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Commerces - Page 53

  • Agenda des prochaines activités dans l'entité - Mise à jour

     

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    Agenda susceptible de modifications suivant les annonces de nouveaux évènements.


     

    -  Le 16 février : conférence "Quelle église pour le monde d'aujourd'hui ?" par Serge Maucq. Salle Maria Goretti (Inst. du Sacré Coeur Avenue Albert 1er) à 20 h Rens : 04/379.17.30

    - Le 17 février : Anniversaire de la mort du Roi Albert. La section visétoise de la F.N.C organise un cortège au départ de l'Hôtel de Ville en direction du monument du Roi Albert au pied de l'avenue des Combattans. Les drapeaux monteront une garde silencieuse de 16h à 17h devant la stèle. 

    - Du 23 février au 04 mars : Exposition de peintures de Pierre Colson. De 14h à 18h à la chapelle des Sépulcrines. Vernissage le 22 à 19h

    - Le 22 février : Collecte de sang au Collège St Hadelin 

    - Le 24 février : "Les richesses de l'art mosan" par Albert Lemeunier. A la salle polyvalente du Centre culturel à 20h. Renseignements au musée : 04/374.85.63.

    - Le 26 février :  Bourse "Vieux papiers auto" à l'Institut St Joseph rue de la Croix Rouge. (une news dédiée va paraître.

    Les 2,3 et 4 mars : Week-end tapis rouge à la salle des Arbalétriers : Le 2 à 20h30, concert de la Troupe En Chanté.                

  • Journée de l'Artisan : l'informaticien Basque est devenu boulanger bio à Lixhe

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    Une partie des produits de Benoît.

    Benoît Segonds est basque. Il est né à Saint Jean de Luz. Hier, à l'occasion de la Journée de l'Artisan, nous avons fait sa connaissance. Il ouvrait son atelier au public à Lixhe, rue Paradis 31. D'emblée, il tient à préciser qu'il n'est pas boulanger de formation.

    _DSC0113_2.jpg"J'ai fait des études en informatique, nous dit-il, bien qu'étant enfant déjà, j'avais déjà envie d'être boulanger. J'ai tout d'abord travaillé en France, puis je suis arrivé aux Pays-Bas, à Maastricht. Après quelques années, mon travail ne me plaisait plus. Il ne m'apportait plus aucune satisfaction, j'avais l'impression d'en avoir fait le tour." Notre informaticien fait alors la connaissance d'un Néerlandais, qui exploite une épicerie fine à Maastricht et qui, à l'occasion, cuit quelques pains pour ses bons clients. Les deux hommes se lient d'amitié.

    "J'ai alors envisagé de changer de métier, explique notre Basque. J'ai pensé à ouvrir un gîte, une chambre d'hôte, ou quelque chose du genre. Comme je n'avais aucune connaissance dans la partie, je me suis inscrit au Centre de formation des classes moyennes, à Liège, au Château Massart, mais en section cuisine."

    Tout en continuant à fréquenter son ami et son commerce, Benoît ne perd aucune occasion de se renseigner sur la fabrication du pain. J'étais à l'affût d'un conseil, d'un truc, d'une astuce ajoute-t-il. C'était vraiment cela que je voulais faire.

    Vient le moment où le commerce de son ami prend une telle extension qu'il devient impossible à ce dernier de continuer la fabrication artisanale de pains. "Je me suis alors décidé, déclare notre hôte. Je lui ai proposé de m'occuper de la fabrication des pains, et de m'associer à lui. Il a accepté. C'est donc ainsi, après plusieurs erreurs, mais aussi découvertes, que j'ai appris la panification. La partie boulangerie a elle même pris une telle ampleur que nous avons ouvert un dépôt en Belgique, à Eben-Emaël".

    Mais les aléas de la vie font que les deux amis se broullent. En 2006, Benoît s'installe en Belgique.

    "Je me suis retrouvé au chômage, mais je ne pouvais accepter cette situation précise encore notre interlocuteur. En 2007, j'apprends la présence de cet entrepôt, qui est à louer. Je viens le visiter, et immédiatement j'ai le coup de foudre pour ce bâtiment. C'est ça qu'il me faut ! Ce sera ma boulangerie et je ne fabriquerai que du bio !".

    Vient alors une période plus difficile : acheter tout le matériel, des bannetons aux fours, en passant par _DSC0110.JPGles étagères, balances et pétrins. Notre homme s'entête. Au début, les clients sont rares.

    "Petit à petit, j'ai commencé à être connu, puis reconnu. Grâce à la qualité de mes fabrication : en effet,  je n'utilise que de la farine certifiée d'agriculture biologique, du sel marin, du levain et de l'eau potable. Ce sont les seuls ingrédients que j'utilise. J'ai toujours été très rigoureux dans mon travail, j'ai toujours utilisé les meilleurs produits.Ma farine, par exemple, provient d'un meunier de Machelen, un petit village hollandais proche. C'est là que j'ai trouvé la meilleure. (Exceptionnellement, la levure, produit naturel elle aussi, est utilisée pour la panification de la pâtisserie et de certains types de pains).

    Benoît Segonds ne commercialise pas lui même sa marchandise. "Mes produits ne sont distribués que dans des magasins Bio" précise-t-il encore. Dans la région visétoise, vous pouvez les trouver à Hermalle, au magasin "Au Naturel, à Haccourt, au Cynorhodon et à Houtain St Siméon, à la Crêmerie St Siméon.  A proximité, trois autres magasins distribuent également les produits du boulanger. La région liégeoise compte elle huit distributeurs, tandis qu'il y en a trois dans le Brabant Wallon." Ses pains sont également présents sur quatre marchés bruxellois.

    Hier, lors de la visite organisée de son atelier, le public était tellement nombreux que des groupes ont dû être organisés. Un chocolat chaud était servi aux visiteurs qui patientaient. Les deux filles de Benoît n'étaient pas peu fière du succès de leur papa.

    La liste complète des produits fabriqués par l'artisan ainsi que tous les points de vente de sa marchandise sont repris sur son site : www.benoit-segonds.be.

    Bon appétit.  

  • Dégustation de spécialités italiennes artisanales

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    Les samedis 11, 18 et 25 février, Jean-Marie Marcatto vous invite Avenue de Navagne 58 à Visé, à son dépôt. 

    Au menu : apéritif, antipasti, produits truffés, assiette de charcuterie, dégustation de pâtes (pâtes fraiches, aux oeufs,, de blé dur), plateau de fromage, dolce, digestif et café ainsi qu'une sélection de vins offerts par la maison.

    Services prévus les trois samedis à 18hr (durée d'environ 4hr) P.A.F. 20 € par personne. Réservation obligatoire qui sera confirmée dès que le payement enregistré. Sommes à verser sur le compte 068-2459442-34 en mentionnant votre nom, la date, ainsi que le nombre de personnes.

    Pour d'autres renseignements, contacter Jean-Marie Marcatto au n° 04/379.15.03 ou 0496.388.803 E-mail mjmimpex@teledisnet.be 

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  • La grève dans la cité de l'Oie : diversement suivie, les avis divergent

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    A Visé, ce matin, tout était calme : pas de barrages, pas de manifestation, mais pas de bus non plus. En effet, les véhicules du dépôt de Navagne ne sont pas sortis des garages. Dans les services publics, il semble que le mouvement ne soit pas très bien suivi : à la police, moins de 5 % de l'effectif était absent,  au ministère des finances, 3 agents étaient manquants sur les deux bureaux contactés. La poste, elle, était injoignable et les facteurs n'ont pas effectué leur tournée.

    Dans l'enseignement, le bilan est plus mitigé : à l'Athénée Royal, environ deux tiers des enseignants étaient présents, ainsi que quelques dizaines d'élèves. A l'Institut Saint-Joseph, la moitié des professeurs suivait la mouvement, et il y avait plus de profs que d'élèves. A l'Institut du Sacré Coeur, 75 % des membres du corps enseignant et 99 % des élèves manquaient à l'appel.

    Les commerces étaient ouverts, tout le monde était à son poste aussi bien à l'AD Delhaize qu'au Carrefour Market.

    Par contre, chez Holcim (cimenteries belges réunies) à Lixhe, il était impossible de dépasser le stade du "ping-pong" entre répondeurs. Suite à la présence d'un piquet devant chez Knauff Insulation, seuls les travailleurs assurant le maintien de l'outil avaient pu pénétrer dans l'usine. 

    La majorité des Visétois rencontrés estiment la grève inutile, "le gouvernement ne changera quand même pas d'avis" est la réponse la plus souvent reçue. D'autres, plus rares, estiment que les syndicats "vont trop loin, qu'ils exagèrent" et une autre partie de la population, moindre encore, râle que le mouvement soit si peu suivi, que les gens se montrent "indifférents" au sort qui les attend dans un avenir plus ou moins proche. Comme on peut donc le voir, les avis sont vraiment partagés. 

  • Soldes : bilan après 15 jours

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    Le commerce visétois ne se résume pas aux établissements installés rue du Collège et rue Haute. Nous avons voulu demander leur avis à ceux qui ne travaillent pas dans l'hyper centre.

    Les établissements Praillet, Allée Verte, ont ouvert leur commerce en 1922. la famille exploite également un magasin à Herstal. A Visé, ils se montrent contents du résultat de la première quinzaine de soldes. Les ventes ont bien marché, aussi bien en petit qu'en gros électro-ménager ou en télévisions.

    _DSC0003.jpgNicole Potmans exploite le magasin Nic Card rue des Récollets 46. On y trouve des _DSC0004.jpgarticles de décoration, de baptême, farces et attrapes, gadgets divers pour enterrement de vie de célibataire, petits cadeaux, etc. En collaboration avec SD Créations, ils effectuent des reportages vidéos, photos, et impression de livres photos. Nicole Potmans, dont l'établissement était auparavant situé Avenue du Pont explique : " Une grande partie de notre marchandise est soldée à 50 %. Je ne constate guère de différence de ventes par rapport à l'année dernière à la même époque. Cependant, notre chiffre d'affaire a légèrement baissé depuis que nous sommes installés dans cette rue et il y a 9 ans, pourtant, que nous avons quitté l'avenue du Pont".  

     

    _DSC0006.JPGSuzanne et Paul Debruche, eux, sont installés à " l'Armoire_DSC0008.jpg à Linge" depuis 37 ans. chez eux, on y trouve du linge de maison de qualité, ainsi que des vêtements de nuit. "Nous
    sommes dépositaires exclusifs de la marque "Arthur" et "La Fiancée d'Arthur"
     pour la région, explique Suzanne. Nos soldes les plus fortes s'appliquent sur les vêtements de nuit de la collection précédente. Je dois dire que les vêtements de nuit pour dame ont un très grand succès. Jusqu'à présent, le niveau des ventes me semble fort égal à celui de l'année passée."    


    _DSC0013.jpgNathalie Monseur est corsetière. Non seulement elle vend des dessous féminins, _DSC0011.JPGmais elle les fabrique sur mesure. "Il y a un an et demi que je suis installée ici, rue des Francs Arquebusiers. Pour moi le bilan de la première quinzaine des soldes est positif, nous dit-elle, surtout par rapport au mois de décembre 2011 mais  également par rapport avec les soldes d'hiver de l'année dernière. Certains vêtements son vendus à 50 % de leur valeur".

    Jusqu'à fin janvier, Nathalie offre également 10 % de réduction sur ses fabrications.

     

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    Chez Balle de Match, le bilan est un peu plus mitigé. Marc Dalmans explique : "Les gens attendent _DSC0011.jpgvraiment la fin de la période de soldes pour obtenir le plus gros rabais possible. De plus, le conditions météo actuelles, ajoutées à la crise, n'incitent pas particulièrement les gens à faire des achats. En hiver, il y a moins de pratiquants pour le tennis.  Ma femme me disait que chez North See, où elle travaille, on ressent également les effets de la crise". 

    Les bilans varient donc, positifs pour certains, moindres pour d'autres. Il est vrai qu'en vêtements ou articles de sport, on est moins motivé à investir dans du nouvean matériel en hiver.  

     

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