Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Visé-infos - Page 689

  • Lancement d’un projet pilote de tri sélectif des déchets sur les aires de repos du district autoroutier de Liège

     

    La SOFICO et la cellule Be WaPP   – Pour une Wallonie Plus Propre, lancent sur plusieurs aires autoroutières un projet pilote de tri sélectif des déchets. Il consiste à équiper 9 aires de repos non concédées du district autoroutier de Liège d’un dispositif permettant aux usagers de séparer les PMC (bouteilles et flacons en Plastique, emballages Métalliques et Cartons à boissons) des autres déchets qu’ils déposent dans les poubelles des aires. Ce test, réalisé sur l’espace public (aires non concédées), représente une première en Belgique. Il sera évalué pendant environ une année pour estimer, en fonction de la pertinence du tri et de son impact financier, s’il est opportun de l’étendre à toutes les aires de repos.

    Cette action s’inscrit dans le cadre du Plan pour une Wallonie Plus Propre adopté en 2015 à l’initiative du Ministre wallon de l’Environnement, Carlo DI ANTONIO.

     La SOFICO entend par ce projet inciter les usagers à poursuivre les gestes responsables de tri déjà en vigueur dans les foyers belges et ainsi favoriser le recyclage des déchets collectés dans les poubelles des aires. Pour rappel, ces poubelles sont destinées à accueillir uniquementles déchets générés par les usagers lors de leur trajet sur le réseau routier.

     

    Pour la réalisation de ce projet, la SOFICO a collaboré avec :

    ·         son partenaire technique, la Direction générale opérationnelle Routes et Bâtiments du SPW, et plus particulièrement la Commission Wallonne des Equipements Autoroutiers et la Direction des Routes de Liège (District autoroutier de Liège) ;

    ·         Fost Plus;

    ·         la cellule « Be WaPP – Pour une Wallonie Plus Propre » ;

    ·         Intradel ;

    ·         la SPRL Oupeye Voirie Service (adjudicataire du marché pour réaliser la vidange des poubelles). 

     

    Le Ministre wallon de l’Environnement Carlo DI ANTONIO entend soutenir toutes les initiatives permettant d’améliorer la propreté publique en Wallonie. L’état de la propreté publique en Wallonie nécessite de multiplier les initiatives de sensibilisation et actions de terrain pour changer durablement les mentalités. En 2015, 2.000 tonnes de déchets ont été ramassés sur les aires autoroutières wallonnes.  Jeter son mégot, un chewing-gum, un petit emballage ou encore une canette par terre est trop souvent un geste banalisé !  Il est de la responsabilité de tous de veiller à garder l’espace public propre.

     

    Maxime PREVOT, Ministre wallon des Travaux publics, se réjouit de cette initiative de la SOFICO. Pour le Ministre, les 25 millions € que la Wallonie consacre chaque année à l’enlèvement des détritus le long du réseau autoroutier et routier wallon est une dépense tout à fait évitable. Toute action de sensibilisation en la matière doit dès lors être encouragée.

     

    9 AIRES EQUIPEES DE CONTENEURS BLEUS

     

    Ce projet est déployé depuis le début du mois d’octobre sur 9 aires non concédées du district autoroutier de Liège:

     

    -      Les aires de Couthuin (E42/A15)

    -      Les aires de Horion-Hozémont (E42/A15)

    -      Les aires de Crisnée (E40/A3)

    -      L’aire de Oreye (E40/A3 sens vers Bruxelles)

    -      Les aires de Slins (E40/A3)

    Auparavant, ces aires de repos étaient équipées uniquement de conteneurs noirs d’un volume de 240 litres « tout venant ». Ceux-ci seront désormais accompagnés d’un second conteneur d’un volume de 240 litres, bleu, destiné au PMC. Ils seront pourvus d’un couvercle fermé, muni d’une petite ouverture avec opercule, permettant de recevoir uniquement des PMC.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    UN DISPOSITIF DIDACTIQUE POUR SENSIBILISER LES USAGERS

     

    Pour inciter les usagers à poser les bons gestes, des panneaux d’information ont été installés sur les aires concernées.

     

    Ø  A l’entrée de chaque aire, un premier panneau d’information de 2mx3m annonce l’action et fait le lien entre le maintien de la propreté sur l’aire et le tri.

    Ø  A l’intérieur des aires,  2 autres panneaux sensibilisent de manière plus détaillée les usagers au tri des PMC.

        

             

               

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Ø  Au-dessus de chaque poubelle, des autocollants rappellent les déchets autorisés.

     

     

     

     

    Par ailleurs, des tests seront également menés sur ces aires pour optimaliser les équipements de collecte des déchets sur les aires de repos (modulation du nombre de poubelles, placement de conteneurs noirs avec couvercle muni d’opercule ou avec angle d’ouverture réduit, placement de radars de comptage pour effectuer des corrélations entre la quantité de déchets et le trafic).

     

    UN PROJET A EVALUER

    Ce projet pilote sera mené jusqu’au 1er septembre 2017, soit sur environ une année, une période représentative englobant les vacances. Des analyses de la quantité de déchets récoltés (rendues possibles grâce aux puces équipant les conteneurs) ainsi que de la qualité du tri seront régulièrement réalisées pour évaluer la pertinence du projet et l’améliorer le cas échéant. En fonction des résultats et de l’impact financier estimé, il sera décidé si ce dispositif sera maintenu et étendu à l’ensemble des aires de repos de Wallonie.

     

    Ce projet représente un budget d’environ 175.000 € financé par la Wallonie et la SOFICO, avec le soutien de Be WaPP – Pour une Wallonie Plus Propre. 

     

    LES AIRES DE REPOS EN WALLONIE

    La Wallonie compte plus de 100 aires autoroutières, dont près de 70 sont non concédées et 40 concédées à des pétroliers ou à des PME qui y assurent l’entretien et une offre de services (sanitaire 24/sur 24, station essence, shop et restauration avec large horaire d’ouverture).

     

    SOIT une soixantaine de sites, donc près de 20 concédés et près de 40 non concédés  => un site comprend soit une aire (d’un seul côté de l’autoroute), soit deux aires (une de chaque côté de l’autoroute).

     

     

     

    La carte des aires autoroutières de Wallonie est téléchargeable via ce lien :

    https://dl.dropboxusercontent.com/u/9235515/Carte%20aires.ra

  • LA GLORIEUSE HISTOIRE DES REMORQUEURS « ATLAS » ET « ANNA » DANS UN ARTICLE DE LA LIBRE BELGIQUE DE 1937, SIGNÉ D’ADOLPHE HARDY, RETROUVÉ DANS LES ARCHIVES DU MUSÉE RÉGIONAL DE VISÉ

    Atlas_v_003.jpg

    Après la fuite de l’ « Anna » Jules Hentjens, que les lauriers de son vaillant ami Zilliox empêchaient de dormir, avait formé et ne cessait de poursuivre un projet qu’il comptait réaliser lui-même, et qui était d’une envergure bien autrement large encore. Il s’agissait d’assurer un nouveau départ, sur un remorqueur plus puissant, d’un nombre beaucoup plus considérable de recrues pour le front. 

    On sait que, depuis le début de la guerre, quantités de jeunes Belges brûlaient du désir d’aller s’enrôler dans nos armées. Le pays de Liège pouvait à cet égard, fournir un sérieux appoint au service militaire de la patrie.

    Malheureusement il devenait de plus en plus difficile à nos compatriotes de gagner la Hollande. Défendue par un redoutable barrage de fils de fer foudroyants, surveillée par maints postes d’observation et des groupes itinérants de policiers spécialisés, la frontière devenait, pour ainsi dire, infranchissable. Les tentatives les plus courageuses échouaient devant le formidable cordon d’arrêt, méticuleusement organisé par les usurpateurs. Jules Hentjens s’était ému de cette situation et la réussite du plan qu’il avait conçu et exécuté avec Zilliox le hantait, l’obsédait, le poussait invinciblement vers une mirobolante récidive.

    Or, il importait de tarder le moins possible à la réaliser, l’idée pouvant naître, d’un jour à l’autre en l’esprit soupçonneux des chefs allemands, qu’il avait été le « complice » de Zilliox. Seulement, il fallait attendre la crue de la Meuse, qui devait se produire à la fin de décembre, et tout minutieusement prévoir, notamment pour pouvoir surmonter, à ce moment, les difficultés du passage sous le pont de service construit par l’ennemi, en aval de Visé.

    D’une force de trente-cinq chevaux-vapeur, long de vingt-trois mètres et demi, large de cinq mètres cinquante, avec une hauteur de soute de trois mètres et demi. L’ « Atlas V », que Jules Hentjens avait remis à neuf, aux frais des Allemands, devait compter avec l’arche de ce pont dont les piles ne donnaient que sept mètres d’écartement. La moindre déviation du bâtiment lancé à toute vitesse pouvait donc être fatale. Rien, d’ailleurs, ne pouvait être abandonné au hasard dans cette entreprise périlleuse, où tant d’intérêts nationaux et de précieuses existences étaient en jeu. 

    Le capitaine avait même prévu l’éventualité d’une mitraillade en règle par les postes de garde: aussi, avait-il, en grand secret, protégé, au moyen de fortes plaques d’acier, les parties vulnérables de son remorqueur, et accumulé des caisses de charbon, intérieurement blindées, autour du gouvernail, pour protéger le pilote:les Boches avaient payé tout ce travail huit mille cinq cents marks !

    Le départ avait été décidé, d’abord, pour la nuit du 24 décembre, date favorable parce que, marquant celle de la veille de Noël, elle coïncidait avec des réjouissances de nature à provoquer quelque relâchement dans la vigilance ennemie ; mais les eaux du fleuve avaient, depuis deux jours, montés trop fort, et Hentjens, ayant consulté Charles Balbour, cantonnier des Ponts et Chaussées, (NDLR originaire de Dinant et le véritable héros de ce coup de force car il tint la barre de ce remorqueur) qui s’y entendait comme pas un dans les fluctuations du cours de la Basse Meuse, décida de ne tenter l’aventure qu’un peu plus tard. Les autorités occupantes n’étaient, cependant, pas moins impatientes que Jules Hentjens, lui-même, de voir l’ « Atlas V » reprendre son service. Invoquant leurs besoins pressants, elles ne cessaient de harceler le capitaine, de lui adresser de sévères remontrances. L’après-midi du 3 janvier, dans les bureaux du Hafenamt, elles allèrent jusqu’à mettre en doute sa bonne volonté, l’accuser d’une sorte de résistance passive, et le menacer de sanctions rigoureuses. « Je ne les mérite point ! » protesta Jules Hentjens, avec calme et dignité.

    Puis tout de suite, avec une assurance souriante dont la fine ironie ne pouvait être saisie par l’épaisse mentalité de ses adversaires, il ajouta :  « Et, du reste, je ne les crains pas, car, justement, je suis prêt. Le remorqueur se trouvera ce soir, en parfait état, et je fous donne ma parole de Belge que, demain matin, à huit heures, j’aurai levé l’ancre ». L’on pourra consacrer volume sur volume à l’esprit wallon, multiplier à son propos les traits et les anecdotes, l’on notera rarement une saillie qui le caractérise plus parfaitement que celle-ci. Les lourds fonctionnaires allemands changèrent de ton et se déclarèrent satisfaits.

    Muni de toutes les autorisations et instructions nécessaires, Jules Hentjens, non moins satisfait, regagna l’ « Atlas V ».Il y fit, de l’œil du maître, une dernière inspection détaillée, donna l’ordre de mettre les machines sous pression, et alla s’amarrer dans la Meuse même, un peu en amont du Tir communal.

    Entre temps, les cent et sept passagers qui, depuis quelques jours, avaient été avertis directement ou les uns par les autres, et renseignés sur l’endroit exact où ils devaient s’embarquer, s’étaient rendus avec prudence sur divers points environnants. Grâce à une organisation extrêmement ingénieuse, ils arrivèrent par tout petits groupes successifs, débouchant d’endroits variés ; tout ceci en un espace de cinq heures, de façon à ne point donner l’éveil à l’attention des sentinelles postées, d’ailleurs, à quelque distance, près de l’écluse du canal. Tous, sans exception, purent pénétrer dans le remorqueur et s’y installer, sans avoir été aperçus.

    Adolphe Hardy de la Libre Belgique

    Lien permanent Catégories : Histoire
  • Ce matin dans votre quotidien

    0001yQ.jpeg

    - Affaire Wesphael : révélations. Les 12 jurés étaient d'accord pour l'acquittement

    - Colruyt reste en tête des supermarchés les moins chers

    - La Wallonie va engager des faux candidats locataires

    - Gaspillage à la Province : 50.000 € pour des classeurs vides!

    - David Hamilton : "Dutroux a tout foutu en l'air"

    - Raman : retour à Gand pour faire plier les Buffalos

    - "Mon fils a 16 côtes cassées et reste dans un état critique"

    - Trooz : meurtre d'André Harray (98), le dossier de 1992 à été retrouvé

    - Le Top chef des salades

    - Heure le Romain : la population va augmenter de 10 %

    - Visé : la taxe poubelle va subir une hausse de plus de 10 %

    - Terrorisme : la Belgique a sous-estimé les circuits de financement

    - Le gagnant belge des 50 millions introuvable

    - Paul Magnette : du chef scout à la figure européenne

    - Santé : les 15 principales causes d'hospitalisation

    - Un nouveau tremblement de terre sème la terreur en Italie

    - Les médaillés de Rio reçus par la famille royale

    - Etc, etc...

     

     

     

    Lien permanent Catégories : Divers
  • Visé : Prestation de serment des nouveaux "Jeunes conseillers"

     

    DSC_4055.jpg

    Séance inhabituelle, hier, au Conseil Communal Visétois.

    En effet, c'est en présence du Bourgmestre, des Echevins et de certains Conseillers communaux que les jeunes élus au Conseil Communal des jeunes ont prêté serment.

    Elus pour une mandature de 2 ans, ils sont issus des 5 et 6 èmes années primaires des écoles de l'entité. Les jeunes qui ont quitté le primaire fin juin devaient donc être remplacés. C'est ainsi que dix nouveaux Conseillers ont été installés.

    Patrick Willems, Echevin de la Famille, Marcel Neven, Bourgmestre et Michaël Labiouse responsable de l'encadrement des jeunes ont tout d'abord rappelé en quoi allait consister le travail qu'ils s'étaient engagés à accomplir. Les conseillers participant à leur deuxième année ont alors pris la parole, rappelant ce qui avait été accompli l'année dernière.

     L'assemblée a ainsi appris quels étaient les projets qui avaient été menés à bien pour rendre la vie des Visétois un peu plus agréable :

    - Organisaion d'un après-midi d'échanges inter-générationnel avec les pensionnaires de la maison de repos "Les trois Rois". Chants, jeux de société et goûter ont été partagés. 

    - Découverte de la diversité des tâches à mener à bien pour maintenir la ville propre, explications données par l'Echevin responsable, Luc Lejeune. 

     - Sensibilisés à la propreté et à la sauvegarde de l'environnement, les jeunes ont organisé une campagne "Propreté" sur la commune. En association avec "BE WAPP" ils ont participé au nettoyage des abords de la Darse de Cheratte. " Que de crasses et de déchets récoltés!" Être citoyen, c'est aussi à travers de simples gestes de tous les jour pour le respect des autres et de l'environnement que ça se vit 

    - Les jeunes élus ont également participé à quelques manifestations commémoratives, telle le 11 novembre

    - Organisation d'une journée d'initiation aux "Premiers soins" durant les vacances de Pâques. A cette occasion, plusieurs élèves de 5è et de 6è ont pu apprendre "les gestes qui sauvent"

    - Participationà une journée de rencontre avec tous les Conseils Communaux des Enfants de Wallonie. Cela se passait à Namur. Visite du Parlement wallon et activités dans des ateliers citoyens

     - Un mercredi matin, sur le marché hebdomadaire, organisation de la deuxième "Journée du Bonjour"  Accompagnés de quelques membres du Conseil Consultatif des Aînés, distribution au passants d'autocollants réalisé par les enfants, des bonbons et des flyers. "Un « bonjour », c'est le début d'une journée réussie, ça réchauffe le cœur, ça ne coûte rien et ça nous rapproche, c'est un rayon de soleil, c'est un clin d’œil à la vie."

    Et de conclure :  "Nous nous réjouissons de recommencer cette année, car, avec les nouveaux conseillers, nous allons partager encore plus d'idées et réaliser encore plein de beaux projets."

    Plusieurs orateurs se sont plus à signaler que les enfants étaient particulièrement préoccupés par la propreté en ville, alors que précédemment, c'était plus le thème de la sécurité auprès des écoles qui avait été abordés.

    Voici les portraits des nouveaux élus :

    DSC_4021.jpg

    DSC_4022.jpg

    DSC_4023.jpg

    DSC_4024.jpg

    DSC_4025.jpg

    DSC_4026.jpg

    DSC_4027.jpg

    DSC_4028.jpg

    DSC_4029.jpg

    DSC_4030.jpg

    Félicitations à tous ces jeunes qui s'engagent à agir pur leur commune, et... bon travail!

     

     

     

  • Le billet du C.A.L. Basse-Meuse

    attachment.jpgConférence-débat : Liberté d’expression et blasphèmes

     

    La Maison de la Laïcité de Visé et Culture et Action Laïque de la Basse-Meuse en collaboration avec la Commune de Dalhem dans le cadre de leur cycle de conférences ont le plaisir de vous inviter à venir écouter la conférence de Monsieur Denis Rousseau intitulée « Liberté d’expression et blasphèmes » et à en débattre avec lui le jeudi 17 novembre 2016 à 20h à la salle des mariages de l’ancienne Maison Communale de Dalhem à Dalhem.

    Monsieur Rousseau a été journaliste d’investigation (Au nom de la loi, Autant savoir, neuf millions neuf…), Editeur puis Rédacteur en chef de l’International au JT et Rédacteur en chef de l’ensemble des magazines à la RTBF.

    Monsieur Rousseau se présente lui-même comme journaliste d’enquêtes ayant travaillé dans l’audiovisuel pendant 38 ans, franc-maçon depuis 25 ans. Par son parcours professionnel, il a acquis une parfaite expertise dans les domaines qui font l’objet de cette conférence.

    Le premier engrais de son ADN maçonnique c’est bien sûr la tolérance religieuse.

    Le second c’est celui du renvoi du religieux dans la sphère privée, choix que les monothéistes ont abordé avec difficulté : p.ex.: les Juifs, dès l’an 800 avant JC sous le règne de Josaphat en Judée, ont accepté une formule talmudique plusieurs fois renouvelée : « la loi du pays est la loi ».

    Le troisième engrais de son ADN maçonnique, c’est le droit à la liberté d’expression et en particulier au blasphème…

    Pour lui la liberté permet l’expression sans aucune entrave de censure ou d’autocensure. Seule la loi du pays légitimée par le vote démocratique permet de punir la diffamation et l’appel à la haine. Dès que l’on cède à l’autocensure, comme malheureusement cela s’est passé après les meurtres parisiens, on donne à ceux qui ont déclaré la guerre à nos valeurs une petite victoire, celle de la lâcheté sur le devoir.

    Son ADN maçonnique le pousse à refuser la peur et à agir pour refuser la  pusillanimité, les sentiments de culpabilité hors contexte historique, les accommodements souvent clientélistes de certains partis démocratiques qui ont permis le halal à la cantine scolaire, le voile intégral dans l’espace public et les discriminations de genre.

    Sa conclusion c’est que nous ne devons pas être inactifs face à la mise en cause de nos valeurs. Le combat est dans la vie profane ; utilisons la force de nos convictions pour aider la communauté citoyenne à apporter sa pierre à la construction du temple de l’humanité contre ceux qui veulent le détruire.

    Nous espérons vous voir à cette conférence et nous vous rappelons  celle du 8 novembre « Du paradis fiscal à l’enfer du pénal » présentée par Monsieur Michel Claise, à laquelle nous vous invitons à la Salle des Echecs du Centre Culturel de Visé.

    Pour plus d’info, veuillez contacter Mme Rachel Etienne au 04/265 96 48 ou laicite.vise@gmail.com

    Nous serons heureux de vous accueillir à ces 2 conférences.

     

    Claire Dethioux pour Culture et Action Laïque de la Basse-Meuse