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Visé-infos - Page 134

  • Ville de Visé : une commune, c'est quoi?

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    Composition du Conseil Communal

    Chaque commune a son petit parlement (le conseil communal) et son petit gouvernement (le collège communal). Chaque commune est en effet une petite république qui obéit à des règles démocratiques et le conseil communal est l'expression de tous les votes des citoyens, donc de toutes les sensibilités pour l'organisation de la vie en société.

    La taille du conseil communal, à savoir le nombre de conseillers, dépend de la population d'une commune : 

    - Dalhem a 19 membres pour une population d'environ 7.500 habitants ; 

    - Visé à 25 membres pour une population d'environ 18.000 habitants ; 

    - Oupeye a 29 membres pour une population d'environ 25.000 habitants ;

    - Liège a 49 membres pour une population d'environ 197.000 habitants.

    Pour être conseiller communal il faut remplir quatre conditions :

    - Etre Belge ou ressortissant d'un pays européen ;

    - Etre âgé de 18 ans le jour de l'élection ;

    - Etre inscrit au registre de la population de sa commune. Quand on est domicilié à Dalhem, on ne peut pas se présenter à Visé. Le domicile doit correspondre à une résidence effective.

    - Ne pas avoir été déchu de ses droits politiques par une condamnation.

    Il faut surtout être candidat à l'élection. Nul n'est obligé d'être conseiller communal. Il faut se présenter. Il y a bien sûr les listes classiques, mais chacun peut se présenter aux élections communales moyennant une petite formalité de signatures.

    (Ville de Visé)

  • Colruyt, Delhaize...: des produits vont disparaître des rayons de vos supermarchés... à cause de la guerre en Ukraine

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    La guerre en Ukraine a des répercussions jusque dans les rayons de vos supermarchés. Les magasins Colruyt ont notamment mis fin à ses commandes en Russie. « Ce n’est pas un boycott mais c’est une question d’être en accord avec les sanctions économiques de l’Union européenne », commente Nathalie Roisin, la porte-parole du groupe.

    Au total, 27 produits sont concernés, parmi lesquels nous retrouvons toutefois des produits saisonniers. « Il y a aussi bien de l’alimentaire que du non-alimentaire », pointe-t-elle. Avant d’ajouter : « Cela ne représente vraiment pas grand-chose quand on sait que, chez Colruyt, nous avons 10.000 références. »

    Parmi les produits en question, la vodka russe. « Mais il ne s’agit que d’un produit et 95 % de la vodka n’est pas russe », souligne-t-elle. « Et pour les autres produits, il y a aussi toujours des alternatives. »

    Disponibilité limitée

    Du côté de Delhaize, le porte-parole Roel Dekelver a confié au magazine spécialisé Gondola avoir également arrêté d’acheter des produits en Russie. « Nous n’avons que deux produits d’origine russe dans notre assortiment : une vodka russe spéciale et le crabe de Kamchatka. De toute façon, ces produits ne sont pas très vendus pendant cette période », a-t-il indiqué. La cause ici, ce n’est pas non plus un boycott. Mais une crainte quant à la disponibilité limitée prévue pour ces produits.

    Les autres supermarchés dont Carrfeour et Aldi ne vendent quant à eux pas de produits en provenance de Russie.

    Hausse de prix

    Outre la disparition de certains produits, la guerre en Ukraine aura aussi un impact sur les prix de certains autres. Mais Nathalie Roisin nuance : « L’inflation était déjà là et l’effet de la guerre n’est donc pas visible à l’heure actuelle. C’est par contre une donnée supplémentaire pour les négociations qui sont encore en cours avec nos fournisseurs. On continue d’observer des choses. »

    Dès le départ, on savait que la guerre aurait des répercussions sur les prix de l’énergie… et des céréales. Blé, maïs, orge, tournesol : les prix s’envolent. Pâtes, nouilles, biscuits… Tous devraient voir leur prix augmenter. Pour les pâtes par exemple, l’économiste Bruno Colmant table sur une augmentation de 10 à 20%.

    (Source Sudinfo)

     

  • Campagne de sensibilisation au cancer du col de l'uterus

     

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    Ce 4 mars 2022, à l’occasion de la journée internationale de sensibilisation contre le papillomavirus, un consortium d’hôpitaux wallons et l’ASBL O’YES lancent la campagne de sensibilisation au dépistage du cancer du col de l’utérus en régions Wallonne et Bruxelles-Capitale ! 
    Cette campagne est initiée et soutenue par les Ministres de la santé Christie Morreale et Barbara Trachte.
    Les chiffres en Belgique
    • En Belgique, le cancer du col utérin touche 650 femmes* par an. Seulement 60% d’entre elles survivront à leur maladie.
    • Chez les jeunes femmes* de 25 à 44 ans, c’est toutefois le 4e cancer le plus important.
    • Chacun de ces cancers est évitable et est un échec au système de dépistage tel que pratiqué actuellement. Le frottis de dépistage pratiqué régulièrement chez plus de 80% des femmes permet une réduction de 90% de l’incidence et de la mortalité liées à ce cancer. Mais seulement 50% des femmes* belges s’y soumettent régulièrement.
     
    Les Human Papillomavirus
    L’une des causes de ce cancer sont les Human Papillomavirus (HPV). En effet, on peut observer que les HPV sont responsables de 99% des cancers du col de l’utérus. Les maladies induites par ce virus touchent 25.000 patientes et patients par an en Belgique et représentent dès lors un problème de santé publique. Les maladies les plus graves vont jusqu’au cancer.
     
     
    Importance du dépistage
    "Le cancer du col de l’utérus tue chaque année 200 femmes* belges, pour la plupart à un âge jeune. Les traitements sont lourds et touchent systématiquement leur fertilité et leur sexualité”, explique le Professeur Frédéric Kridelka, directeur du Département de gynécologie-obstétrique du CHU de Liège, porte-parole du projet. Et d’ajouter : “Près de 90% de ces cancers pourraient néanmoins être évités grâce à un dépistage régulier” par frottis cervico-vaginal. En effet, ce type de cancer se développe progressivement à partir de lésions dites précancéreuses. Les frottis systématiques, remboursés tous les 3 ans, chez un·e médecin traitant ou un·e gynécologue permettraient de découvrir et de traiter précocement les lésions suspectes, et ce, de manière extrêmement efficace.
    Notre première mission est de motiver les personnes porteuses d’un utérus à prendre mieux soin de leur santé. Le frottis du col de l’utérus réalisé régulièrement est un acte simple, indolore, remboursé tous les 3 ans et qui a la capacité de réduire de manière majeure le nombre de cas de cancers du col utérin ou de les identifier à un moment où ils sont encore guérissables.
    Dans un souci de cohérence régionale, le consortium d’hôpitaux wallons chargé de la mise en œuvre d’un programme de dépistage organisé en Wallonie, et l’ASBL O’YES, mandatée par la Région Wallonne et la COCOF, se sont ainsi rassemblé·es pour lancer une grande campagne de sensibilisation à destination des personnes de 25 à 64 ans ayant un utérus.
    L’objectif de cette campagne est double :
    • d’une part, augmenter le nombre de personnes qui se font dépister
    • d’autre part, réduire l’incidence et, de ce fait, la mortalité du cancer du col de l’utérus.
     
     
    La campagne de sensibilisation
    Ce 4 mars 2022, le grand public sera dès lors sensibilisé de plusieurs manières :
    • via une campagne d’affichage dans les transports en commun et dans les salles d’attente des professionnel·les de santé
    • via une campagne d’affichage digitale dans les groupements de pharmacies situées en Région Wallonne
    • via des informations diffusées sur les réseaux sociaux de O'YES et ceux des hôpitaux du consortium
    • via le site internet www.depistagecoluterus.be qui informe le grand public sur le dépistage du col de l’utérus
    • via un flyer explicatif mis à disposition dans les salles d’attente des professionnel·les de santé
     
    Pour en savoir plus :
    Pour toute demande d’interview avec le Professeur Kridelka (porte-parole de la campagne), merci de contacter Delphine Gilman, porte-parole du CHU de Liège dgilman@chuliege.be - 0494 54 96 32
    ASBL O’YES : https://www.o-yes.be/
    Pour toute demande d’interview, vous pouvez contacter :
    Cécilia Goodman, chargée de projet cecilia@o-yes.be - 0493/58.76.16
    Valérie-Anne Duyck, chargée de communication - val@o-yes.be - 0476/77.69.02
     
  • A l’approche d’un chantier… CHOISIR DE RALENTIR !

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    Savez-vous que près de 7 belges sur 10 avouent « oublier » de ralentir à l’approche d’une zone de travaux[1] ? L’arrivée du printemps et le retour de conditions météorologiques favorables à la tenue de chantiers amènent la SOFICO à sensibiliser pendant tout le mois de mars les usagers à l’importance de CHOISIR de ralentir aux abords de ces zones de travaux. La campagne souligne que ce comportement sauve des vies. Elle effectue un focus particulier sur les chantiers de courte durée, parfois mobiles, susceptibles de surprendre les usagers et nécessitant une vigilance accrue

    On le sait, les chantiers (auto)routiers s’accompagnent d’obligation légale de diminution de vitesse et pourtant…

    • Le dernier Baromètre européen de la conduite responsable mené par la Fondation VINCI Autoroutes pour une conduite responsable et l’Institut Ipsos a mis en exergue que les conducteurs belges sont les plus nombreux parmi les 11 pays sondés à reconnaître « oublier de ralentir à proximité d’une zone de travaux » en dépit du risque que cela entraine : ils sont 67%.
    • Chaque année, sur les autoroutes wallonnes, à hauteur d’un chantier, on recense en moyenne[2] 5 décès et 172 blessés (106 accidents). 
    • Chaque semaine, sur les autoroutes belges, deux camions absorbeurs de chocs sont endommagés à la suite d’un accident de circulation. Ces camions tampons accompagnent des chantiers de courte durée (3 heures maximum) parfois mobiles et protègent comme de véritables boucliers les ouvriers qui travaillent parfois à cent mètres seulement.

     

    CHOISIR DE RALENTIR = SAUVER DES VIES

    La campagne de la SOFICO sera affichée pendant tout le mois de mars sur les 300 panneaux qui bordent les autoroutes et principales nationales de Wallonie.

    Son slogan, « CHOISIR DE RALENTIR », volontairement interpellant et responsabilisant, rappelle à chacun qu’au-delà du respect d’une obligation légale, poser le choix de ralentir, c’est choisir de sauver des vies

    Ce visuel met en scène un chantier de courte durée et son camion tampon, qui, depuis le 1er mars 2021, s’accompagnent d’une limitation de la vitesse maximale à 90 km/h. 

    La campagne se déclinera également en vidéo sur les réseaux sociaux.

    Pour illustrer la problématique de la vitesse et faire prendre conscience aux usagers des dangers encourus par les ouvriers, une vidéo, mettant en scène un chantier de courte durée et un contrôle de vitesse a été réalisée. Ces hommes travaillent parfois à un mètre à peine de la circulation pour assurer un réseau de qualité offrant sécurité, confort et fluidité aux usagers.

    Pendant ce tournage de 40 minutes, 1.191 véhicules ont été contrôlés. Malgré la visibilité des équipes, près de 30% étaient au-dessus de la limite autorisée de 90km/h. Un véhicule a même été enregistré à 140 km/h.

    Le Ministre wallon en charge de la Mobilité et des Infrastructures, Monsieur Philippe HENRY souligne l’importance de cette campagne : « La SOFICO et mon administration portent une attention particulière à l’entretien et à la rénovation du réseau. Avec les beaux jours qui reviennent, les chantiers vont faire leur réapparition afin d’assurer à tous les usagers des infrastructures de qualité. Il faut penser à toutes les personnes qui œuvrent à notre sécurité et à notre mobilité. Il est absolument impératif de lever le pied lors du passage à côté de ces chantiers » insiste le Ministre. 

     

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    Vous pouvez télécharger via ce lien les affiches de la campagne.

    Vous pouvez télécharger via ce lien les vidéos de la campagne.

  • Le mardi 8 mars, journée internationale des Droits des Femmes

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    C’est en Belgique qu’une des premières Journée des femmes en Europe a été organisée le 11 novembre 1972, en présence de Simone de Beauvoir, et a rassemblé 8000 femmes. Les Nations Unies et les autres organisations internationales qui en découlent avaient d'abord adopté comme désignation officielle « journée internationale de la femme » avant de corriger cette erreur de traduction, depuis 2016, pour « Journée internationale des Droits des Femmes ».

    La ville de Visé organisa quelques fois des spectacles (Chorale ou One-Women-Show) en cette journée symbolique.

    La société royale archéo-historique de Visé et de sa région, hors de l’esprit du temps d’alors, nomma une femme comme secrétaire ff. à la fin de la guerre : Melle Paula Welter, directrice d’école. Actuellement, le comité comporte presqu’une moitié d’administratrices.

    La ministre du patrimoine de Wallonie, Mme Valérie de Bue avait mis les 33e journées du patrimoine en 2021 sous le thème du matrimoine. Tant une exposition sur le rôle des femmes dans la construction et la promotion du patrimoine fut organisée en septembre de l’an dernier qu’une balade nocturne dans le centre de Visé et à Souvré. Oui, les femmes ont changé un très grand nombre de patrimoines et surtout en ont fait la promotion. De plus, avec une aide de l’agence wallonne du patrimoine , sortira dans les prochaines semaines un livret de la collection des Rendez-vous de l’Histoire consacré au matrimoine dans la région de Visé et de Herstal à ces femmes du Moyen-Age à nos jours grâce à une collaboration des musées de Herstal (Marcella Colle et Marie Meurant) et de Visé (Jean-Pierre Lensen et Marylène Zecchinon).

    La ministre a aussi ouvert le thème des 34e journée du patrimoine 2022 « Patrimoine et Innovation « avec le rôle joué par les femmes."

    J.P.Lensen