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Associations - Page 76

  • Le cri de la chouette

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    Grammaire de l’Impossible J’ai eu la chance de recevoir FLAGRANT DELICE, le nouvel album d’Yves Duteil, et même si j’apprécie ce chanteur, auteur, compositeur depuis toujours, j’ai l’impression que je n’ai jamais été aussi envoûtée par son talent. Ses textes sont beaux à pleurer, que le sujet soit profond ou plus léger, sa poésie est merveilleuse. Je vous livre quelques extraits pour vous faire partager mon admiration et que vous voyiez comme il joue avec les mots. « Dans "MA GRAMMAIRE DE L’IMPOSSIBLE"tous les mots pourraient s’accorder des plus fragiles aux plus sensibles, du pluriel au singulier. Je voudrais que le masculin s’accorde avec le féminin, que la raison l’emporte enfin entre les mots du genre humain. Que nul ne reste dans la marge et que dans ce monde imparfait on conjugue au temps le plus large les Droits de l’Homme et leur respect. Qu’on accorde le droit d’asile à tous les verbes irréguliers, à tous ces mots sans domicile qui font de nous des étrangers... »

    Dans "MON TOUT ET MON CONTRAIRE"il chante : « Sucrée salée et douce amère vêtue d’un souffle de lumière au plus simple de ton mystère paupières closes et cœur ouvert, tu es mon tout et mon contraire, une flamme au cœur de l’hiver, ma première nuit de soleil, mon plus beau coucher de sommeil... » Dans "JE T’MMS", il se demande « Comment font tous ces caractères emportés par les alizés pour trouver leur destinataire en Wi-Fi dans le monde entier ? »

    Je ne vous souhaite qu’une chose : d’aller vite acheter cet album et, pour le même prix, vous aurez un CD de chansons et un livre de poé- sies et vous serez heureux.

    C.Dethioux, vice-présidente de Culture et Action Laïque de la Basse-Meuse

  • Manon (18) rentre du Kenya. Elle y a séjourné 3 semaines avec une ONG humanitaire

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    Manon Dubois (18) vient de rentrer d'un séjour humanitaire de trois semaines au Kenya. Elle souhaite partager son expérience avec les autres jeunes, afin de les inciter à tenter eux aussi cette aventure inoubliable. 

    Partie avec une ONG néerlandaise

    DSC00841.JPG"Je suis élève à l'Athénée Royal de Visé, en 5ème "gestion", explique la jeune fille. L'année dernière, avec l'école, j'ai participé à une formation contre les préjugés et la discrimination. Là, j'ai rencontré un membre de l'ONG "Smile to the Future", basée à Maastricht. J'ai approfondi la discussion avec cette personne, et j'ai tout de suite été intéressée par leur projet."

    Ce projet, c'était d'abord d'apporter la lumière à un orphelinat - centre d'accueil dans un bidonville à Gatitu, au Kenya. L'établissement héberge des enfants abandonnés, battus, victimes de violences... Mais aussi d'amener des colis de nourriture (provenant de sponsors belges et néerlandais), ainsi qu'une aide à un hôpital prodiguant des soins à des séro-positifs de tous âges.DSC01076.JPG

    "Comme je me destine à travailler dans l'humanitaire, précise Manon, je voulais absolument avoir la possibilité de participer à cette mission. J'ai envoyé une lettre de motivation avec ma candidature, et j'ai été accepté dans le groupe."

    Depuis le début, Manon avait parlé de ce projet avec Charline Jeunehomme, sa meilleure amie. Charline, élève au Sacré Coeur et habitant Vivegnis s'était montrée enthousiaste également. C'est ainsi que les deux jeunes filles ont intégré le groupe de 9 jeunes qui sont partis en Afrique.

    La famille s'y met aussi.  

    "Au début, explique Pascale, la maman de Manon, mon mari et moi étions sceptiques. Nous pensions qu'il ne s'agissait pas de quelque chose de sérieux. Mais quand notre fille a reçu le courrier de l'ONG, nous nous y sommes intéressés de plus près. C'est ainsi que j'ai assisté à toutes les réunions informelles qui se tenaient à Maastricht. En famille, nous avons alors décidé d'apporter notre quote-part personnelle à ce voyage."

    DSC01540.JPGC'est ainsi que Jacques et Pascale ont décidé de "sponsoriser" leur fille. En plus de la prise en charge de tous les frais inhérents au voyage et au séjour, Pascale, qui est enseignante, a mené diverses actions dans l'établissement où elle travaille, l'Institut du Sacré-Coeur. "De plus, précise la jeune femme, mon papa est décédé durant la période des préparatifs. Dans la cave de son habitation, j'ai retrouvé un lot de lattes et de crayons à l'enseigne de la firme pour laquelle il travaillait. Ces objets scolaires font maintenant la joie des petits Kenyans qui les ont reçus".

    Je ne me plaindrai jamais plus.

    "Ce qui m'a le plus marquée, nous dit encore la jeune fille, c'est la pauvreté, le dénuement total dans lequel ces enfants vivent. Ils n'ont rien, mais veulent encore le partager. Ils sont d'une gentillesse extraordinaire, très affectueux. Par contre, j'ai été fortement choquée de voir ces petits bouts de 7 ans, qui viennent mendier pour acheter de la colle pour la "sniffer". Un peu plus grands, ils n'hésitent pas à se prostituer pour pouvoir acheter des drogues dures."

    Manon conclut : "Après ce que j'ai vu là-bas, je ne me plaindrai jamais plus de mes conditions de vie ici. Suite à ce DSC01057.JPGvoyage, mes convictions et mon projet de vie en sortent renforcés. J'invite tous les jeunes qui en ont la possibilité à participer au moins une fois dans leur vie à une telle expérience. C'est inoubliable, on est marqué à vie".

    Pour plus de renseignements sur l'ONG : http://smiletothefuture.org. Ce site néerlandais est en cours de réorganisation et sa traduction en langue française est attendue

    (Photos M.Dubois)

  • Le Centre d'Action Laïque

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    Le Centre d'Action Laïque rappelle son invitation pour le 24 janvier2012 au Centre Culturel de Visé, rue du Collège, 4600 Visé à la salle des échecs, à venir écouter la conférence-débat intitulée : « Euthanasie : 11 ans après la loi de dépénalisation conditionnelle. Quels enseignements ? » présentée par Monsieur François Damas, chef de service des soins intensifs généraux et pédiatriques du CHR de la Citadelle et membre de la commission de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie.


    La conférence débutera par la projection du documentaire « Vivre avec l’euthanasie » coproduit par le Centre Laïque de l’Audiovisuel et le Centre D’Action Laïque. 


    La 2 ème conférence à laquelle le public est convié est celle que Mr Mario Chessa a déjà présentée à Visé, intitulée : « Le rôle du conseiller laïque en prison ».

    Cette fois-ci elle le sera le mardi 29 janvier à 20h au Centre Culturel de Paifve-Juprelle, rue du Centenaire, 89 à 4452 Paifve.


    Plus d’infos sur ces deux conférences auprès de Rachel Etienne, coordinatrice au 0477 78 34 79 ou 04 265 96 48 ou mlvise@voo.be

     

  • Nouveau vitrail à la collégiale visétoise

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    Depuis de nombreuses années, les membres de la Fabrique d’Eglise et les responsables de la Ville de Visé ont procédé à la restauration de la Collégiale St Martin et St Hadelin de Visé.

    Aucune entreprise de rénovation d’importance n’avait plus eu lieu depuis 1922, époque où notre Collégiale a été restaurée après le terrible incendie de 1914 lors de l’invasion allemande qui réduisit la Ville de Visé en cendres. Cet incendie a d’ailleurs détruit tout le mobilier de notre église à l’exception de la châsse et du buste de St Hadelin, joyaux du patrimoine de l’art mosan, et de quelques meubles du chœur. Notre Collégiale avait donc bien besoin de se refaire une nouvelle jeunesse pour aborder solidement les années futures.

    Si cette rénovation en profondeur a duré de nombreuses années, (plus de 25 ans) c’est qu’au fil des travaux, les maîtres d’œuvre ont rencontré beaucoup d’aléas totalement imprévus dus au très mauvais état de conservation du bâtiment. De plus, il faut savoir que notre collégiale est divisée en deux zones bien distinctes. La première partie comp- rend le chœur de style gothique. Cette zone est classée par la Région wallonne et a dû faire l’objet d’une attention toute particulière pour répondre aux exigences des respon- sables des monuments et des sites classés : dossiers de rénovation, accords des spécialistes de l’art, attente d’approbation des budgets subventionnés à 60%, déblocage des fonds etc. avant de pouvoir entreprendre le moindre travail de rénovation. La deuxième partie comprend tout le reste de la collégiale mais n’est pas classée, cepen- dant, rien ne pouvait être entrepris avant la fin des travaux du chœur.

    A cause du très mauvais état du bâtiment, les budgets initialement prévus ont tout de suite été largement dépassés malgré l’attention toute particulière que les membres du Conseil de Fabrique et les responsables de la Ville ont prise pour en limiter l’impact sur les budgets de la Fabrique d’Eglise et par ricochet automatique sur les finances de la Ville de Visé. Celle-ci a d’ailleurs fourni un effort financier considérable pour finaliser les travaux.

    La restauration de notre collégiale aura finalement coûté plus de 2 millions d’euros à la communauté paroissiale et aux contribuables de l’entité de Visé. Un grand merci à tous.

    Actuellement, si vous observez la face nord du chœur, face qui donne sur la rue Haute, vous pouvez remarquer qu’un des emplacements des vitraux est tout simplement fermé par une cloison en verre feuilleté. Cet anachronisme est dû au fait que l’ancien vitrail a été détruit en 1914 et que jusqu’à présent, il n’a jamais été remplacé. Pour combler cette triste lacune qui déséquilibre le chœur de notre collégiale, les membres de la Fabrique d’Eglise ont proposé à Madame Pirotte, artiste de la région, bien connue dans l’art du vitrail, de déposer auprès des membres des Monuments et Sites classés, un projet d’un nouveau vitrail d’inspiration contemporaine. Ce nouveau vitrail relativement moderne reprend en partie les couleurs du vitrail qui lui fait face sur la face sud du chœur, côté entrée de l’autoroute.

    Ce projet a été accepté par la commission des monuments et sites classés et le vitrail va être posé très prochainement. Pour que vous puissiez vous faire une idée de ce que sera ce nouveau vitrail, nous avons joint une photo couleur. Les échafaudages de montage sont en cours de placement et tout sera terminé pour mars 2013.

    Comme ce travail est très onéreux, les membres de la Fabrique d’Eglise sollicitent l’aide financière de la communauté paroissiale de Visé ainsi que celle de tous les visétois et habitants de la Basse-Meuse pour qui, cette œuvre de rénovation, sera la marque de leur attachement aussi bien religieux qu’artistique au patrimoine historique de la ville de Visé. Cette œuvre réalisée au début du 21ème siècle sera pour les générations futures une trace de notre époque et la preuve de notre attachement à la qualité de notre envi- ronnement historique de notre belle cité mosane.

    Nous vous sollicitons pour que vous versiez votre participation sur le compte bancaire : «Année Jubliaire» 091-0195614-91

    avec la mention : participation à la création du nouveau vitrail.

    Les membres de la Fabrique d’Eglise et la Communauté paroissiale vous remercient d’avance pour votre généreuse participation à cette œuvre d’art.

    Le président de la Fabrique d’Eglise

    José Maes

  • L'heure du conte : jouons au théâtre

    Oiedimancheduconte-2.jpgN'est-ce pas superbe, pouvoir s'habiller comme un comédien ou une comédienne et jouer un rôle à sa façon? Avis aux comédiens en hebre. Ce sera un peu comme Alice au Pays des Merveilles.

    Chapelle des Sepulcrines, rue du Collège 31 à Visé, le 27 janvier de 11h à 12h.

    Renseignements : 0495/496391 - museedevise@skynet.be - http://www.museedevise.be