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Société - Page 61

  • Le risque de pénurie d'électricité est bien réel: voici les trois semaines à risques

     

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    Le gestionnaire du réseau à haute tension Elia a chiffré de manière un peu plus précise le risque de pénurie d’électricité pour l’ensemble de l’hiver. Cette information doit toutefois être complétée dans les prochains jours avec la situation dans les autres pays européens.

     C’est ce qu’on peut lire dans L’Echo jeudi.

    Première constatation: même en cas d’hiver normal, la Belgique doit recourir quasiment en continu aux importations pour couvrir la demande d’électricité, mais celle-ci devrait pouvoir être comblée.

    Par contre, si l’hiver est extrêmement froid, les besoins d’importation dépasseront très régulièrement les 3.000 MW en décembre. Les deux premières semaines du mois et la première de janvier s’avéreront problématiques, avec des besoins supérieurs aux 3.500 MW de capacité d’importation dont dispose la Belgique. Et cela, sans même s’interroger sur la question de savoir si les pays voisins seront prêts à exporter.

    Selon Elia, la probabilité de très grands froids début décembre est cependant de plus en plus faible et un certain nombre de mesures supplémentaires ont été prises, dont l’ajout de 170 MW de clients interruptibles. 

    Belga

  • A pied, de Moscou à Compostelle par Werner van Zuylen

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    Madame Viviane Dessart

    Échevine de la Culture et du Tourisme

    et

    Papeterie - Librairie

    ont le plaisir de vous inviter à l’exposé et à la projection de

    Werner van Zuylen

    pour la sortie de son livre :

     

    « A pied, de Moscou à Compostelle » (Ed. Racine)

     

    Le jeudi 4 décembre à 20h00

    « Salle des Tréteaux », rue de Chinstrée, 2 à 4600 Visé

     

    «Place Rouge, Moscou,

    lundi 15 juillet 2013, 06h15.

    Ciel clair, brise tiède.

    Face au Mausolée de Lénine.

    Bottines aux pieds et bâton en main,

    c’est au-delà que je me rends, à 4.500 kilomètres,

    à Santiago de Compostela. »  

                       «Ai-je peur? Non.

    Des doutes? Tous balayés.

    Nerveux? J’ai l’estomac noué.

    Heureux? Exalté par la richesse de l’inconnu, de la liberté d’espace et de temps qui m’attend jusqu’à Noël et qui commence maintenant.»

     

    Entrée libre, invitation à tous. 

     

  • Une cûte peûre offerte ce samedi par Ecolo (Communiqué)

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    Ce samedi 29 novembre entre 10 et 12 h, ECOLO-Visé accueillera les habitants Place de la Collégiale (en face du rond-point) pour leur offrir un plant d’arbre à petits fruits. Nous leur proposerons également de déguster une cûte peûre (poire cuite à la liégeoise) préparée avec des poires achetées auprès d'un arboriculteur bio local. Par ce double geste symbolique, Ecolo veut rappeler qu’il est plus que jamais nécessaire de soutenir la production locale et de qualité, qui fait vivre les agriculteurs et les producteurs de nos régions. Et cela d'autant plus au moment où l'embargo russe pénalise notamment les producteurs de pommes et poires de la Basse-Meuse et du Pays de Herve.

    De nombreux aliments arrivent dans nos assiettes après avoir parcouru des milliers de kilomètres, et être passé entre les mains de nombreux intermédiaires. Ce système mondialisé, qui vise le profit avant tout, rend difficile le contrôle de toutes les étapes de la chaîne. Des aliments pas toujours de qualité, des risques pour la santé, une délocalisation de l’emploi, une perte de contrôle sur ce que nous mangeons, un impact accru sur l’environnement… sont quelques-unes des conséquences de ce mode de production.
    Face à cela, Ecolo soutient le développement des circuits-courts.
     Un circuit court, c’est un mode de production et de commercialisation de l’alimentation qui vise à rapprocher le producteur du consommateur. Du champ à l’assiette, de l’étable à la table… Un chemin plus direct avec des plus-values multiples : pour l’économie, pour la santé , pour l’environnement et pour la convivialité ...

     

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    ECOLO-Visé distribuera donc des plants de 
    framboisiers, groseilliers et cassissiers sur la Place de la Collégiale à Visé le samedi 29 novembre de 10 h à 12 h.

  • Un chauffeur du TEC-Liège: "Les syndicats sont venus mettre des bus en travers du dépôt et nous empêchent de travailler"

     

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    On place un bus en travers, on débranche sa batterie et on ferme la barrière

    Luc Gochel

    Alors qu’aucun bus ne circule ce matin sur le réseau du TEC Liège, un chauffeur d’un petit dépôt veut dénoncer comment cela se passe réellement. « On met tous les chauffeurs dans le même sac, dit-il. Mais nous, on voulait tous travailler ici. Mais les syndicats sont venus durant la nuit placer des bus en travers de l’entrée et on perdra aussi notre journée de travail. » 

     Suite à l’échec des négociations avec la direction, les trois syndicats du TEC-Liège ont décidé hier de bloquer tous les dépôts de bus de la région liégeoise. Si à Jemeppe, il était déjà en grève depuis vendredi soir, à Robermont, ils ont placé des piquets devant l’entrée et ont empêché, non seulement les chauffeurs, mais aussi les employés de rentrer dans le bâtiment.

    Quant aux autres dépôts comme ceux de Rocourt, Omal, Oreye…, un chauffeur nous explique comment cela s’est réellement passé. « Quand je suis arrivé au dépôt pour prendre mon bus, j’ai découvert un bus mis en travers de l’entrée, empêchant tout véhicule de sortir, explique-t-il. Des syndicalistes étaient venus à minuit et demie et avaient débranché la batterie. »

    L’homme a demandé à son chef ce qu’il devait faire et celui-ci lui a conseillé de ne rien faire, de peur de bagarres ou de représailles sur le matériel. «  Mes collègues et moi, on a donc dû se déclarer en grève alors qu’on voulait vraiment travailler. Le public nous prend tous pour des glandeurs mais ce n’est pas le cas. La vérité, c’est qu’il y a une énorme pression syndicale pour nous empêcher de travailler. »

    Lien permanent Catégories : Société
  • Triple assassinat de Visé: les traces ADN inexploitables en raison d'un manque de moyens matériels au sein de la police

     

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    Comme nous l’avions déjà révélé dans nos éditions du 5 novembre, les traces ADN, prélevées par la police scientifique dans le cadre de l’enquête sur le triple assassinat de Visé, survenu en avril, sont inexploitables. RTL-TVi complète en affirmant que ces traces sont inexploitables en raison d’un manque de moyens matériels au sein de la police.

    Le 18 avril 2014, Benoit Philippens et Carol Haid, deux banquiers respectivement âgés de 36 et 38 ans, et Esteban (9 ans), le filleul de Carol, étaient tous trois abattus dans la propriété du couple, à Visé.

    L’enquête a notamment donné lieu à l’arrestation, le 10 septembre dernier, d’un homme de 32 ans, suspecté d’être l’auteur du triple assassinat.

    La nuit des faits, le laboratoire de la police judiciaire fédérale avait retrouvé cinq douilles sur la scène de crime. S’il n’y a eu aucun problème pour récupérer la première douille, les quatre autres ont par contre été ramassées avec le même coton-tige et placées dans le même sachet, expliquait RTL-TVI dans son 19h. Dès lors, les ADN présents sur ces douilles sont rentrés en contact et se sont mélangés.

    De plus, un même écouvillon, une sorte de petite brosse utilisée pour prélever de l’ADN, a été utilisé sur les cinq douilles retrouvées. Dès lors, on retrouve sur le bâtonnet un mélange de quatre ADN sans savoir si ce mélange était présent sur une douille ou si quatre ADN étaient présents sur quatre douilles.

    «Le problème, c’est qu’à partir de ce mélange, on peut exclure que mon client ait fait partie du mélange et c’est le cas, il n’en fait pas partie, mais on ne peut pas transmettre ces résultats à la banque de données ADN pour permettre d’identifier le véritable auteur des faits», déclare au JT de RTL-TVI Philippe Zevenne, avocat du principal suspect.

    Selon RTL-TVI, ces erreurs ne seraient pas dues à l’incompétence de membres du laboratoire de la police judiciaire fédérale mais bien au manque de moyens mis à disposition pour l’étude d’une scène de crime.

    Belga