive mais fondamentalement, il apporte plusieurs restrictions aux droits des conseillers (réduction du temps des interventions de 10' à 7 ' , "Un même objet ne peut être abordé que deux fois au cours d'une période de six mois sauf en cas d'évolution du sujet abordé") et surtout la limitation du nombre de questions qu'un conseiller peut mettre à l'ordre du jour à 2.

    Or, le rôle du conseiller communal - particulièrement lorsqu'il est dans l'opposition - c'est de contrôle l'action de la majorité et de susciter le débat public sur des points jugés pertinents.

    Réduire à 2 le nombre de questions qu'un conseiller peut mettre à l'ordre du jour, c'est donc une atteinte au fonctionnement démocratique du Conseil.

    Et cela comme dans toute assemblée démocratique. Dans aucun parlement démocratique, on ne limite le nombre de questions qu'un parlementaire peut poser !

    C'est la raison pour laquelle nous avons demandé par amendement que l'article 13 alinéa 2 soit retiré à savoir :  "Le nombre de questions étrangères ne donnant pas lieu à une décision est limité à 2 par conseiller et par conseil." Cet amendement n'a malheureusement été soutenu que par les Groupes Oui Visé, PTB et Visons Demain.

    Ces 3 Groupes ont dès lors dû voter contre le Règlement qui a néanmoins été adopté.

    Ainsi, à Visé, la démocratie locale s'est rétrécie.

     

    Martial Mullenders

    Conseiller communal Visons Demain

    (NDLR : les communiqués d'ordre politique publiés n'engagent que la responsabilité de leur auteur et ne reflètent en rien une quelconque opinion de la rédaction)

  • Sapins ou agriculture ? Malheureusement, aujourd’hui le choix se pose

     

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    Hier, mercredi 15 décembre, l’émission Investigation (RTBF) s’est penchée sur l’épineuse question des sapins de Noël. Le titre « Mon beau sapin, roi du business » évoque à lui seul les nombreux problèmes que pose cette culture industrielle. La FUGEA et une famille d’agriculteurs soutenue par Terre-en-Vue ont été interviewées dans le cadre de cette longue d’enquête. En effet, depuis de nombreuses années, nos deux organisations font front commun pour dénoncer les dérives d’un business nuisible pour l’agriculture et l’environnement. Retour sur les raisons qui nous poussent à dénoncer cette culture.

    Depuis de nombreuses années, la culture de sapins de Noël occupe de plus en plus de terres agricoles en Famenne et en Ardenne.

    La FUGEA et Terre-en-vue s’associent, une fois encore, pour dénoncer l’utilisation de terres agricoles à des fins non-nourricières. Les sapins, qui ornent les salons de nombreux belges quelques semaines par an, rendent difficile l’accès à la terre pour les fermes à taille humaine – celles-là même sur lesquelles nous comptons pour garnir nos tables toute l’année.

    Sur le terrain, nous entendons le cri du cœur de nos agriculteurs : «Un sapin occupe une terre nourricière pendant 7 ans pour trôner quelques semaines dans un salon. » « Notre ferme est encerclée de sapins de Noël : quand la Wallonie va-t-elle comprendre que nous ne pouvons pas nous nourrir avec des sapins ? »

     

    Explication.

    Une pression sur le marché foncier. La culture de sapins est bien plus rentable et moins risquée que la culture de carottes ou l’élevage laitier ou viandeux. Les pépiniéristes mettent le prix fort pour acquérir les terres. Très rares sont les agriculteurs capables d’acheter de telles terres devenues si chères.

    Une dégradation des sols et de l’environnement. La culture conventionnelle de sapins a recours à un usage important de produits phytosanitaires et d’engrais chimiques. N’étant pas reprise comme activité agricole, la culture de sapins échappe au Programme de Gestion Durable de l’Azote et aux contrôles potentiels qui visent à limiter l’impact des effluents agricoles sur nos nappes phréatiques – pour ne citer qu’un élément de notre environnement victime de la pollution.

    Manger du sapin ? Le sapin, cultivé en zone agricole, remplace les cultures nourricières ou les prairies permanentes servant au pâturage. Cette monoculture a un impact direct sur notre souveraineté et sécurité alimentaire. Quand bien même elle n’est pas l’unique responsable de l’accaparement de nos terres agricoles, elle s’ajoute à une diversité d’autres occupations qui portent préjudice à nos terres agricoles : manèges équestres, énergie (panneaux photovoltaïques, éoliennes,  bio-méthanisation…), zonings industriels, voiries, loisirs et  tourisme… Certaines de ces activités sont soumises à l’octroi de permis, permettant l’intervention de citoyens sur le processus décisionnel – la culture de sapins en zone agricole, par contre, ne nécessite pas de permis !

     

    Alors que faire ?

    1. N’achetez pas de sapin ! Nous invitons tous les citoyens et institutions à être créatifs et à inventer de nouvelles décorations à l’occasion des fêtes ! Faisons savoir à tous les conséquences néfastes des cultures de sapins, et marquons notre soutien à une agriculture qui nous nourrit !

    2. Nous appelons la Wallonie à mettre en place une politique foncière qui soit au service d’une agriculture nourricière, locale et durable, incluant la mise en place :

    ·         d’un statut de « terres nourricières » pour protéger les terres de toutes les activités concurrentes qui participent à la hausse des prix.

    ·         d’une gestion transparente des terres publiques dans le but d’une mise à disposition de projets agricoles nourriciers et durables.

    ·         d’une régulation du prix du marché foncier.

    Il en va de notre nourriture, de la survie de nos fermes familiales et de la préservation de notre environnement !

     

    Contacts

    ·         Alix Bricteux  Chargée de communication (Terre-en-Vue) : 0483 49 22 56

    ·         Yves Vandevoorde  Coordinateur politique (FUGEA) : 0491 39 49 50

    (Communiqué)

  • L’Union professionnelle des chirurgiens belges dénonce le report des interventions

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    Ne pas pouvoir opérer un patient au moment idéal de sa pathologie entraîne souvent une majoration du risque pour celui-ci, pointe-t-elle.

    Les reports d’interventions sont justifiés par la saturation des hôpitaux qui tentent de contenir l’afflux des patients Covid. « Cette affirmation n’est que partiellement juste », soutient l’UPCB, pour qui « les soins intensifs ne peuvent plus fonctionner à pleine capacité en raison d’un manque de personnel ». Selon elle, ce manque d’effectifs résulte du nombre de cas de Covid-19 parmi les soignants mais aussi du burn-out auquel certaines et certains sont confrontés. L’union professionnelle évoque aussi un problème de garde d’enfants. Elle dénonce enfin l’occupation précaire du personnel dans les hôpitaux en partie en raison du financement actuel des hôpitaux.

    L’UPCB demande aux instances dirigeantes de prendre en considération le travail de l’ensemble du personnel soignant, avec une revalorisation à la clé, et d’éviter de se focaliser sur le report des soins pour réserver des places hypothétiques aux patients Covid, au détriment de soins programmés. Elle plaide également pour la vaccination obligatoire pour l’ensemble de la population. « Les formes graves de Covid se manifestent majoritairement chez les patients non vaccinés. La vaccination est donc efficace et a ainsi été imposée au personnel soignant », souligne-t-elle. « L’UPCB pense que la vaccination devrait être rendue obligatoire pour tous afin d’enrayer cette pandémie. »

    L’union professionnelle demande par ailleurs des mesures compensatoires pour les disciplines chirurgicales. « En raison des restrictions d’effectifs, des transferts nécessaires du personnel des blocs opératoires et des services de chirurgie vers les unités Covid, et de la réduction de la capacité des soins intensifs », les chirurgiens n’ont pas pu, lors de cette quatrième vague de la pandémie, « valoriser leurs activités professionnelles et leurs efforts chirurgicaux », explique l’UPCB. Or, « les structures de coûts fixes de la profession par rapport aux médecins spécialistes en formation et aux hôpitaux, restent en place », conclut-elle.

    (Source Sudinfo)

     
  • Questions de Visons Demain pour le conseil communal de ce soir à Visé

     

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    Voici les questions que nous souhaitons poser lors du Conseil communal de ce jeudi 16 décembre:

     

    • Urbanisme - Deux permis d'urbanisme octroyés le 9 août dernier pour des projets situés Rue de Jupille font chacun l'objet de recours en annulation devant le Conseil d'Etat. Le Collège a donc dû désigner un avocat pour défendre sa position. Quelles sont les motifs qui justifient ces recours particulièrement pour le projet d'immeuble de 8 appartements de GOS CONSTRUCTION srl ?
    • Urbanisme - Lors du Collège du 23 novembre, le Collège a accordé le permis à la SA Pro Concept en vue de la démolition de la Maison de l'Eclusier et de la construction d'un immeuble de 5 appartements, Rue de l'Ecluse, 1. Le permis a été accordé malgré l'avis défavorable du fonctionnaire délégué de la Région wallonne, avis solidement étayé (voir l'avis), malgré le dépassement de la limite de densité maximale prévue par le Schéma de développement local et malgré 496 réclamations introduites pour s'opposer au projet. Pourquoi le Collège n'a-t-il pas tenu compte des arguments de la Région, des orientations du SDC et de l'opposition des citoyens ?
    • Energie - La Ville de Visé organise en partenariat avec la Société Wikipower et le fournisseur MEGA une opération d'achat groupé d'électricité et de gaz. Comment ces opérateurs ont-ils été choisis ? Quelles sont les conditions des conventions passées entre la commune, Wikipower et MEGA ? Comment la Ville garantit-elle par cette opération que la participation à cet achat groupé garantira de limiter la hausse des factures des ménages qui y participeront ? Et cela d'autant plus qu'il s'agit de contrat à prix variable et non à prix fixe ?

    Merci et bonne journée!

     

     

    Caroline Van Linthout et Martial Mullenders

    Conseillers communaux Visons Demain