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Voici les dates des prochaines collectes de sang organisées par la Croix rouge
- Cheratte-Hauteurs : le mercredi 16 avril de 16h15 à 18h dans le car de transfusion, devant l’Eglise de Cheratte-Hauteurs.
- Sarolay : le mercredi 16 avril de 19h à 20h30 dans le car de transfusion, devant l’Ecole de Sarolay.
Certaines manifestations culturelles s'essoufflent avec le temps. D'autres, au contraire, perdurent et même se développent.
Nous pensons au Festival de théâtre wallon Marcelle Martin (en janvier), mais nous pensons également à cette exposition de Cheratte-Hauteurs qui, certes, ne fait pas une publicité tapageuse mais qui, année après année, réunit de nombreux jeunes talents, dont certains ne sont plus tellement jeunes, mais c'est le coeur, les sentiments et le talent, même à l'état embryonnaire, qui comptent.
Si vous n'êtes jamais venus les admirer, ou si au contraire vous êtes déjà venus, sachez que les jeune talents vous attendront à la Salle St Joseph à Cheratte-Hauteurs les 25, 26 et 27 avril prochains.
Félicitations et meci une nouelle fois à Guy Servais et à son équipe très dévouée.
Marcel NEVEN,
Bourgmestre.
Vers minuit, dans la nuit de samedi à dimanche, Jean K., un habitant de Richelle âgé de 49 ans, a été interpellé sur le site d’ArcelorMittal à Chertal alors qu’il était en train de voler des pièces en nickel. L’homme, qui a travaillé pendant 20 ans pour le groupe sidérurgique, a expliqué pour sa défense qu’il ne faisait « que récupérer son dû »... Lui qui perçoit toujours un salaire de 2.000 euros nets par mois.
Il était dans les environs de minuit, sur le site de l’aciérie de Chertal, actuellement à l’arrêt et mise sous cocon en 2011. Jean K., ancien travailleur d’ArcelorMittal qui a œuvré sur ce site jusqu’en 1996 avant d’être transféré vers celui de Flémalle, venait de stationner sa camionnette devant le portail de l’entreprise. Jean s’est alors introduit dans l’usine, via un treillis qui a été découpé à de multiples reprises par les très nombreux voleurs de métaux. Il s’est ensuite dirigé vers un hangar dans lequel il est entré par effraction. Il a commencé à charger sa brouette de pièces en nickel. Mais c’était sans compter sur la présence du service de gardiennage, qui a donné l’alerte.
VU PAR LE SERVICE DE SÉCURITÉ
En effet, suite aux nombreux vols de métaux sur le site de Chertal, une surveillance ac- crue a été déployée. Rappelez-vous :nous évoquions la semaine dernière encore le vol de câbles d’alimentation de cinq ponts roulants et des pièces d’un transformateur. La va- leur du préjudice : environ 2 millions d’euros, selon ArcelorMittal. Les inspecteurs de police ont donc mis la main sur Jean, alors qu’il était en flagrant délit de vol. Lors de son audition, le quasi quinquagénaire a alors expliqué qu’il en voulait énormément à Lakshm iMittal. « Il s’est fait de l’argent sur mon dos pendant des années, a-t-il lancé. Si j’a ait ça, c’est uniquement parce que je suis venu récupérer mon dû.» Il a également assuré que c’était la première fois qu’il volait des métaux.
Pourtant, Jean ne semble pas être dans le besoin. Résident dans une belle maison d’un quartier aisé de Richelle, il perçoit toujours un salaire de 2000 euros nets par mois, nous indique-t-on au parquet de Liège. Il possède d’ailleurs deux véhicules. Jean fera l’objet d’une procédure accélérée devant le tribunal correctionnel de Liège, où il devra répondre de son geste le 8 mai prochain.
(Romain Cammereri)
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(Photo d'illustration)
Steve, un Liégeois de 43 ans, est passé tout près d’un mandat d’arrêt après avoir causé des blessures involontaires lors d’un accident de voitures après lequel il a tenté de se soustraire aux policiers lors d’un délit de fuite caractérisé. Privé de liberté durant la nuit de jeudi à vendredi, il a finalement été libéré par le juge d’instruction qui l’a entendu vendredi. Il sera évidemment cité devant le tribunal de police de Liège où il sera jugé.
L’accident s’est produit, dans la nuit de jeudi à vendredi, vers 23 h 30, au carrefour entre les rues Haute et du Collège, dans le centre de Visé. Suite au choc, une des deux voitures s’est retrouvée sur le toit. Blessée, une dame a été prise en charge par les secours et conduite à l’hôpital où ses jours n’étaient pas en danger. Elle est rentrée chez elle dans le courant de la journée de vendredi.
Quant à Steve, le conducteur de l’autre véhicule impliqué, il poursuivait son chemin après l’accident. Très vite, les policiers de la zone de la Basse-Meuse ont été requis rue Haute. Là, ils ont retrouvé la plaque d’immatriculation de la voiture de Steve qui, suite au choc, s’était détachée. Un dispositif policier a été mis en place au domicile du quadragénaire. Lorsque l’individu est rentré chez lui, les policiers étaient là pour le cueillir. Steve s’est soumis, un bref instant aux injonctions des policiers avant de, finalement, changer d’avis et de prendre à nouveau la fuite en direction de Verviers. Les policiers de la Basse-Meuse se sont lancés à la poursuite de l’individu. Après avoir perdu sa trace durant quelques instants – Steve avait tenté de dissimuler sa voiture endommagée –, les policiers l’ont retrouvé du côté de Verviers. L’arrestation n’a pas été simple. Il faut dire que le Liégeois était en état d’imprégnation alcoolique avec un taux de 0,91 gramme d’alcool par litre de sang. Selon plusieurs intervenants présents sur les lieux, Steve a eu un comportement lamentable.
Selon nos informations, le quadragénaire s’est montré très désagréable et très arrogant avec les policiers. Steve expliquait qu’il s’était rendu compte de l’impact mais ignorait que l’autre véhicule avait terminé sa course sur le toit et qu’une personne était blessée. Il a été privé de liberté par le magistrat de garde. Le parquet de Liège avait requis un mandat d’arrêt à son encontre.
Après avoir passé une nuit en cellule, le Liégeois est, semble-t-il, revenu a de meilleurs sentiments. Il regrettait son comportement de la veille. Steve ne possède pas d’antécédents spécifiques. Il possède un travail, une situation stable et n’a pas de souci avec l’alcool. Son comportement déplaisant dans la nuit de jeudi à vendredi reste donc inexplicable. La juge d’instruction l’a libéré estimant que les conditions pour obtenir un mandat d’arrêt n’étaient pas réunies. l
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