A l'issue de la messe célébrée à l'Institut Saint Joseph hier à 09h30, a démarré la procession en l'honneur de St Hadelin. Parcourant les rues de la ville, le cortège fit une première halte au reposoir installé aux nouveaux bâtiments de l'Institut du Sacré coeur et de St Hadelin, Place des Déportés. Il repris sa route par la rue des Récollets afin d'atteindre la parking de l'Administration communale où un second arrêt était programmé. Empruntant ensuite la rue du Perron puis la rue Haute, le cortège religieux comprenant le buste reliquaire du saint patron de Visé et la statue de Nodre Dame de Lorette rejoignit la collégiale. Signalons que tous les 25 ans, cette procession fait preuve d'un faste peu ordinaire. Ce sera pour l'année prochaine.
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La procession de St-Hadelin hier avant midi
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Concours de belote individuel
Le club de belote et scrabble de Visé organise un concours de belote indvduel au Cercle paroissial de Devant-le Pont à Visé le 21 septembre dès 20h. Lots pour tous les participants.
Réservation et infos au 0479/247.719. Inscription sur place dès 19h. 8€ par joueur.
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Aux saveurs du Congo : c'est l'intitulé choisi par l'association Makala pour son souper spectacle
Makala est une association qui oeuvre pour l'ONG Femmes du Monde, à Makala, Kinshasa au Congo. Dans le but de pouvoir prolonger les actions en cours et en créer de nouvelles, cette association récolte des fonds par l'intermédiaire de ce souper spectacle.
Bernadette Clesse détaille les dernières réalisations de l'association : "Nous avons procuré et installé une pompe à eau destinée à irriguer des terrains agricoles à Muela Kisende, nous avons également acheté des rations de farine enrichies pour les petits mal nutris et nous fournissons des rations hebdomadaires de compléments alimentaires."
Un poste à souder a été acheté et un professionnel va s'occuper de la formation de jeunes motivés. Lors de son derner passage, Bernadette a également procuré des médicaments à la maternité locale. "Mais nous avons aussi acheté une presse à briques qui sera installée dans un atelier de fabrication dès qu'il sera terminé" ajoute-t-elle. "
Leurs projets ? Terminer le hangar atelier pour installer la presse à brique et acheter un camion destiné au transport de la terre puis des briques.
Vous pouvez les aider à concrétiser ces projets en participant à la soirée.
En plus d'un très bon repas, vous aurez l'occasion d'assister au récital de l'excellent Céleste Blackvan, chanteur et musicien des Ndolo blues.
Pour tout renseignements, contactez Bernadette Clesse au 0473/520.083 ou sur http: //berna-clesse@hotmail.com
Vous obtiendrez tous les renseignements relatifs à cette association sur le site : http://www.makalafemmesdumonde.be
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Travailleurs immigrés : pas seulement chez nous
Anthony gère l'attribution des emplacements du camping.
Adeptes du caravaning depuis de très nombreuses années, nous avions décidé, cette année, de séjourner dans un camping de Marseillan, dans le sud de la France, à proximité de Sète.
Lors de notre arrivée au bureau d'accueil de l'établissement, je fus étonné de l'absence "d'assang" du jeune réceptionniste. Alors qu'il s'occupait des formalités d'inscriptions, je ne pus m'empêcher de lui demander d'où il était originaire. La réponse fusa : "de Liéche, de Grif'gnée Haut même". "Près du cimetière de Robermont ? lui demandais-je. "Un peu plus haut" me répondit-il avec un large sourire.
C'est ainsi que je fis la connaissance d'Anthony Pardaens, 28 ans, travailleur émigré.
Anthony habitait donc Grivegnée, rue Ma campagne, avec sa famille. A l'issue de ses humanités, il entreprit des études supérieures, "Aux Rivageois", lui permettant d'obtenir un Graduat en Tourisme. "Pendant mes études, j'ai dû faire deux stages de plusieurs mois à l'étranger" précise Anthony." Je les ai effectués tous les deux dans la région, au Domaine des Tamaris, à Portiragne, en 2006 et 2007. La région et le climat m'avaient enchanté."
Ses études terminées et son diplôme en poche, le jeune homme décide de reprendre contact avec le Domaine où il avait effectué ses stages. Il est alors engagé pour les saisons touristiques 2008 et 2009. "Je séjournais environ 6 mois en France, puis je rentrais six mois en Belgique, chez mes parents lorsque mes contrats étaient terminés" ajoute le jeune Liégeois.
Souhaitant avoir une vie un peu plus stable, Anthony se met alors à la recherche d'un emploi permanent dans la région. Il reçoit deux réponses positives de campings, dont celle du "Beauregard" de Marseillan.
"On me proposait un contrat à durée indéterminée, précise-t-il. En saison, je preste environ 45h/semaine, et hors saison environ 25. Ce qui fait que mon salaire mensuel ne varie pas. Mes revenus sont stables et assurés."
En haute saison, notre jeune Liégeois s'occupe plus particulièrement des contacts avec les vacanciers : en plus du Français, il parle courament le Néerlandais, l'Allemand et l'Anglais. Il suit des cours d'Espagnol. En basse saison, son travail est beaucoup plus administratif : gestion des réservations, comptabilité, travaux à effectuer, etc.
Regrette-t-il la Belgique ? "Ma famille, mes proches et mes amis me manquent parfois, nous confesse Anthony, surtout en basse saison. J'ai quand même des contacts très fréquents avec eux. Et puis, je rentre également pour de brefs séjours chez nous, ou je reçois des visites. En plus, de nombreux Belges sont installés à demeure dans la région, et nous nous retrouvons souvent"
C'est surtout la convivialité belge et liégeoise particulièrement qui manque au jeune homme. Ses principales relations sont soit belges, soir originaires du nord de la France. "Les gens du sud sont plus casaniers, termine-t-il. Ils se lient plus difficilement avec "les étrangers"".
Envisage-t-il de rentrer en Belgique? "Oh, non, pas du tout !" s'exclame alors Anthony.
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Les "gens du voyage" sont de retour. Rares sont les Visétois qui manifestent leur joie!
Samedi vers 14h30, une quinzaine de caravanes de gitans sont arrivées à Visé. Sans rien demander à personne, ils se sont installés sur un terrain privé situé entre la Meuse et l'autoroute. Avertie, la police s'est rendue sur place.
Les policiers ont du constater que les romanichels voulaient "en découdre" si on les empêchait de s'installer. Un compromis a été décidé, leur laissant 24h de délai. Au lieu d'avoir quitté les lieux comme annoncé, il y a maintenant une cinquantaine de caravanes qui occupent illégalement ce terrain privé.
On nous confirme du Cabinet du Bourgmestre Marcel Neven que ce dernier a reçu ce matin un de leurs représentants et que les gitans auraient reçu l'ordre de quitter les lieux demain. Qui vivra verra...
Le problème avec cette population tzigane qui occupe des terrains non aménagés, c'est l'état dans lequel de saleté repoussant dans lequel ils laissent les lieux après leur départ (poubelles, détritus de toutes sortes, excréments à la dizaine...).
Ce n'est évidement pas fait pour améliorer leur image de marque parmi les visétois de plus en plus nombreux à manifester leur mécontentement et leur incompréhension devant le "laxisme" des autorités communales.
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