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  • Colruyt distribue 6 millions de paires de poignées amovibles et réutilisables pour caddies à ses clients dans le but de lutter contre la propagation du Covid-19.

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    Le supermarché Colruyt Meilleurs Prix offre à tous ses clients un set gratuit Clipeez®. Grâce à ces poignées pratiques, faciles à clipser et réutilisables, les clients n’ont plus à poser les mains sur leur caddie. Colruyt débute la distribution cette semaine à l’entrée de ses magasins et dans les points d’enlèvement Collect&Go, région par région. D’ici fin juillet, tous les clients auront reçu leur set. 

    Geert Gillis, directeur régional Colruyt Meilleurs Prix, explique : « Même si les mesures liées au coronavirus ont tendance à s’assouplir, la sécurité de nos clients et de nos collaborateurs reste notre priorité absolue. Toutes les mesures de précaution restent donc en vigueur et, là où c’est possible, nous les introduisons de la manière la plus efficace qui soit. Car garantir les meilleurs prix implique aussi de garder nos coûts aussi bas que possible. »

    Lors de sa recherche d’une méthode efficace pour désinfecter les caddies, Colruyt a trouvé un partenaire idéal en l’entreprise Clics Toys de Wuustwezel. Ce fabricant de jouets a développé Clipeez®, un outil pratique qui évite les multiples contacts avec le caddie. Il s’agit de poignées amovibles et réutilisables que les clients clipsent facilement sur la barre de leur caddie pour ne pas la toucher directement. Après le passage en magasin, les poignées s’enlèvent tout aussi facilement.

    Geert Gillis : « Dès aujourd’hui, nos collaborateurs affectés à la désinfection des caddies, à l’entrée des magasins, commencent la distribution des poignées aux clients. La prochaine étape sera de placer des points d’hygiène dans chaque magasin, avec du gel désinfectant que nos clients pourront utiliser s’ils n’ont pas leurs poignées Clipeez® avec eux. Les collaborateurs aujourd’hui en charge de la désinfection des caddies retrouveront alors leur rôle en magasin. »

    Colruyt distribue gratuitement 6 millions de paires de poignées, région par région. « La distribution débute cette semaine dans 4 régions, cela représente 30 magasins. D’ici fin juillet, tous nos clients auront reçu leur set Clipeez® » ajoute Geert Gillis. Et dès cet automne, ils seront disponibles à la vente dans les magasins Colruyt.

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    Les poignées sont 100 % recyclables et réutilisables. Une fois les courses terminées, les clients les enlèvent et les gardent jusqu’à leur prochaine visite. Elles peuvent aussi être nettoyées au lave-vaisselle ou à l’eau et au savon liquide. Geert Gillis : « Les clients peuvent conserver leurs poignées avec leurs sacs de courses réutilisables, de manière à les avoir toujours avec eux. Les poignées Clipeez® sont un outil très pratique, amené à faire partie de la nouvelle normalité, tout comme le port du masque. D’ailleurs, nous invitons nos clients à faire usage de ces deux mesures lorsqu’ils viennent faire leurs courses ». (Source : Sudpresse)

  • Le 13 juin, Blegny Mine reprendra une partie de ses activités

    © P. Neufcour

    «Il faudra cependant encore un peu de patience avant la reprise des visites et des autres activités qui est fixée au samedi 20 juin. Les informations concernant les modalités seront précisées en temps utiles», est-il toutefois indiqué sur la page internet.

    Lien permanent Catégories : Tourisme
  • Optimisme dans la lutte contre le covid 19

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    Le lundi 8 juin, 89 nouveaux cas ont été rapportés. 44 patients résident en Flandre, 34 en Wallonie et 11 à Bruxelles. Le nombre total de cas confirmés s’élève à 59 437.

    La situation se présente comme suit :

    • Au total, 573 patients sont actuellement hospitalisés. 16 nouvelles hospitalisations ont été enregistrées au cours des dernières 24h.
    • Au total, 115 patients se trouvent en soins intensifs, soit une diminution de 1 patients au cours des 24 dernières heures.
    • 16 324 patients sont sortis de l’hôpital et ont été déclarés guéris depuis le 15 mars, soit une augmentation de 9 au cours des 24 dernières heures.
    • 9 619 décès au total ont été rapportés, soit une augmentation de 13 décès au cours des dernières 24h. Des décès des dernières 24h, 13 ont eu lieu à l’hôpital, 0 dans une maison de repos et de soins. Dans ce dernier groupe, N/A a été confirmé par un test COVID-19.
    • Sur les 9 619 personnes décédées, 48% sont mortes à l’hôpital, 50% dans une maison de repos et de soins, 0,5% dans les autre collectivités résidentielles, et 0,6% à la maison et ailleurs. La plupart des décès à l’hôpital (95%) sont des cas confirmés. Les décès ayant eu lieu dans des maisons de repos et de soins comprennent 26% de cas confirmés et 74% de cas suspects.

    Consultez le rapport sur la situation épidémiologique nationale du coronavirus.

    De nouvelles infections continuent d’être diagnostiquées sur notre territoire, mais les tendances sont en baisse. (Source : Metro)

  • Vendu via plusieurs magasins spécialisés en Belgique, le produit est rappelé par l’AFSCA!


    Suite à une notification via le système RASFF (système d’alerte rapide européen Food et Feed), la présence de haricots secs en provenance du Nigeria a été détectée sur le marché européen. Cependant, ce produit est soumis à une interdiction d’importation. Ces haricots pourraient contenir un niveau trop élevé en résidus de pesticides.

    L’AFSCA demande de ne pas consommer ce produit et de le ramener au point de vente dans lequel il a été acheté.

     

    Description du produit :

    Catégorie de produit : haricots secs

    Nom du produit : Nigerian Brown Beans

    Marque : African Beauty

    Date de durabilité minimale (DDM) : 01/12/2021

    Numéro de lot : 719

    Code-barre : 8718481576106

    Poids : 900g

    Le produit a été vendu via plusieurs magasins spécialisés en Belgique.

    Pour toute information complémentaire, vous pouvez prendre contact avec le point de contact de l’AFSCA pour les consommateurs : 0800/13.550 ou pointdecontact@afsca.be.

  • Basse-Meuse : enfouissements de déchets radioactifs durant 500.000 ans

    Une interpellation citoyenne au conseil communal, il y a longtemps qu’on n’avait plus vécu pareil événement à Blegny. C’est Mathieu Simonis, avocat au barreau de Liège, qui l’a effectuée. Et cette dernière a été couronnée de succès, la commune ayant formulé sa plus vive inquiétude vis-à-vis de ce projet, tout en refusant à l’unanimité une implantation dans son territoire sans une enquête sérieuse et complète au préalable.

    Il faut dire que le sujet est sensible. Concrètement, le gouvernement belge, ou plutôt L’ONDRAF, à savoir l’organisme national des déchets radioactifs et des matières fissiles enrichies, est à la recherche de nouveaux sites d’enfouissement pour les déchets radioactifs dont la durée de vie est de 500.000 ans.

    Le Pays de Herve est l’une des zones envisagées. Ce qui provoque une vague de critiques. Une pétition a d’ailleurs été lancée. Les Bassi-Mosans ne voient pas non plus ce projet d’un très bon œil, comme l’a notamment expliqué Mathieu Simonis.

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    « En fait, il y a trois façons de ‘stocker’ les déchets radioactifs », précise l’ancien conseiller communal. « On peut les recycler, les placer dans les piscines en surface ou les enfouir au fond de puits dans des sols argileux à des centaines de mètres du sol. Trois possibilités seraient pressenties pour la troisième option : en Gaume, dans le massif de Stavelot et dans le Pays de Herve. Le souci, c’est que ces déchets ont un impact négatif sur l’environnement vu qu’ils sont radioactifs. Bref, leurs conséquences sont néfastes pour la faune et la flore. Et ce, que ce soit où ils sont enfuis mais également dans des communes limitrophes ou à proximité. »

    L’ONDRAF a lancé une enquête publique qui expire mi-juin. Mathieu Simonis avait interpellé sa commune qui n’était au courant de rien il y a quelques semaines. Il est ensuite passé à l’offensive. Une décision logique vu que Blegny, d’après différents plans, pourrait se trouver dans la zone préconisée par l’ONDRAF mais surtout parce que le village de Bolland (Pays de Herve) est voisin de la commune blegnytoise.

    Une motion à Bassenge

    Si Bassenge n’est pas limitrophe avec le Pays de Herve, ça ne l’empêche pas d’être vivement inquiète.

    Jeudi dernier, Ecolo (opposition) a ainsi déposé une motion contre ce projet, votée à l’unanimité. « Ce qui est déjà interpellant, c’est que cette enquête publique a été lancée en plein confinement, quand la population et les communes étaient focalisées sur la lutte contre cette pandémie », amorce Philippe Malherbe (Ecolo). « Actuellement, aucun site n’a été retenu pour accueillir ce stockage de déchets, mais on sait que l’ONDRAF propose au Fédéral d’adopter le stockage géologique. Bassenge est donc potentiellement concernée. On a donc préféré prendre les devants et faire en sorte que Bassenge fasse savoir qu’elle s’oppose et s’opposera à ce projet. Parce qu’outre l’aspect environnemental, on demande de s’engager pour des centaines de milliers d’années, avec un coût d’au moins 10 milliards d’euros. Or, en cas de stockage géologique, qui serait irréversible, on ne sait pas prédire les risques sismiques à si long terme. On ne sait pas non plus comment vont se comporter les fûts dans lesquels seront stockés les déchets avant d’être enfouis. »

    Ecolo souhaite donc que les autres méthodes soient étudiées par l’ONDRAF pour ainsi pouvoir choisir « la moins mauvaise solution ». (Source Sudinfo)