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Visé-infos - Page 45

  • Gardes médicales pour les 15 et 16 juillet 2023 dans la Basse-Meuse et la vallée du Geer

    images.jpegMédecin de garde : du lundi au jeudi soir de 19h00 à 08h00 : un seul numéro : 04/379.09.00. 

    Pour leur sécurité, les médecins de garde de la Basse-Meuse sont en liaison avec les services de la Police.

    Attention :  un poste de garde médicale est ouvert les week-ends et jours fériés de 08 hr à 20 hr rue Basse-Hermalle n° 2, à côté de la clinique. N° unique pour le médecin de garde : 04/374.09.34. 

     - Dentistes de garde : former le 100 pour connaître la liste. (Uniquement le week-end, pas de garde en semaine)

    PHARMACIES DE GARDE

    Pour toutes gardes entre 9h et 22h : www.pharmacie.be ou www.appl.be

    Pour toutes gardes entre 22h et 9h :

     Appeler le 0903/99.000

      - le samedi 15 juillet 2023  : Pharmacie INGRAO, rue Tollet 5 à Oupeye

       - Tél : 04/264.04.46

                                                    

     - le dimanche 16 juillet 2023  : Pharmacie MANGILI, rue du Commerce 31 à Roclenge 

      - Tél : 04/286.15.09          

                                                

  • Ambiance tendue à la maison de repos visétoise "Les 3 rois"

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    Implantée au n° 100 de l'allée des Alouettes, l'ancienne polyclinique a été transformée depuis plusieurs années en maison de repos dépendant de l'ISoSL. Depuis environ 4 ans, la directrice est en indisponibilité. Son poste est occupé ad intérim depuis septembre 2019 par madame Renier, infirmière en chef. Mais voilà, fin septembre l'intérim de Nicole Renier prendrait fin, au grand dam de nombreux membres du personnel et de résidents, ainsi que leur famille. 

    Une "porte-parole" des mécontents nous a contacté, voici ce qu'elle nous dit :

    "Dès son arrivée, madame Renier a mis en place plusieurs projets pour apporter plus d'humanité et de sérénité parmi les résidents. Ainsi, elle a embelli le hall d'entrée pour le rendre plus accueillant et convivial ; un centre "bien-être" a été crée afin d'accueillir les jours de semaine certains résidents atteints de troubles cognitifs profonds : ils peuvent ainsi déambuler à leur gré tout en étant sous surveillance.

    Trois tisaneries ont été créées afin de permettre au personnel de prendre leur pause dans un environnement agréable ; un concept a été mis en place avec l'assistante sociale et l'infirmière de liaison afin de rendre visite aux futurs résidents pour créer un contact et un suivi particulier durant la première quinzaine de leur séjour.

    Madame Renier a fait de l'excellent travail et nous souhaitons qu'elle conserve son poste de directrice. Nous avons lancé une pétition demandant le maintient de la directrice faisant fonction à son poste.  En 48 heures nous avions déjà récolté 80 signatures tant parmi les résidents et leur famille que parmi le personnel"

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    C'est le 5 juillet, à l'occasion d'un conseil extraordinaire des résidents que la nouvelle est tombée : madame Renier perd l'emploi de directrice ad intérim qu'elle occupait. Certains se posent des questions : il y aurait trois directrices alors qu'il n'en faut que deux. Pourquoi est-ce elle qui perd sa place alors que les deux autres auraient été engagées après elle ? Serait-ce parce qu'elle serait top "dépensière" ? Serait-ce un problème d'équivalence de diplôme ?

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    Eric Fivez, le directeur général de l'ISoSL se montre surpris de ce mouvement de grogne :

    « Il est vrai que j’ai rencontré Madame Renier à qui j’ai fait une proposition, explique le directeur général Eric Fievez. Il faut savoir que Madame Renier est infirmière en chef et qu’elle a été nommée comme faisant fonction en 2019 pour remplacer une directrice malade de longue durée. Il se fait que j’ai un agent nommé qui revient et à qui je suis obligé légalement de confier la direction d’une maison de repos. La mission de Madame Renier se termine donc fin septembre. Nous sommes dans un schéma administratif et pas du tout dans un licenciement. On est toujours en pourparlers sur son avenir et je ne crois pas que cette pétition va améliorer la situation », conclut-il.

    (P. Neufcour)

     

  • L’enquête publique sur la stratégie biodiversité 360° de la Wallonie est lancée à Visé jusqu’au 18 septembre

     

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    La montagne Saint-Pierre à Lanaye (Photo SP)

    Depuis lundi dernier et jusqu’au 18 septembre, mais pas du 16 juillet au 15 août, la population visétoise peut s’exprimer sur la stratégie du gouvernement wallon concernant la biodiversité 360°

    La Wallonie développe une stratégie dont l’objectif est d’enrayer le déclin de la biodiversité régionale d’ici 2030. Parce que tout le monde est concerné par cet enjeu, à la demande du gouvernement wallon, le public peut partager son avis en complétant le formulaire sur le site : http://environnement.wallonie.be/enquetes-publiques/biodiversite. Ou alors, rendez-vous dans votre administration communale. Jusqu’au 18 septembre prochain, comme par exemple à Visé au service Environnement rue de Mons, 11.

    Il y a cinq axes dans la stratégie biodiversité 360° du gouvernement wallon et 86 actions concrètes proposées. Les cinq axes sont de préserver la biodiversité et la restauration d’espèces; d’intégrer la biodiversité dans les activités économiques; de mobiliser l’ensemble des acteurs en sa faveur; de déployer des actions au niveau régional et d’étudier la biodiversité et d’encadrer les activités sur le terrain.

    86 actions concrètes

    Parmi les 86 actions concrètes, citons la création de réserves naturelles; la prévention et la limitation de l’impact des espèces exotiques envahissantes; la restauration des cours d’eau et des zones humides; améliorer la prise en compte de la biodiversité le long des voies de communication; le soutien à la création d’espaces verts urbains; la promotion des actions agro-écologiques; la préservation des forêts et une meilleure intégration de la biodiversité dans les établissements scolaires.

    Les observations verbales sont recueillies sur rendez-vous par le conseiller en Environnement et les observations écrites peuvent être envoyées à l’Hôtel de Ville.

    Le dossier peut être consulté depuis lundi dernier, chaque jour ouvrable durant les heures de service et le samedi matin de 8h30 à 11h30 rue de Mons, 11 à Visé. Le dossier est également consultable sur le site internet de la ville de Visé ou via le lien évoqué ci-dessus. Les personnes qui souhaitent consulter le dossier un jour ouvrable après 16h ou le samedi matin doivent prendre rendez-vous au plus tard 24h à l’avance auprès de Laurence Blaffart au 04/374.85.14 ou par mail à l’adresse suivante laurence.blaffart@vise.be. Les observations verbales sont recueillies sur rendez-vous par le conseiller en Environnement et les observations écrites peuvent être envoyées à l’Hôtel de Ville.

    A noter qu’il ne sera pas possible de répondre à l’enquête publique du 16 juillet au 15 août, conformément au code de l’environnement.

    (Marc Gérardy pour La Meuse)

  • Gardes médicales des 8 et 9 juillet 2023 pour la Basse-Meuse et la vallée du Geer

    images.jpegMédecin de garde : du lundi au jeudi soir de 19h00 à 08h00 : un seul numéro : 04/379.09.00. 

    Pour leur sécurité, les médecins de garde de la Basse-Meuse sont en liaison avec les services de la Police.

    Attention :  un poste de garde médicale est ouvert les week-ends et jours fériés de 08 hr à 20 hr rue Basse-Hermalle n° 2, à côté de la clinique. N° unique pour le médecin de garde : 04/374.09.34. 

     - Dentistes de garde : former le 100 pour connaître la liste. (Uniquement le week-end, pas de garde en semaine)

    PHARMACIES DE GARDE

    Pour toutes gardes entre 9h et 22h : www.pharmacie.be ou www.appl.be

    Pour toutes gardes entre 22h et 9h :

     Appeler le 0903/99.000

      - le samedi 08 juillet 2023  : Pharmacie FIVEZ, place Reine Astrid 15 à Visé

       - Tél : 04/379.13.65

                                                    

     - le dimanche 09 juillet 2023  : Pharmacie DELISSE rue Gervais Toussaint 2  Dalhem 

      - Tél : 04/379.17.68          

     

                                                       :  Pharmacie MARCOTTY- DODRIMONT Chaussée De Tongres,                                                          374 JUPRELLE

       - Tél : 04/278.51.65                      

  • Studio Nélissen à Visé : 110 ans d'art photographique

     

    Dans la Basse-Meuse, rares sont les habitants qui ne connaissent pas "chez Nélissen", le studio photo exploité par Joëlle Verlaine, petit-fille du fondateur, Nic Nélissen.

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    Joëlle - Jojo - est réputée comme portraitiste. On vient parfois de loin se faire photographier  chez Nelissen à Visé ! Car Jojo est également reconnue par ses pairs : elle figure en bonne place sur la liste des meilleurs portraitistes belges. Et ce n'est pas tout : elle est reprise également parmi les meilleurs photographes européens. Un diplôme dans la vitrine en atteste. Tous le deux ans, notre visétoise expose ses travaux à la biennale internationale de Bourbon-Lancy (en Bourgogne) à l'évènement "L'été des portraits". 

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    Philippeville, actuellement

    Cette année, Joëlle expose ses travaux à l'exposition qui se tient à Philippeville du 30 juin au 30 septembre sur le thème "les familles". Elle a été sélectionnée dans la catégorie des photographes professionnels.

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    En été 2018, la toute première édition du Festival Photo a connu un franc succès, avec plus de 1500 visiteurs. Il était constitué d’un concours photo avec 60 finalistes, exposés dans la vitrine des Halles. Parmi eux, les 12 œuvres primées ont été agrandies sur bâches de 2x2m et exposées aux entrées de la Ville. D’autre part, 3 expositions de photographes professionnels ont été présentées à la Caserne des Fours, à l’ancienne Justice de Paix, ainsi qu’à la Chapelle des Remparts. Ces lieux insolites rejoignaient ainsi le thème de l’année 2018 : la Wallonie insolite. Ont aussi eu lieu des conférences et des visites guidées…

    En 2021, la deuxième édition avait pour thème le sport. Quelque 2000 visiteurs ont pu à nouveau admirer les photos de professionnels: Derek Malou, photographe aventurier, Marc Bossiroy, sur l’école moto Belgian Motorcycle Academy, plusieurs photoreporters de l’agence Belga, au sein de deux rétrospectives spectaculaires, ainsi que le collectif Huma, avec un reportage sur le football féminin en Belgique et ailleurs. A nouveau, le concours photo a désigné 60 finalistes et 12 lauréats, imprimés sur des bâches géantes aux entrées de la ville.

    O B J E C T I F S D U P H E S T I V A L

    Promouvoir une photographie de qualité, notamment professionnelle; créer à Philippeville un événement estival récurrent et d’envergure internationale, tous les 2 ans, susceptible d’amener un large public; proposer des expositions visibles facilement et par le plus grand nombre Le thème des familles a été choisi afin d’attirer un public large et varié, mais pas forcément sensibilisé à la photographie a priori. Dans un souci d’accessibilité et de visibilité par rapport au thème, nous aimerions privilégier des lieux d’exposition fréquentés par les familles, comme les écoles par exemple. Attention, le thème “familles” s’entend au sens large, des surprises vous attendent… Photos : Denis Gauvain L’inauguration du PHestival, L’exposition annuelle des travaux d’élèves de l’école EAFC (Enseignement pour Adultes et Formation Continue) de Philippeville/Florennes, partenaire historique du PHestival. En couture sont conçues des « familles de sacs » Les sections menuiserie et techniques fluides construisent des animations pour égayer le parcours ; Plusieurs sections en langues étrangères ont géré la traduction du règlement du concours photo ; Les sections photo et informatique sont au premier plan de l’organisation L’école assure la promotion du PHestival et soutient le site internet Plusieurs professeurs et élèves font partie du Comité de gestion du PHestival

    Le concours a débuté le 28 avril 2022 et s'est clôturé le 28 avril 2023. Pour la 3e fois, ce grand concours photo est ouvert à tous : amateurs, professionnels, clubs photo, écoles… Un jury mixte, composé de professionnels d’une part et de représentants des organisateurs d’autre part, sélectionnera plusieurs dizaines de photographies sur le thème “Familles” (au sens large), au sein des 8 catégories proposées. Les photos des lauréats seront agrandies en format géant et exposées aux entrées de Philippeville. Vernissage du PHestival le vendredi 30 juin 2023. 

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    Les photos exposées par Joëlle Verlaine, Studio Nelissen à Visé

    DES EXPOSITIONS DE PROS

    Bien des talents existent, en Belgique et dans les pays voisins, qui font de la photographie leur métier. Il est encore trop tôt, à ce stade, pour citer les noms des professionnels qui garniront les cimaises du PHestival. Mais la volonté des organisateurs est de placer bien haut la barre de la qualité de l’événement :

    en invitant des sommités dans leur domaine, susceptibles d’attirer un public de fans ;

    en veillant à présenter une variété de sous-thèmes, susceptibles de plaire à un vaste public.

    en présentant les travaux sensibles et décalés de photographes ou de collectifs développant une approche humaniste.

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    1912-2023 : trois générations, une passion : la photographie

    En 1912, Nicolas Nelissen, mon grand-père, a 21 ans. Il crée un atelier de pose dans l’arrière-boutique de ses parents, boulangers rue du Collège à Visé. La guerre de 14-18 éclate, « Nic » est déporté en Allemagne.

    A son retour, il s’installe d’abord dans un bâtiment rescapé de l’incendie qui a ravagé Visé en août 1914 puis rue du Collège jusqu’en 1931. Durant cette période, il sillonne la Wallonie et photographie les reconstructions d’après- guerre.

    En 1931, il s’installe définitivement rue des Récollets : il agrandit la maison pour y établir un grand studio, des labos et un atelier ; il y emploiera jusqu’à 10 personnes ! Photographe officiel des pieux Franki, il couvre le chantier du canal Albert dans sa portion jusque Lanaye. Il photographie aussi beaucoup d’usines et de fabriques de la région.

    En 1940 : la guerre éclate et Visé est évacuée. La famille Nelissen se réfugie dans les Pyrénées jusqu’en septembre. Nicolas travaille avec un photographe français, à Bagnères de Bigorre. Ma mère, Marie-Thérèse, a 12 ans à l’époque. A leur retour, le magasin a été pillé, les marchandises et le matériel saccagés, il faut tout reprendre à zéro. Mon grand-père aide clandestinement la résistance pour les faux papiers. A la libération, il photographie les soldats américains qui « rêvent » à leur bien-aimée.

    En 1949, ma mère, Marie-Thérèse Nelissen (que les américains appelaient Thésy à la libération en 1945) a 21 ans. L'enseignement de la photographie est alors quasi inexistant en Belgique. Elle suit les cours de l’école Jean Werres, photographe portraitiste installé boulevard de la Sauvenière à Liège et commence avec son père sa carrière de photographe : à l’époque, elle faisait figure de pionnière.

    La relève semble assurée, mon grand-père peut s’adonner à sa deuxième passion, le cinéma amateur. Il filme en particulier la nature qu’il affectionne tant. Son film « l’abeille, cette inconnue » a été primé par une médaille d’or au Festival de Cannes amateur. Mon grand-père décède à 72 ans, en 1965.

    Mon père, Fernand Verlaine, architecte, a la passion de la photographie. Il renonce petit à petit à son métier d’architecte, pour perpétuer Photo Nelissen avec son épouse, Thésy. Dans les années 50-60, les affaires sont florissantes : on faisait la queue les jours de communions pour être photographié « le jour même ». Les mariés et leur suite venaient au studio juste après la cérémonie. Portraits de famille, bébés, photos d’art, cartes d’identité : le studio fonctionne à plein régime. On développe encore les films amateurs en noir et blanc à la maison. Tous les travaux professionnels sont réalisés entièrement chez Photo Nelissen. On retouche les photos à la main. Ma sœur et moi, toutes petites, avons connu l’odeur de l’hyposulfite, classé et coupé des milliers de photos « amateur », joué dans l’atelier et vu la vie à travers un objectif.

    Une partie de l’étalage est aussi consacrée au matériel : on vend des appareils, du petit Instamatic qui met la photo à la portée de tous au réflex sophistiqué dont papa explique aux clients les infinies possibilités avec une patience d’ange. Maman est derrière son comptoir : la clientèle est nombreuse, fidèle, habituée à un service de qualité et je travaille souvent au magasin, j’observe, je me lance : le contact avec les clients m’a toujours plu.

    Pensant peut-être reprendre le flambeau, je fais trois ans de photographie à l’ICADI, avant de me lancer, comme mon grand-père, dans une seconde passion : l’archéologie. Mais Papa décède très jeune, en 1986 J’ai 23 ans, je termine ma licence en archéologie et reprend le magasin avec maman. Petit à petit, la concurrence devient féroce : la revente d’appareils photo avec le service professionnel que nous procurions, est évincée par la grande distribution.

    La photographie, miroir de la société, reflète ses profondes mutations. Dès 1990, je me spécialise notamment dans les portraits de femmes enceintes, d’enfants, de famille et de groupes. Au début du XXIème siècle, l’arrivée de la photo numérique marque un tournant irréversible : fini le plaisir d’apporter ses films à développer, de les coller dans un album,…Tout le monde fait des photos, on ne les imprime plus beaucoup. En tant que photographe, je dois rester à la pointe techniquement, évoluer, et dois me concentrer sur mon savoir-faire ancestral : la prise de vue (ça tombe bien, pour une archéologue !) : de la carte d’identité au reportage, mais surtout au studio.

    2010 : les horaires du magasin « Photo Nelissen » sont aménagés pour pouvoir concentrer tout mon savoir-faire sur la prise de vue en studio, équipé du meilleur matériel. L’accueil reste le même qu’il y a un siècle, la passion aussi. Merci de votre visite à cette exposition.

    Il y a 3 ans, à l'âge de 92 ans, Thésy a arrêté d'exercer son métier de photographe.

    Joëlle Verlaine

    Photo Nelissen 54, rue des Récollets 4600 Visé

    Tél. 04/379.11.41 

    www.photonelissen.be