Agenda susceptible de modifications suivant les annonces de nouveaux évènements.

- Le 11 janvier : Conférence "Les Traditions de Noël" par Angélique Pickman. Centre Culturel de 20h à 22h.

- Les 11, 12 et 13 janvier : Campagne Iles de Paix

- Les 14, 15, 16 et 17 janvier : Collecte des sapins de Noël (voir note dédié)

- Le 17 janvier : Exposition Berthe Bovy Chapelle des Sepulcrines jusqu'au 3 février (voir note dédiée)

- Les 18, 19 et 20 janvier : 14 ème Festival Marcelle Martin (voir note dédiée)

- Le 20 janvier : Apéritif concert du Bourgmestre. De 11h à 13h salle des Anciens Arquebusiers

- Le 27 janvier : L'heure du conte : Jouons au théatre (voir note dédiée)

- Le 27 janvier : Apéritif concert des Compagnons de la Belle Fleur (voir note)

Il y a quelques années, les promeneurs qui arpentaient régulièrement les rives de la gravière ou de la frayère de Lanaye avaient remarqué la présence d'arbres abattus, de branches rongées, d'amas de rameaux au bord de l'eau. Pas de doute, le castor était revenu dans l'habitat qui l'hébergeait il y a plus d'un siècle. Puis, petit à petit, plus aucun "dégât"  n'avait été recensé, on en avait déduit, un peu vite peut-être, que l'animal avait quitté les lieux.

Que nenni ! A l'instar des rives de la Berwinne ou du Geer, sur celles de la Basse-Meuse on a pu constater, il n'y a que quelques jours, qu'ils éaient de retour. Les traces ne trompent pas, quel autre rongeur que lui s'attaquerait de cette manière aux arbres et arbustes ?

Le castor est végétarien. En général, il se nourrit d'herbacées, mais l'hiver venu, il se rabat sur les écorces d'arbres, rouvrant, par la même occasion, les berges fortement boisées.

De moeurs plutôt vespérales, le castor n'est pas toujours facile à observer. Gérard, un habitant de Lanaye, nous a expliqué en avoir vu un quelques jours auparavant, assis à côté d'un tronc d'arbre abattu, occupé à faire sa toilette.

Les photos ont été prises fin de semaine dernière à Lanaye, dans un îlot de nature préservé, situé sur le site des travaux de la nouvelle écluse.

Bienvenue donc, à ce sympathique animal qui est de retour "à la maison". 

Le week-end dernier, comme le veut la tradition, l'esplanade faisait la fête sous l'oeil bienveillant du Père Noël.En effet, les associations et clubs qui le souhaitent avaient la possibilité d'installer un châlet et de proposer des produits de bouche (souvent sous forme liquide) à la dégustation. Ces revenus complémentaires étant les bienvenus pour de nombrteux participants. Ainsi, côte à côte on retrouvait l'action laique et les scouts, un peu plus loin, les Soroptimist voisinaient avec les Lions ou le Tennis club visétois. 

Sur scène, la chorale César Franck était de la partie. La chapelle des Sepulcrines abritait les stans des divers artisans ou artistes de la région, dont Estelle Meens, qui proposait ses derniers livres pour enfants. 

Quelques photos en album dans la marge droite.

Le dimanche 16 décembre à 16h00 la chorale "Dimanche" de Lixhe - Lanaye se produira en l'église, accompagnée d'un jeune guitariste local, Simon De Marneffe.

Une trentaine de choristes vous présenteront des chants de Noël, mais aussi des chants profanes inattendus.

Entrée : 5 € (gratuit pour les moins de 12 ans). 

Trois ans séparent ces deux photos

Dans votre journal du 22 décembre 2009, nous avions fait état de cette ancienne grange qui menaçait de s'écrouler. Des briques se détachaient des murs et tombaient dans les propriétés voisines. Ce bâtiment, qui appartenait à deux sujets néerlandais en indivision, aurait dû être rénové. Les autorités communales avaient interdit l'approche des ruines en plaçant des barrières Nadar, et de nombreux courriers et mises en demeure avaient été envoyés aux Pays-Bas. La Ville a été contrainte de charger la société DI MATTEO, de Pepinster, d'abattre les restes de la construction. 

Selon le responsable du chantier, rencontré sur place, il était grand temps de procéder à la démolition, les murs, qui ne tenaient plus que par habitude étaient prêts à s'affaisser.

Gérard Lemlyn, un voisin, nous fait part de son contentement : "Il y a de nombreuses années que nous tentons de faire démolir cette ruine. Les enfants n'osaient plus jouer dans la cour, et il était risqué de passer en voiture, il ne se passait tantôt pas un jour sans qu'un quelconque matériau se détache et tombe au sol. Nous voilà enfin tranquilles".

Selon l'adage, tout vient à poin à qui sait attendre...