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  • Au moins 18 résidents sur 90 d'un home à Visé positifs au Covid peu après avoir reçu la première dose de vaccin: rien d'anormal

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    La maison de repos Claire Fontaine dépend du centre public d’action sociale. Elle a procédé, comme de nombreux établissements du genre en région wallonne, à une vaccination en règle de ses résidents, en l’occurrence le troisième mardi de janvier. Mais dix jours plus tard, c’est-à-dire vendredi dernier, il a fallu procéder à un dépistage systématique de tout le monde, pensionnaires et travailleurs. C’est qu’entretemps, la campagne de tests salivaires, pratiquée à intervalle régulier parmi les membres du personnel volontaires, a révélé un cas positif.

    Et, révélés ce lundi, les chiffres de contamination ont de quoi surprendre par leur ampleur : dix-huit résidents sur une nonantaine, et huit personnes parmi les employés.

     


    Un confinement en chambre avait évidemment été organisé, avec annulation des visites, et mise en place d’un système de visioconversation. Des recherches doivent encore être menées pour établir l’origine de cette propagation sur des gens en principe immunisés, même si la protection totale n'intervient qu'une semaine après l'inoculation de la seconde dose.

    Les recherches, notamment en Israël qui est déjà très avancé dans da campagne de vaccination, montrent qu'une certaine protection intervient déjà une dizaine de jours après l'administration de la première dose. Mais d'une part, on ne sait pas quand ces résidents ont été contaminés, et d'autre part, ce n'est qu'une réduction des transmissions, pas un blocage complet.

    La question, à présent, c'est de savoir s'il convient ou non, la semaine prochaine, d’administrer la deuxième dose...

    Source : RTBF

  • Attention si vous avez fait vos courses chez Carrefour ou Delhaize: ce produit retiré de la vente!

    Les «Schnitzer Bio Hamburger Buns» (125g) sont retirés de la vente en raison d’une teneur trop élevée en résidus de produits phytopharmaceutiques (oxyde d’éthylène) sur les graines de sésame.


    Toute information complémentaire peut être obtenue via l’adresse
    hanna.zwick@schnitzer.eu.

  • Colloque digital : la mobilité post-covid

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    Depuis près d’un an, la COVID-19 bouleverse nos modes de vie et notamment, notre manière de nous déplacer. Ces changements de mobilité seront-ils durables ? La relance post COVID sera-t-elle l’occasion de mettre en place de nouvelles politiques en la matière ? A quoi ressemblera la mobilité de demain ?

    Pour débattre de ces questions, la SOFICO vous invite à suivre en direct sur internet, depuis les studios de RTC-Télé Liège, son colloque dédié à la « Mobilité post COVID » et à y participer via les réseaux sociaux avec le #mobilitepostcovid

     

    AVEC LA PARTICIPATION DE :

     

     

     

     
  • La photo de Benoît

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    Faucon crécerelle bondissant sur sa proie...
    Ce jour-là, il avait beaucoup plu et les vers de terre venaient s'aérer en surface. J'ai pu observer ce crécerelle pendant une bonne trentaine de minutes (je pense qu'il est toujours là d'ailleurs <img src="https://static.xx.fbcdn.net/images/emoji.php/v9/teb/2/16/1f642.png" alt="

  • Au menu du Conseil communal de ce 1er février 2020

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    • La séance sera retransmise en direct sur la chaîne Youtube de a Ville de Visé et se déroulera en la salle des Tréteaux rue de la Chinstrée

    Proposition du groupe Visons demain

    Voici une proposition de délibération d'adhésion de la Ville de Visé au projet « Ma commune dit oui aux langues régionales »

    Considérant que le projet de la Wallonie « Ma commune dit oui aux langues régionales » a pour objet la création d’un label et la constitution d’un réseau de communes s’engageant à mettre en œuvre une série d’actions concrètes en faveur des langues et cultures régionales présentes sur leur territoire.

    Considérant que la convention de labellisation proposée à la signature des communes présente un large éventail  d’actions à décliner en fonction de la situation sociolinguistique et culturelle de chaque entité.

    Considérant qu'en choisissant les actions qu’elles désirent développer sur leur territoire, les communes peuvent agir en parfaite adéquation avec leurs spécificités locales et que grâce à ce label, elles peuvent en outre recevoir un accompagnement, des conseils, des contacts et des informations linguistiques afin de mener à bien les différentes actions retenues.

    Considérant que la Ville de Visé mène déjà des actions en faveur de la culture wallonne tel l'organisation du Festival Marcelle Martin.

    Considérant que

    • Les langues régionales endogènes (wallon, picard, gaumais, champenois, francique) sont en perte de vitesse en Wallonie depuis près d’un siècle et ce mouvement s’accélère dramatiquement avec la rupture de la transmission intergénérationnelle.
    • Il est urgent de mettre en œuvre des mesures volontaristes dans notre commune pour promouvoir la pratique du wallon et sauvegarder le patrimoine culturel multiséculaire dont elles sont le vecteur.

    Le Conseil communal décide d'adhérer à l'action « Ma commune dit oui aux langues régionales » et charge le Collège de lui proposer dans les meilleurs délais un projet de convention avec la Région en vue de l'obtention du label "Ma commune dit oui au wallon"

     

    Et voici les questions que nous souhaitons mettre à l'ordre du jour du Conseil communal de ce 1er février :

    • Personnel - procédures de recrutement - Notamment pour le remplacement du conseiller scientifique chef de service environnement et plantations et l'engagement d'un(e) employé(e) technico-administratif urbanisme et environnement - Quels sont les profils retenus ? Quelle est l'organisation des procédures ? Comment se déroulent-elles ? N'y aurait-il pas lieu conformément à la Déclaration de politique communale de mettre sur le métier comme d'autres communes l'ont fait un règlement précisant les conditions de recrutement pour les différentes catégories du personnel ?
    • Cadre de vie - Le site de Chertal longe une partie non négligeable de la commune et l'avenir de ce site important est de nature à influencer la qualité de vie de quasi l'ensemble de la commune. Il est donc de l'intérêt de la Ville de Visé de se préoccuper de ce dossier. Un chantier titanesque s'annonce sur les 200 ha de ce site situé sur la commune d'Oupeye. Une demande de permis de démolition des bâtiments est actuellement en cours d'examen à la Région. La déconstruction qui commencerait cet été devrait durer au moins trois ans et suscite des inquiétudes en raison de l'absence d'étude d'incidences malgré notamment la présence d'amiante. La question de la dépollution des sols se pose également. Le bourgmestre d'Oupeye notamment souhaiterait qu'une étude d'incidences apporte les assurances nécessaires avant que les travaux ne soient entamés. Par ailleurs, l'avenir du site et donc le type d'activités qui pourraient s'y développer doit faire l'objet d'un masterplan promis aussi pour l'été. Comment le Collège suit-il ce dossier ? Quelle est la position de la Ville concernant les 2 problématiques ? Visé soutient-elle Oupeye pour réclamer la réalisation d'une étude d'incidences ? Visé est-il associé à la réflexion concernant le masterplan ? Comment la population sera-t-elle associée à la discussion du projet de masterplan ?
    • Urbanisme - Un projet d'immeuble à appartements de plusieurs étages situé sur le haut de la Rue Haute est actuellement à l'étude. Au vu du précédent qu'un tel projet constituerait dans le centre historique de Visé et de la destructuration que cela entraînerait, le Collège considère-t-il qu'un tel projet est admissible ?

    Merci.

    Bonne journée,

    Caroline Van Linthout
    Martial Mullenders

    Conseillers communaux Visons Demain