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Chaque année, du 25 novembre au 10 décembre, les organisations féminines du monde entier
répondent à l’appel d’Antonio de Oliveira Guterres, Secrétaire Général des Nations Unies et
invitent tous les membres de la société civile à se mobiliser pour la campagne
"Orange the World to end violence against women and girls "
En réponse à cet appel, dans de nombreux pays, un grand nombre de bâtiments seront illuminés en orange durant cette période de sensibilisation de la population .
Ainsi le font, dans tout le pays, chacun des 56 clubs du Soroptimist International de Belgique ( SIB) l’ONG féminine la plus importante dans le monde.
Cette année, la ville de Visé, sollicitée par le club Soroptimist de Visé, a accepté de participer à cette action et décidé d’éclairer en orange le centre culturel, un des fleurons du patrimoine visétois.
Rendez-vous le 25 novembre à 17h30 devant le centre culturel pour l’ouverture de la campagne
internationale contre la violence envers les femmes.
À Liège, certains ont encore du mal à digérer que Resa est désormais une intercommunale indépendante. Pour son directeur-général, Gil Simon, la gouvernance de l’entreprise a changé et le nouveau statut du distributeur de gaz et d’électricité.
Resa vient d’être attaquée deux fois au conseil d’État pour des marchés publics. Avez-vous l’impression que contrairement à avant où tout était dicté par Nethys, la mise en concurrence passe mal chez certains qui étaient habitués à recevoir ces contrats ?
Il faut d’abord comprendre d’où on vient. Le rapport de la commission d’enquête « Publifin » voté en mai 2018 a prévu une grande autonomisation de Resa. Avec un décret clair du ministre Crucke : un GRD (gestionnaire de réseau de distribution, NDLR) doit être autonomisé et peut devenir une intercommunale. À cette époque, le monde politique liégeois freinait et aurait clairement préféré que Resa reste dans le groupe Enodia/Nethys.
Mais cela s’est fait : Resa est désormais une intercommunale.
En effet, nous avons réalisé immédiatement la séparation. Elle fut compliquée mais en un an, on l’a fait : on s’est réparti le personnel et les propriétés immobilières. Conséquence de cette indépendance, nous avons lancé énormément de marchés publics là où il n’y en avait aucun avant : l’IT (informatique), les ressources humaines, les services juridiques… Tout était géré par Nethys à travers des conventions internes au groupe au profit des entreprises qui étaient des filiales. Or, ce n’était juste plus possible de continuer ainsi, puisque nous sommes séparés.
On parle beaucoup du fait de faire attention à l’argent public. Vous en gagnez grâce à vos nouvelles mises en concurrence ?
Les derniers marchés attaqués concernent le data-center de Resa (le stockage des données) et le recouvrement de créances. Aujourd’hui, le régulateur nous suit à la culotte en ce qui concerne la bonne gouvernance. Ce marché IT, je rappelle qu’il doit, en théorie, nous faire économiser des millions d’euros. Il était estimé, sur base historique, à 15 millions. Et nous l’avons attribué pour 7,5 ! C’est de l’argent public qui est économisé ici, grâce à la mise en concurrence.
Les entreprises qui, historiquement, traitaient les dossiers de Resa ont du mal avec ces nouvelles manières de procéder ?
On est attaqué par NRB et WIN. J’ai l’impression pour NRB – avec lequel on travaille beaucoup puisqu’ils ont gagné un très gros marché chez nous il y a un an d’ici – que peut-être pensaient-ils que c’était bon, que c’était déjà gagné. WIN, c’est le prestataire historique, filiale de Nethys. Mais ce qui est un peu fort, c’est que WIN aussi vient de gagner un marché chez nous pour la fibre. Donc, on a des clients qui nous attaquent… Néanmoins, on doit aussi relativiser. On passe environ 200 marchés par an. Nous n’avons que deux recours ! Je conçois que pour ceux qui perdent le marché, c’est embêtant. Mais nous, nous devons respecter les règles, faire des appels à la concurrence. Et grâce à cela, nous recevons de très grosses offres, tant qualitatives que sur les plans technique et financier. Je veux dire par là que les firmes se battent pour bosser pour Resa.
Selon vous, cela passe mal cette nouvelle indépendance de Resa ?
Trois choses. Un, nous avons le statut d’une intercommunale, donc on n’a pas qu’Enodia comme lien direct, mais aussi 73 communes actionnaires et la province de Liège. Deux, nous sommes dans un secteur – l’énergie –, régulé et soumis aux marchés publics. Dans le groupe Enodia, Nethys ou WIN n’y sont pas soumis, par exemple. Et trois, nous avons des directives européennes qui ont été transposées ici en Wallonie quant à l’indépendance des GRD. Pour être clair, même notre actionnaire Enodia ne peut pas nous bloquer, nous influencer ou nous imposer des choses.
Et donc ?
Il faut comprendre, et cela a peut-être du mal à être accepté par certains parfois, que Resa a changé et est indépendante. Que la gouvernance a changé. Nous avons un statut particulier, à savoir une intercommunale soumise à des règles strictes de gouvernance et d’indépendance, qui doit être respecté. (Exclusivité de La Meuse)
Les communes liégeoises n’attendent qu’une chose fin d’année au moment de la délicate confection du budget : connaître les dividendes qu’elles vont toucher suite à leurs différentes participations.
Un plus que tout autre est particulièrement scruté : celui de Resa. Ou plutôt d’Enodia, puisque même si Resa est une intercommunale indépendante, elle fait remonter ses bénéfices auprès de son actionnaire principal qui, à son tour, rétrocède aux communes. Et récolte au passage tout le mérite. Si l’on s’y penche d’un peu plus près, le mécanisme peut surprendre.
Un bref coup d’œil dans le rétroviseur s’impose. La commission d’enquête créée dans la foulée de l’affaire Publifin avait réclamé que Resa, comme distributeur de gaz et d’électricité, sorte du groupe Enodia/Nethys. Pour préserver son indépendance, mais aussi parce que – on l’a souligné à de multiples reprises – le GRD liégeois était la vache à lait (sic) du groupe.
Aujourd’hui, Resa est une intercommunale et, de fait, a « gagné » en indépendance. Mais les choses ont-elles vraiment changé concernant les bénéfices qu’elle génère ? Ici, ce ne sont pas moins de 19 millions d’euros qui vont être distribués. Enfin non, pardon, qui vont remonter chez Enodia. Avant, c’était chez Nethys. Une intercommunale qui a comme actionnaire une autre intercommunale et qui doit lui faire remonter ses bénéfices au lieu d’être en lien direct avec les communes, c’est un non-sens absolu, un processus inabouti.
Mais si l’on veut pousser la réforme jusqu’au bout, alors il est nécessaire que les seuls actionnaires du GRD soient les communes et la province en direct. Ce serait plus clair, plus transparent, plus simple et ça éviterait ainsi à nouveau les couches de lasagne.
L’asbl Société royale archéo-historique de Visé et de sa région a obtenu son renouvellement d’agréation ; ce qui signifie que l’association a le droit de rendre des attestations fiscales pour tout don en argent de 40 € et plus et ce de cette année 2021 à 2025.
Sachez aussi que ce don (pour 2021 à faire avant ce 31 décembre) et l’attestation que vous recevrez au début de l’année prochaine vous permettra d’économiser 45%. Autrement dit pour 100 € versé , vous économiserez sur vos impôts 2022, 45 €. Depuis plus de 15 ans, nous avons obtenu cette agréation qui nous a permis plusieurs restaurations.:
- L’ancien Christ du Calvaire de Lorette datant du 16e s.
- Une écharpe maçonnique du début du 19e s.
- Un tableau représentant Fromondus de Haccourt
- Le drapeau de l’association des déportés visétois de 1914
- Mais aussi l’aide à l’édition de la monographie de José Fosty, rescapé du camp de Buchenwald……. Pour cette année, nous proposons à la générosité des donateurs plusieurs causes :
- la restauration et l’encadrement d’une affiche en style art nouveau évoquant le jubilé de St Hadelin en 1913
- La mise en place, au départ de la rénovation du musée, de grilles d’accrochage dans nos réserves pour nos 500 cadres de peintures et de gravures, permettant une meilleure protection des œuvres des artistes locaux le plus renommés comme les frères Cambresier ou Lagasse, des graveurs Donnay et Maréchal , d’artistes comme Paulus, Rassenfosse, Meunier ou Pasque.
Ces dons peuvent être versés au compte du musée régional d’archéologie et d’histoire de visé BE46 8333 9435 0736 Musée de Visé 4600 Visé, avec la mention « DON ». Merci d’avance de votre collaboration à la protection du patrimoine L’asbl vous remercie (Communiqué)
Vous avez fait vos courses chez Colruyt? Attention, le produit de la marque Everyday est retiré des rayons!
L’AFSCA, Colruyt et OKay ont donc décidé de retirer un produit Everyday de la vente.
Lors d’un contrôle interne, il a été constaté que les valeurs résiduelles autorisées pour le pesticide formétanate avaient été dépassées dans le produit Everyday citrons 1 kg.
En concertation avec l’AFSCA, Colruyt et OKay ont donc décidé de retirer le produit concerné de la vente.
Les clients qui ont acheté ce produit sont invités à ne pas le consommer et à le ramener en magasin, où il leur sera remboursé. Entre-temps, tous les magasins ont retiré les produits concernés des rayons.
Description du produit
Everyday citrons 1 kg
Dates de durabilité minimale (DDM) : 19/11/2021, 22/11/2021, 23/11/2021 et 24/11/2021
Période de vente : du 05/11/2021 au 19/11/2021 inclus
Numéro d’article : 28486
Ce produit a été proposé à la vente en Belgique dans les magasins Colruyt, OKay et OKay Compact.