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Travaux - Page 47

  • Aujourd'hui peut-être, ou alors demain....

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    Rien. On n'a rien appris hier à la réunion du comité d'accompagnement à Lanaye concernant le  futur rétablissement de la liaison par bac avec Eijsden. Tout le monde s'accorde à dire qu'il y a un problème de flottabilité du nouveau ponton, mais personne ne veut s'engager. Selon certains intervenants, cette reprise  des taversées fluviales pourraît intervenir dans la quinzaine. Rappelons qu'à l'origine, la date annoncée était celle du 1er mai, puis du 9, puis du week-end suivant. Sera-ce effectivement dans la quinzaine ? Nul ne le sait. A Lanaye, certains ont de plus en plus l'impression qu'on joue avec - non pas leurs pieds- mais avec leurs c......s !

  • A quand la remise en fonction du "Cramignon", le bac de Lanaye ?

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    Annoncée pour le 1 mai, la liaison par le petit bac entre Lanaye et Eijsden n'est pas encore rétablie. Où en est-on ? Les riverains se plaignent de ne pas être tenus au courant.

    Suite aux travaux en cours, un nouvel embarcadère a été construit et mis à l'eau rive gauche de la Meuse. D'après la société Besix et le SPW, le premier retard a été pris lors de la construction de cet ouvrage flottant. Ensuite, lors de sa mise à l'eau, les test de sécurité pratiqués ne se sont pas montrés totalement concluants. Autrement dit, la sécurité ne serait pas parfaitement assurée lors de l'embarquement et le débarquement des passagers. Des deux côtés, on assure que les résultats des tests seront connus dans un avenir relativement proche. Il est cependant impossible de fixer une date pour la réouverture de cette liaison.

    En attendant, nos voisins bataves n'ont pu se rendre à la brocante de Lanaye ce 18 mai, et les exploitants de la taverne "Le Grand Petit", dont la majorité de la clientèle arrive d'Eijsden,  se désolent de la désaffection momentanée de leur établissement. 

    Peut-être en apprendra-t-on plus ce jeudi au cours de la réunion du comité d'accompagnement ?

  • Il n'y a quasi que des ouvriers slovènes et portugais sur le chantier de la nouvelle écluse de Lanaye

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                           Une patie des ouvriers Slovènes qui betonnent le fond du bassin (Sophie Kip)                                                                                                          

    Depuis le début de l’année, près d’une centaine d’ouvriers s’affairent à la construction de la nouvelle écluse de Lanaye (Visé). Un vaste chantier de 90 millions, financé par la Région wallonne, et remporté par la firme belge Besix. Pourtant, quasi pas un ouvrier belge à l’horizon. Pourquoi ? Nous sommes allés voir sur place…

     

    Quelques 45 ouvriers slovènes et autant de portugais sont occupés actuellement à coffrer, ferrailler et bétonner le bassin de la future quatrième écluse de Lanaye. Ils sont chez nous pour une quinzaine de mois. Ils restent entre 5 et 7 semaines sur place, avant de repartir une semaine dans leur pays, et puis de revenir. On voit bien quelques chefs de chantier et ouvriers belges de Besix, mais très peu.

     

    Les ouvriers slovènes sont logés dans des modules préfabriqués à un jet de pierre du chantier tandis que les ouvriers portugais ont loué des petites fermettes dans la région… « Ils ne payent rien pour le logement, reçoivent une indemnité pour leur nourriture et, avec leur prime d’expatriation, ils touchent à peu près le double de ce qu’ils gagneraient au pays », nous explique M. Bogdan, l’ingénieur slovène du chantier. Et c’est à peu près pareil pour les ouvriers portugais.

     

    Et malgré tous ces frais supplémentaires, cela coûte encore moins cher que d’employer des ouvriers belges ! Preuve s’il en est des coûts élevés du travail dans notre pays.

     

    « Qu’est-ce que vous voulez ?, répond Patrick Delperdange, le responsable de projet chez Besix, la firme belge qui a emporté le marché. Si vous voulez être le moins cher, il n’y a pas de miracle. Ces sociétés ont des régimes sociaux et fiscaux moins chers qu’en Belgique et dispose d’une main-d’œuvre importante. Nous, on veille à ce qu’elles soient en règle avec la loi et capables de réaliser le travail. Pour le reste, c’est le phénomène classique de la sous-traitance… »

     

    Mais le prix n’est apparemment pas le seul critère de choix. Il y a aussi les compétences. Et surtout la volonté de travailler dans la construction. « On a beaucoup de mal à trouver des ouvriers belges qui aient encore l’envie de travailler dans un secteur qui, physiquement c’est vrai, est aussi plus éprouvant., reprend Patrick Delperdange.                                             (Luc Gochel)       

     

    Retrouvez notre reportage complet dans La Meuse de ce mercredi 8 mai.

  • Installation du ponton à Lanaye

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                                                                                                         (Photo P Graff)

    Hier, du matériel de levage lourd est arrivé rue des Battes. Il fallait réinstaller le ponton qui accueille le bac "Le cramignon", qui assure la traversée de la Meuse entre Lanaye et Eysden, sur la rive droite.

  • Ce matin dans votre journal

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    - Etc, etc...