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Portrait - Page 2

  • Athlétisme - Pol Forthomme détient un record mondial depuis 34 ans

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    Rencontre avec le vice-président du RFC Liège athlétisme. Un personnage, un modèle et des messages plus un témoin à faire passer.

    L'article complet à lire dans nos éditions du jour

    Lien permanent Catégories : Portrait
  • Demain à 20h20, la RTBF diffusera le film "Enfants du Hasard" tourné à Cheratte.

    Le mercredi 9 mai à 20h20
    RTBF - LA UNE
    Rediffusion sur    La Une le samedi 12 mai à 08h50 – Sur La Trois le 17/05 à 10h30 – le 21/05 à 23h45 et le 24/05 à 13h30
     
     
     
     

    Nous avons le plaisir de vous annoncer la première diffusion en télévision du film


    ENFANTS DU HASARD

    de Thierry MICHEL & Pascal COLSON
    Un documentaire co-produit par la RTBF

    Le mercredi 9 mai à 20h20
    RTBF - LA UNE
    PRIX INTERNATIONAUX

    . FIPA (Biarritz) prix du jury des jeunes européens
    . Festival2Valenciennes : grand prix du documentaire et prix du jury étudiant
    . IRTS (Nancy) : mention du jury
    . Watch Docs (Varsovie) prix Marek Nowicki
    « Une ode à la vie racontée par les enfants. »
    Bruno Boutsen
     - La Libre Belgique


     « Un pur bonheur ... une vraie réussite »
    Nicolas Crousse 
    - Le Soir

         
    « Un documentaire bouleversant. »
    Aurélie Drion
     - La Meuse


    « Un vrai beau film »
    L’Avenir
         
    « L’intelligence de ce fllm magnifique »
    Sylvestre Sbille - L’Echo 
     
    « Une sarabande colorée et gorgée de vie. » 
    Dany Habran - Journal des Grignoux
       
    « Révélateur et émouvant, un rempart contre 
    tous les replis identitaires »  
    Juliette Goudot - Moustique

    « Madame Pirlet, l’institutrice qui crève l'écran »
    Philippe Bodeux
     - Le Soir


    « La parole de futurs citoyens avec leur rêves de bonheur. Un beau travail …»
    Karin Tshidimba
     - La Libre Belgique


    « Un théâtre chatoyant de vie, de passion, 
    et d’espoir en l’avenir. Une réussite magnifique. »
    Cinestan
     – Alain Berenboom


    A ne pas manquer le mercredi 9 mai à 20h20 sur La Une
    « Enfants du hasard » : 

     de Thierry Michel et Pascal Colson 
    un documentaire coproduit par la RTBF 
    Après une sortie en salles couronnée de succès il y a un an et plusieurs prix remportés sur la scène internationale, La Une nous propose de découvrir en prime time ce très beau film qui suit une année scolaire d’enfants dans une petite école de la région liégeoise. Petits-enfants de mineurs pour la plupart, majoritairement musulmans et d’origine turque, ils terminent leur cycle de primaire avec Brigitte, leur institutrice bienveillante. Véritable ode à la vie, ce documentaire révèle leurs espoirs et leur vision du futur. 

    Il nous emmène dans une école primaire de Cheratte, une petite cité minière située en province de Liège. Dans la petite école communale à discrimination positive, Brigitte, institutrice de 5e et 6e primaires qui a 30 ans d’expérience, prépare avec enthousiasme et bienveillance ses jeunes élèves à s’épanouir dans un monde en mutation. Partant de leur propre histoire, elle retrace avec eux le parcours de leurs grands-parents, qui ont quitté leur pays d’origine pour travailler dans la mine de Cheratte, le " charbonnage du hasard ".

    Nous suivons cette année scolaire charnière pour ces élèves qui vont bientôt quitter le cycle primaire et leur petite école.  Le film met en lumière la manière dont les enfants cherchent à se construire et à donner un sens à leur vie. Il saisit leurs doutes et leurs réflexions lors des attentats terroristes et face au harcèlement sur les réseaux sociaux. Ode à la vie, narré par la voix des enfants, ce documentaire capte la spontanéité, le plaisir d’être, la fin d’un temps d’insouciance avec ses fragilités. Le film tisse ainsi les liens entre passé, présent et futur et dessine un sens du bonheur possible, au sein de l’école et de la société.

    Le film a déjà rassemblé plus de 10.000 spectateurs en salles. Sélectionné plusieurs fois dans des festivals internationaux, il a été doublement primé cette année à la fois au FIPA de Biarritz et au 8ème Festival de Valenciennes où il a décroché le Grand Prix du documentaire.

    Production : Les Films de la Passerelle / la RTBF / WIP Wallonie Image Production

    Rediffusion sur La Une le samedi 12 mai à 08h50 – Sur La Trois le 17/05 à 10h30 – le 21/05 à 23h45 et le 24/05 à 13h30

  • Visé : Marc Wagelmans, un passionné de gestion

    Avec quelque 500 mètres carrés installés en plein centre de Visé, avenue du Pont, la librairie-papeterie Wagelmans est emblématique de la Cité de l’Oie.

    Et pour cause, puisqu’elle a été créée en 1910 par Simon Wagelmans et son épouse Chantal Cerfontaine. Marc Wagelmans représente la troisième génération. Agé de 70 ans, il travaille désormais avec ses deux fils, Marcel et Brice. Il raconte : « En fait, je n’ai pas le moindre souvenir de mes grands-parents paternels. Et pour cause, mon grand-père est décédé en 1933, alors que mon père n’avait que quatorze ans. Et ma grand-mère est morte l’année suivante. Mon père, qui était le plus jeune des trois frères Wagelmans – l’aîné est devenu prêtre, et le deuxième a créé une imprimerie – a donc repris le magasin familial à l’âge de 15 ans ! » Un magasin qui n’était pas du tout semblable à ce qu’il est aujourd’hui. D’abord, il faut préciser que la première papeterie, où Simon Wagelmans vendait aussi et réparait des chaussures, tout en vendant… des cigarillos, avait été détruite en 1914 lors de l’invasion de la Belgique par les Allemands. Ensuite, après la guerre, l’avenue du Pont a été déplacée et remodelée.

     

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    Pendant la durée des travaux, le magasin, qui s’appelait La bonne presse, s’est installé sur la Grand’Place, l’actuelle place Reine-Astrid. Puis il a retrouvé l’avenue du Pont.

    Avec ses deux fils

    Marc Wagelmans : « Mon père, Albert Wagelmans, a développé le magasin en compagnie de ma mère, Germaine Swennen. Il a même créé une imprimerie dans cette maison, et il est aussi à la base de la création de Visé-Magazine. En 1973, la surface du magasin a été carrément doublée avec l’achat de la maison voisine. Personnellement, j’ai fait des études de sciences économiques, puis de gestion, à l’Université catholique de Louvain. Après mes études, j’ai travaillé pendant cinq ans à l’imprimerie familiale qui, entre-temps, avait déménagé un peu plus loin. Et puis, en 1979, j’ai rejoint mes parents au magasin.»

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    Cela fait donc près de 40 ans que Marc Wagelmans s’est impliqué dans la librairie-papeterie familiale. « Mon père est décédé en 1983, à l’âge de 64 ans. Ma mère, elle, a continué à travailler au magasin pendant de nombreuses années. Elle est décédée en 2010. Aujourd’hui, j’ai passé l’âge de la retraite, mais je travaille toujours. Désormais avec mes deux fils, Marcel et Brice. Mais je ne les y ai jamais poussés : s’ils veulent poursuivre l’entreprise, ce sera à eux de le décider. Personnellement, ce qui me motive, c’est la gestion, faire tourner une société. Ici, par exemple, nous avons une équipe de 6 à 7 personnes. Avec la nécessaire présence de trois personnes au moins dans le magasin. »

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    Marc Wagelmans a longtemps été le président des commerçants visétois et, à l’âge de 70 ans, il est toujours aussi actif, y compris sur Facebook : « Je ne peux pas m’empêcher de donner mon avis », conclut-il en souriant.

     

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    La librairie-papeterie Wagelmans est installée avenue du Pont, à Visé. Elle est ouverte le lundi de 13h30 à 18h, et du mardi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 18h.

    (Texte Ch. Ledent - Photos Th. Van Ass)

  • Haccourt : Une belle histoire de Noël

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    A l'origine, une collection unique de pandas

    Céline et André Cornet, vous vous souvenez? Nous avions déjà évoqué leur collection de plus de 2200 représentations différentes de pandas dans nos colonnes. A l'époque, une jeune étudiante chinoise qui se trouvait en Belgique en avait eu connaissance et avait averti les autorités de sa province natale, le Sichuan. La collection de ce couple avait impressionné les autorités chinoises au point qu'à plusieurs reprises, des délégations étaient venues de Chine afin de l'examiner. Selon les visiteurs, la collection des deux Haccourtois était le plus complète qu'ils aient jamais vue dans le monde. Céline et André avaient été invités à plusieurs reprises dans le Sichuan, où ils avaient été reçus avec tout le luxe dont les Orientaux peuvent faire preuve pour leurs invités de marque : hôtels de luxe, visite guidées, interviews à la télévision etc... Bien évidement, des reportages avaient été publiés dans La Meuse ainsi que sur le blog Sudpresse de Visé.

    Un car-jacking en Angleterre

    Il y a plus d'un an, Jon Blair, un Londonien, s'était fait voler sa voiture ainsi que son contenu. Dans le véhicule, se trouvait un panda en peluche, le préféré de Louis, un des fils de Jon. Louis était inconsolable depuis la disparition de son jouet fétiche. Durant de longs mois, la famille a entrepris des recherches sur Internet afin de tenter de retrouver la même peluche que celle qui avait été dérobée. Il y a environ un mois, la belle-soeur de Jon l'a averti qu'elle pensait bien avoir retrouvé le même panda que celui qui avait été volé. Cette peluche appartiendrait à un couple de Belges, de Haccourt, qui seraient collectionneurs.

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    Ce panda figurait sur une des photos publiés sur le blog Sudpresse de Visé ! (Cinquième panda en partant de la gauche, sur la seconde étagère)

    Contact avec la famille Cornet

    Le papa de Louis a alors tenté par tous les moyens de contacter Céline et André. Problème de langue, Jon s'exprime en anglais, Céline et André en français. "Quand on m'a demandé mon numéro de compte en banque, nous explique André, j'ai tout de suite pensé à une arnaque et je n'ai plus répondu aux appels" En réalité, ils l'apprendront plus tard, Jon voulait verser une somme d'argent pour acheter la peluche...

    Jon ne se décourage pas, il prend alors contact avec l'administration communale d'Oupeye et c'est un parfait bilingue qui lui répond, Raphaël Hensenne.  Jon lui fait part de ses recherches et Raphaël lui propose alors de servir d'intermédiaire. Il prend contact avec Céline et André et les informe de la situation exacte. Sans hésiter, Céline et André décident d'offrir cette peluche au jeune anglais "comme cadeau de Noël" précise Céline. 

     La rencontre

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    Tout s'est passé très vite, informé hier de la décision de Céline et André, Jon Blair a décidé de prendre l'Eurostar ce matin pour arriver à Haccourt aux environs de midi. Invité à visiter leur collection, Jon a immédiatement désigné le panda qu'il recherchait parmi les centaines d'autres. C'est de très bon coeur que Céline et André le lui ont offert. Jon a remercié le couple en leur offrant un splendide bouquet de fleurs, ainsi que trois nouveaux pandas achetés pour Louis, mais qu'il ne voulait pas car il ne s'agissait pas du même que "le sien". Jon nous expliquera ce que le panda recherché avait de "spécial" : son sourire et la couleur de la plante des pieds. Rares sont les exemplaires de représentation de l'animal souriant et ayant la plante des pieds de teinte brune. 

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           "Le" panda

    Qui était le plus heureux? Jon Blair d'avoir trouvé ce qu'il cherchait depuis longtemps ou le couple Cornet d'avoir pu jouer le rôle de "Père Noël" en sachant qu'ils allaient rendre le sourire à Louis ? Difficile à dire...

    Après environ une heure passée chez Céline et André, le papa de Louis est reparti vers Londres, heureux de sa découverte. L'Eurostar ne l'aurait pas attendu.

    Qui est Jon Blair, cet homme qui vient de Londres à Haccourt simplement pour une peluche?

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    Il nous a raconté brièvement son parcours, le voici.

    "Tout d'abord, je tiens à préciser que je n'ai aucun lien de parenté avec l'ancien premier ministre, nous déclare-t-il avec un grand sourire. Je suis né en 1949 en Afrique du Sud, au temps de l'apartheid. Lorsque le temps de faire mon service militaire est arrivé, j'ai refusé d'entrer à l'armée car pendant ces années, les militaires étaient utilisés pour brimer la population noire. Cela me répugnait au point que j'ai quitté ma famille et suis venu m'installer à Londres, en qualité de réfugié. Je me suis retrouvé journaliste télé, j'ai couvert trois conflits armés sur trois continents différents, on m'a tiré dessus, j'ai été bombardé... J'ai d'ailleurs 16 plaques métalliques à la colonne vertébrale". De journaliste, Jon a alors crée sa propre société de production de documentaires, qu'il propose aux diverses chaînes de télévision. Il a ainsi produit des réalisations sur Anne Franck, la liste de Schindler, etc... Et il termine en ajoutant "J'ai même dû me transformer en détective pour pouvoir retrouver Céline et André"

    Alors que nous venions de terminer la mise en page de cet article, Jon Blair nous a fait parvenir deux photos qu'il venait de prendre :

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    Les pandas (le petit, originaire de Chine,  lui a été offert par Céline et André) dans la voiture en route vers Bruxelles et la seconde, ci-dessous, en train de siroter une "Jup" au terminal Eurostar. 

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    (Pierre Neufcour)

  • Les psychologues et psychiatres s'inquiètent: "Donald Trump est mentalement dangereux et malade, il ne peut être président!"

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                                                                                                    © Reuter

    Le président des États-Unis inquiète de nombreux médecins, s’interrogeant sur l’état mental de Donald Trump. Certains vont même jusqu’à affirmer que l’homme n’est pas capable de mener sa mission de dirigeant avec de tels problèmes psychologiques.

    De nombreux médecins spécialistes du comportement et de la santé mentale commencent à s’inquiéter des décisions de Donald Trump et… de sa santé mentale. John D. Gartner, psychologue et auteur de nombreux ouvrages sur les présidents américains, s’est ainsi fendu d’une longue analyse sur le profil psychologique du 45e président des États-Unis. Et le portrait dressé ne risque pas de plaire à Donald Trump…

    L’homme d’affaires de New York est ainsi décrit comme une personne « mentalement dangereuse et malade, et qui vu son tempérament est incapable d’être président ». Le professeur universitaire affirme ainsi que l’homme montre des signes « de narcissisme malin »., soit un mélange de narcissisme, de trouble de la personnalité et de sadisme.

    « On ne peut pas utiliser la logique avec lui »

    Dans le quotidien New York Daily News, la psychologue Julie Futrell est ainsi convaincue que le narcissisme de Donald Trump ne peut que le mener à sa perte. « Ce narcissisme empêche son habilité à voir la réalité, dont vous ne pouvez pas utiliser la logique pour persuader une personne comme ça de penser autrement », explique-t-elle. « Trois millions de femmes dans la rue ? Cela ne le fait pas bouger. Des conseillers montrant qu’un choix politique n’a pas fonctionné ? Il n’en aura rien à faire », continue-t-elle.

    Et ce ne sont pas les seuls à s’inquiéter. Juste après l’élection du président, un groupe de psychiatres et psychologues sous le nom « Citizen Therapists Against Trumpism » a été créé avec près d’un millier de médecins. Ce groupe a publié un manifeste avertissant des dérives possibles d’un profil psychologique comme celui de Donald Trump : « Il chasse et bannit des groupes des gens vus comme des menaces, incluant des immigrés et des minorités religieuses ; Il dégrade, ridiculise et dévalorise des rivaux ou des critiques ; Il favorise un culte de l’Homme Fort qui appelle la peur et la colère ; Il promet de résoudre nos problèmes si on lui fait juste confiance ; Il réinvente l’Histoire et n’avoir qu’un léger souci avec la réalité et ne voit pas l’intérêt d’être rationnel ».

    Et vu les récentes décisions de Donald Trump, on ne peut que s’étonner de la pertinence de telles analyses… Et cela ne fait que onze jours que le président américain est au pouvoir.

    (Source : Lameuse.be)