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Actuellement, une partie des communes de Herstal, Vivegnis, Oupeye, Hermée, Heure-le-Romain et Houtain-Saint-Siméon sont privées d'électricité. Le problème se situe au niveau de la haute tension (15.000 V). Résa est en train de tenter de résoudre le problème. Deux problèmes ont déjà été identifiés dans des cables, au niveau du parc industriel des Hauts-Sarts. A l'heure où nous écrivons ces lignes il n'est pas possible de déterminer le délai de réparation.
Dans le bas de la Vieille Voie, une petite venelle permet d’accéder aux numéros 15, 17, 19, 21 et 23.
Déjà en 1850, cette impasse était répertoriée sur la « carte Vandermaelen ».
La vétusté de cette ruelle rendait l’accès aux habitations difficile. C’est pourquoi, à la demande des habitants, la Ville de Visé a accepté de la rénover.
L’étroitesse des lieux et la détérioration de certains bâtiments ont rendu ce chantier particulièrement délicat à mener à bien car toute intervention à l’aide de machines ou de tout autre engin était proscrite. Les travaux ont donc été réalisés à la main, « à l’ancienne » par l’équipe de voirie de l’échevinat des Travaux.
Le « tarin », Nico, Massimo, Kemal, Cem, Michel, Christophe & Luc n’ont pas ménagé leurs efforts et leurs talents afin de mener à bien cet ouvrage.
L’égouttage a complètement été rénové, les niveaux des différents trottoirs ont été lissés et un nouveau revêtement en clinkers remplace le vieux tarmac défoncé.
Le résultat est optimal et rencontre pleinement le souhait des riverains.
A Visé, c’est un sujet de discussion récurrent : le parking et les fameuses « voitures-ventouses ». Comprenez : ces véhicules qui restent stationnés toute la journée dans la zone bleue, faisant fi de la durée maximum réglementaire d’une heure et demie. Un manque de civisme qui pourrait bientôt appartenir au passé, grâce aux nouveaux capteurs en cours d’installation dans la ville.
Nouveau système de contrôle
Nous vous le dévoilions en juin dernier : l’installation de capteurs intelligents était à l’étude à Visé, sur une proposition de l’Échevin du Commerce Ernur COLAK. Validé par le Conseil communal, ce projet est en train de passer au statut de réalité et il sera bientôt bien plus difficile de passer entre les mailles du filet pour outrepasser la durée de stationnement réglementaire en zone bleue.
Car le contrôle sera digitalisé dès la fin juin. Le principe ? Des capteurs au sol sans fil (connectés via 4G/5G) dans la rue Haute, la rue du Collège et dans les cinq axes perpendiculaires à ces deux rues, soit 172 places équipées au total (sur les 454 que compte la zone bleue). Au bout d’une heure et demie de stationnement, le capteur enverra une notification à l’agent en service, afin qu’il se rende sur place pour contrôler… et verbaliser le cas échéant.
Changer son disque ? C’est fini !
Il ne sera donc plus possible de venir reculer l’heure de son disque pour rester plus longtemps dans la zone bleue. Un signal fort pour plus de fluidité au cœur de la ville et inciter les visiteurs qui souhaitent rester plus longtemps à utiliser d’autres emplacements alentours (hors zone bleue) ou le nouveau parking Centre (situé avenue Albert 1er, dont la première heure est gratuite et les suivantes à prix modique).
« Notre objectif est de de rendre l’expérience shopping plus agréable à Visé », explique Ernur COLAK. « Nous voulons faire en sorte que les parkings hors zone-bleue soient mieux utilisés. Notre cible, ce sont les voitures-ventouses. » Ce système fournira aussi des statistiques concernant les habitudes de stationnement, afin de mieux comprendre les habitudes des visiteurs.
Une meilleure expérience visétoise
Ce nouveau système, d’un montant total de 28 000€ HTVA (et 10 000€/an de gestion annuelle) est en cours d’installation. Mise en service prévue : le 20 juin. L’objectif de l’Échevin est précis : « Avoir toujours 10 à 15 places disponibles dans l’artère principale pour les achats rapides. Cela représenterait une meilleure expérience au quotidien pour les commerçants et pour leurs clients », argumente Ernur COLAK. Une application est également en cours de développement pour vérifier en temps réel, depuis son smartphone, quelles places sont disponibles. Et un site web reprenant tous les parkings visétois est en ligne : www.vise-parking.be
Les Visétois savent désormais à quoi ressemblera la nouvelle place Reine Astrid, en plein cœur de la Cité de l’Oie. Le dossier a été attribué et les travaux devraient débuter à l’automne prochain. Un budget de 5,5 millions d’euros.
On entre dans la dernière ligne droite pour l’aménagement de la place Reine Astrid à Visé. Un dossier vieux de plus de dix ans ! Une enquête publique a eu lieu durant un mois fin 2020.
L’échevin de l’Aménagement du Territoire, de l’Urbanisme et des Grands Travaux, Xavier Malmendier, a présenté le projet à l’assemblée générale des commerçants visétois. Une cinquantaine de commerçants étaient présents.
« Le dossier a été attribué fin avril dernier avec l’accord de tous les intervenants, à savoir la Région wallonne pour les voiries, Resa, la CILE, la SPGE pour l’égouttage, Proximus, VOO et la Ville de Visé qui est la coordinatrice du chantier. Le dossier est parti à la tutelle qui se prononcera au plus tard à la mi-juin », indique Xavier Malmendier.
Début des travaux à l’automne
« Le chantier de 300 jours ouvrables devrait débuter à l’automne en plusieurs phases. J’ai insisté auprès des commerçants qui avaient de nombreuses craintes que la circulation serait maintenue pendant le chantier et que bien entendu les commerces resteront accessibles. À noter aussi que les commerçants désigneront un représentant qui participera aux réunions de chantier avec le responsable technique, Sergio Modica-Amore, chef du service technique de la Ville », détaille l’échevin.
Pour rappel, il est prévu sur cette nouvelle place de Visé la plantation d’arbres, un grand banc, une zone de détente avec des gradins en bois et une fontaine d’eau sous un immense auvent en métal avec des miroirs (comme à Marseille). Une place plate avec des pierres bleues de différentes tailles pour créer un dessin de vague. Il y aura un éclairage LED spécifique et des pylônes d’éclairage intelligents avec des caméras, de la musique et du wifi.
Un budget total qui avait été évalué à 4,320 millions € avec un subside de revitalisation urbaine de la Région wallonne de 687.000€ et un subside du PIC, plan d’investissement communal, de 794.000 €. « Il y a eu en décembre dernier une réévaluation du budget total qui est désormais de 5,540 millions d’euros dont une part communale de 2,230 millions d’euros +TVA. Chaque autre intervenant (Resa, SPGE…) paiera sa part », conclut Xavier Malmendier.
Dès ce lundi 16 mai, dans le cadre du chantier de transformation de l’E25 en boulevard urbain entre le pont-barrage de Monsin et le pont Atlas, la sortie nº7 « Coronmeuse » vers le pont Atlas sera fermée à la circulation.
Ce chantier entraînera plusieurs modifications des conditions de circulation. Du lundi 16 mai au dimanche 29 mai, la sortie nº7 « Coronmeuse » vers le pont Atlas sera fermée à la circulation. Une déviation sera mise en place via la sortie précédente nº6 « Jupille ». Une fermeture sera également prévue durant l’entièreté du mois d’août prochain.
Pour rappel, ce chantier vise à aménager en boulevard urbain l’autoroute E25 entre le pont-barrage de Monsin et le pont Atlas, créant également un accès à la zone multimodale de Bressoux. Ce projet, qui s’intègre pleinement dans le PUM (Plan Urbain de Mobilité) de l’agglomération liégeoise, permettra d’apaiser la mobilité motorisée, d’offrir une infrastructure dédiée aux modes doux et de verduriser la zone.
Concrètement, les travaux consistent à démolir les coffres de l’E25 et de l’avenue Georges Truffaut afin d’y implanter les nouvelles voiries. A terme, la zone sera constituée de deux voies en sortie de ville et d’une voie en accès de Ville. La vitesse y sera limitée à 50 km/h ; connecter l’avenue de Jupille aux nouveaux aménagements à l’aide d’une nouvelle trémie ; créer des pistes dédiées aux vélos et aux piétons côté bâti et côté Meuse ; accroitre la surface dédiée aux aménagements paysagers et améliorer ainsi, notamment, le cadre de vie des riverains.