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  • UN CONFLIT OUBLIE : LA GUERRE DE COREE IL Y A 70 ANS

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    Cette guerre oubliée il y a 70 ans, très peu d’anciens combattants peuvent en témoigner. La première bataille à laquelle les soldats belges, envoyés par l’ONU en Corée, fut celle de la rivière IMIJIN le 22 avril 1951. C’est le 18 septembre 1950 qu’un corps de volontaire est formé à la demande l’ONU, qui lance un appel au monde libre : 3.171 belges et 78 luxembourgeois partirent pour la Corée. Deux autres batailles majeures concernèrent les troupes belgo-luxembourgeoises : du 10 au 13 octobre 1951 à Haktang- Ni et beaucoup plus tard en mars-avril 1953 à Chatkol. 106 volontaires perdirent la vie (soit 3,3%) et 478 blessés (soit 14,7% ou 1 sur 7). Ces morts n’ont pas été enterrés dans un cimetière militaire comme les soldats des deux guerres mondiales mais ont trouvé un repos éternel « sous le clocher de l’église » (Voir le dernier journal des Combattants)

    Cette guerre de Corée (25 juin 1950 au 27 juillet 1953) se termina par un cessez-le feu signé à Panmunjeon le 27 juillet 1953. Le 38e parallèle devient la frontière entre les deux Corées.

    JPRGM

  • E42/A27 – Réfection des revêtements entre Chaineux et Battice : libération des voies vers Verviers et début des travaux vers Battice

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    Le samedi 22 mai, les travaux de réfection des revêtements ainsi que de réparation des joints de certains ponts supportant l’autoroute E42/A27 menés entre Chaineux et Battice (rond-point « des vaches » sur la N3) en direction de Verviers s’achèveront, libérant ainsi les voies. Le seconde phase du chantier, portant sur l’autre sens de la circulation, débuteront dans la foulée, le mardi 25 mai.

     

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    MODIFICATIONS DES CONDITIONS DE CIRCULATION

     

    Du 25 mai au 25 juin 2021 :

     

    Pendant toute cette phase, dans le sens Verviers vers Battice, une seule bande de circulation sera accessible sur l’E42/A27 à partir du pont de l’autoroute surplombant Dison jusqu’à l’échangeur de Battice, avec une vitesse maximale limitée à 70 km/h sur ce tronçon.

     

    En complément :

     

    • Du 25 mai au 11 juin : la bretelle de l’échangeur de Battice permettant de relier l’E42/A27 depuis Verviers à la N3 (rond-point des vaches) sera totalement fermée.

     

    Les usagers qui circuleront sur l’E40/A3 en provenance d’Aix-la-Chapelle et de Liège ou sur l’E42/A27 en provenance de Verviers ne pourront pas se diriger vers Battice. Ils seront déviés vers la sortie n°37 bis « Thimister » de l’E40/A3.

     

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    • Le « rond-point des vaches » (N3) nécessitera une fermeture à la circulation complète durant un week-end afin de permettre la réfection de la couche du revêtement. Les dates exactes seront communiquées ultérieurement.

    Pendant ce week-end, des déviations permettront aux usagers circulant sur la N3 de rejoindre l’autoroute E40/A3 via « Soumagne » et « Thimister » (accès les plus proches).

     

    • La bretelle reliant l’E42/A27, en provenance de Verviers, à l’E40/A3 vers Liège devra également être fermée à la circulation en fin de chantier. Les dates exactes seront communiquées ultérieurement.

     

    Les usagers devront poursuivre sur l’E42/A27 jusqu’au « rond-point des vaches » afin d’y effectuer un demi-tour en direction de Liège.

     

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    Ce chantier sera achevé, sous réserve des conditions météorologiques, à la fin du mois de juin.

    (Communiqué du SPW et de la Sofico)

  • Gardes médicales des 22 et 23 mai 2021 pour la Basse-Meuse et la vallée du Geer

    images.jpegMédecin de garde : du lundi au jeudi soir de 19h00 à 08h00 : un seul numéro : 04/379.09.00. 

    Pour leur sécurité, les médecins de garde de la Basse-Meuse sont en liaison avec les services de la Police.

    Attention :  un poste de garde médicale est ouvert les week-ends et jours fériés de 08 hr à 20 hr rue Basse-Hermalle n° 2, à côté de la clinique. N° unique pour le médecin de garde : 04/374.09.34. 

     - Dentistes de garde : former le 100 pour connaître la liste. 

    PHARMACIES DE GARDE

    Pour toutes gardes entre 9h et 22h : www.pharmacie.be ou www.appl.be

    Pour toutes gardes entre 22h et 9h :

     Appeler le 0903/99.000

    - le samedi 22 mai 2021 : Pharmacie BOVEROUX, rue Lulay 30 à Glons

    Tél : 04/286.19.54

                                               Pharmacie LOUIS, rue J. Wauters 79 à Vivegnis

    Tél : 04/264.02.43

     

    - le dimanche 23 mai 2021 : Pharmacie VAN LEEUW rue Haute 29 à Eben-Emael

    Tél : O4/286.13.06

                                                    Pharmacie BERNARD rue Visé-Voie 36 à Oupeye

    Tél : 04/264.21.04

     

  • Visite commentée au musée de Lanaye

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    Le tumulus qui aurait abrité la dépouille (incinérée) du site gallo-romain 

    DES FOUILLES ARCHEOLOGIQUES A LANAYE avant, pendant et après : une visite guidée le 30 mai à 15 h.

    Une visite commentée de l’exposition d’Archéolo-J présentée au musée de Lanaye « Refuge Naturel de la Montagne St-Pierre » aura lieu le dimanche 30 mai à 15 h. Elle confrontera la dernière grande fouille qui eut lieu sur le plateau de la Montagne St-Pierre au lieu-dit Voie d’Emael avec les panneaux

    Les premières découvertes eurent lieu il y a plus de 50 ans par les soins de l’abbé Nicolas Peuskens et de Jean Massin, conservateur du musée de Visé. Elles furent reprises par le musée de Lanaye et la Société Archéo-Historique de Visé. Les commentaires suivront les prospections sur près de 250 m2, la détermination du site à fouiller, les premiers coups de pelle et la découverte d’un mini-cockerill où l’annexe de la ferme (la villa) présentait une halle avec des supports massifs supportant a toiture englobant plusieurs bas-fourneaux ayant fourni du métal (fer, bronze). Un creuset et plusieurs autres structures furent trouvés. Le plus étonnant sera la surprise trouvée sous un bas-fourneaux.

    Ces fouilles permirent aussi d’organiser un chantier de fouilles international mais la suite sur place.

    L’entrée est libre et plusieurs livres sur les fouilles régionales pourront être acquis. Prière de réserver sans faute à info@mahvi.be ou au 0495-496391 (Nom et nombre de personnes).

    (Communiqué)

  • LES DERNIERES ACQUISITIONS DU MUSEE DES ANCIENS ARQUEBUSIERS DE VISE

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    Le musée des Anciens Arquebusiers de Visé comme chaque année ouvre au grand public ses collections, à partir du mois de mai.

    Accueilli par deux mannequins présentant un membre du premier groupe de la compagnie : le sapeur et le dignitaire porteur du collier de la compagnie, l’Empereur, le visiteur découvrira une magnifique collection d’une quarantaine d’assiettes de tir, acquises récemment. Le plus souvent en porcelaine mais aussi en étain.

    Dans les deux salles, nous retrouvons des portraits de membres, les plus anciens datant de la fin du 19e s. Deux présentoirs passent en revue nombre de photos de cortèges, de membres de la gilde et de documents, secondés par d’innombrables photos déroulées sur un cadre photo, une manière de présenter aux non-initiés ce qu’est au 21e s. une compagnie armée, riche de 442 années de traditions.

    Incontestablement, comme les deux autres musées de compagnies, les armes constituent la plus grande partie du patrimoine du musée : des arquebuses, un mousquet, des pistolets, les étonnantes écossaises, des révolvers datant le plus souvent des années antérieures à la fin de la Principauté de Liège, car oui, Visé était une bonne ville qui avait cette particularité d’être une tête de pont sur la rive droite mais entourée de possessions étrangères et potentiellement ennemies. Les bourgeois (habitants du bourg) étaient-ils suffisamment nombreux et armés pour faire face à un siège, malgré des remparts solides, datant du 14es et maintes fois refortifiés.

    Le conservateur, Jean-Luc Casteleyn et son équipe ont rédigé un opuscule de 8 pages reprenant sous le titre IMPEDIMENTA la collection d’équipements de l’arquebusier : sa tenue, les armes à feu avec l’équipement du soldat : la fourquine, les épées et hallebardes, les poires à poudre, les moules à balles et pour manipuler tout cela, des outils comme un marteau pour retailler le silex qui enclenchait par sa friction la mise à feu ou encore un mortier et son pilon pour affiner la poudre noire. Il y a aussi des éléments plus récents comme le fusil Comblain. IL y a aussi les prix du tir et des jetons et des médailles. Plus curieux dans ce musée, des arcabuses, mixte entre une arbalète et une arme à feu et des arbalètes plus classiques.

    Mais le musée conserva aussi des peintures et d’intéressants documents sur les 2 guerres du 20e s., comme les vestiges récupérés dans les maisons incendiées en août 14, comme des témoignages de réfugiés aux Pays-Bas ou des hommes déportés dans les camps du nord de l’Allemagne.

    Au total, une douzaine de vitrines et sortant du lot par leur rareté, un arquebuse de rempart du 16es. et son boulet d’un poids de 100 grammes, une arquebuse exotique à mèches car venant de l’Inde avec poinçon de l’armée anglaise – début 19e s. Plusieurs autres uniformes enrichissent le patrimoine du musée. Un simple conseil, n’hésitez pas à leur rendre visite les premiers dimanches du mois dès le mois de juin ou sur rendez-vous auprès du conservateur, Jean-Luc Casteleyn au 0475 352916. Nous vous le recommandons.

    JPRGM