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Religion

  • Groupe Découvertes - Oyez - Oyez chers participants N’oubliez pas SVP notre première activité de janvier 2022 avec la date LIMTE DU LUNDI 20 décembre 2021 AU PLUS TARD !

    Oyez - Oyez chers participants

    N’oubliez pas SVP notre première activité de janvier 2022 avec la date LIMTE DU LUNDI 20 décembre 2021 AU PLUS TARD !

    VISITE DU SANCTUAIRE DE BANNEUX + BALADE PEDESTRE 

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    P.A.F. : prix pour LA JOURNEE 25 € / personne  (boissons NON comprises) ou 6 € / personne pour la balade pédestre  UNIQUEMENT de l’après-midi et SANS VISITE.

    Ces sommes sont à verser sur le compte du Groupe Découvertes IBAN BE60 0000 2411 1570 - BIC BPOTBEB1) pour le LUNDI 20 décembre 2021 AU PLUS TARD !

    Ces sommes ne seront pas remboursées, même en cas d'absence - le paiement vaut réservation. 

    En cas d’absence, il sera toujours POSSIBLE de vous faire remplacer à condition d’en avertir préalablement Philippe Slootmans, le responsable.

     

    Le programme complet est :

    Dimanche 9 janvier (réf.: 2022.01) 

     

    Activité : visite du sanctuaire de Banneux + balade pédestre : Banneux - Rouge Thier et environs 

     

    Matin : visite du sanctuaire de Banneux ; visite guidée avec explications du Message de Banneux, découverte des lieux, de la chapelle des apparitions à la Source, puis du reste du Sanctuaire et de son caractère international.   

    ATTENTION ! Tout se fait à l'extérieur (le temps est parfois capricieux). 

    Guides de la visite : Monsieur Fabian Delarbre, Cérémoniaire (responsable communication et liturgie au sanctuaire) et/ou Monsieur l'Abbé Léo Palm, recteur du sanctuaire. 

     

    Midi (entre 12 h 00 et 13 h 00) : repas collectif ((*) plat du jour à réserver bien à l’avance (*)).                                                       

    Il se prendra à Chaityfontaine, 8 à B-4860 Pepinster (Banneux). 

     

    Après-midi : balade pédestre : (Banneux - Rouge Thier et environs). 

     

    Nous quitterons le centre de Banneux bien paisiblement sur des routes peu fréquentées.  

    Sur le plateau, nous découvrirons un très beau paysage sur notre droite.                                                                                         

    Un peu plus loin à gauche, nous passerons près d'un observatoire "de campagne" du fort de Tancrémont. 

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    Il était relié par téléphone au fort et la chambre de communication est toujours visible dans le petit bois.  

    Lente descente agréable sur un large sentier. Un court zeste de petite route et nous replongerons dans la nature. 

    Nous serons alors près du chantoire du " Rouge Thier" et de son ancien moulin qui est sur un domaine privé (peut-être demander l'autorisation de visite au camping du même nom). Un sentier nous accueille, il est de plus en plus sauvage et monte de plus en plus fort..... Ouf, on est sur le plateau.....  

    Le long du chemin nous passerons à côté de deux " Bornes Stavelot" qui délimitaient la principauté de Stavelot jusqu'en 1768. 

    Traversée d'une grand’route et plongée dans un beau bois qui nous ramènera paisiblement au point de départ. En option, visite du très beau chantoire du Grand Champ (supplément de 500 mètres). 

     

    Durée de la balade pédestre : +/ - 10 kilomètres      Degré de difficulté : moyen 

    REGROUPEMENTS : pour la visite du matin : 9 h 00 et pour la balade pédestre de l’après-midi : 13 h 00                                     

    Adresse : Chaityfontaine, 8 à B-4860 Pepinster (Banneux). 

    Recommandations : munissez-vous de chaussures de marche ou de bottes, un bâton de marche peut être utile.

    En cas de non-respect des consignes de sécurité (par exemple : chaussures de marche inadéquates), le Groupe Découvertes décline toute responsabilité.

    (*) - Le plat du jour comprendra : potage, viande, croquettes/frites/pommes de terre, légumes/salade/compote, dessert et café

    P.A.F. : prix pour LA JOURNEE 25 € / personne  (boissons NON comprises) ou 6 € / personne pour la balade pédestre  UNIQUEMENT de l’après-midi et SANS VISITE. 

    Ces sommes sont à verser sur le compte du Groupe Découvertes IBAN BE60 0000 2411 1570 - BIC BPOTBEB1) pour le LUNDI 20 décembre 2021 AU PLUS TARD !  

     

    Ces sommes ne seront pas remboursées, même en cas d'absence - le paiement vaut réservation.  

    En cas d’absence, il sera toujours POSSIBLE de vous faire remplacer à condition d’en avertir préalablement Philippe Slootmans, le responsable. 

     

    Itinéraire voiture: au départ de la gare des Guillemins (Liège), prenez l’autoroute en direction de la E25 / A602 en direction de : Luxembourg - Spa – Bastogne. Ensuite, sortez à la sortie 43 et prenez la N 30 en direction de Spa et Banneux. 

     

    Guide : Jean Poumay pour la balade pédestre 

     

    Groupe Découvertes: Philippe Slootmans - 04 / 252.92.41 

    (si possible les vendredi et samedi de 19 h à 20 h 30 et le dimanche de 10 h à 12 h ).  Merci d’avance. 

     

    Site: http://www.groupe-decouvertes.be      E-mail: Groupe-Decouvertes@hotmail.com  

  • Comment tout un écosystème s’est créé autour des 13 mosquées liégeoises

    Une étude inédite menée au Lema, le centre de recherche en urbanisme à l’ULiège, vient de sortir. Elle porte sur l’attractivité commerciale suscitée par la présence d’une mosquée dans un quartier et tous les changements que cela induit.

    Trois urbanistes chercheurs, Mohamed El Boujjoufi et Jacques Teller de l’ULiège et Ahmed Mustafa de la New School de New York, ont voulu comprendre comment se créent ces écosystèmes qui sont visibles autour des mosquées et ils ont pris comme cas d’étude la Ville de Liège qu’ils connaissent bien.

     

    La mosquée Salam a attiré des commerces maghrébens rue Chaussée des Prés.
    La mosquée Salam a attiré des commerces maghrébens rue Chaussée des Prés. - P.N.

     

    « Liège est un bel exemple, explique le chercheur en sociologie urbaine Mohamed El Boujjoufi. Au début des années 70, les immigrés musulmans se sont d’abord installés à proximité de leur lieu de travail (charbonnages, sidérurgie) et les premières mosquées sont apparues au sein même de leurs quartiers. Or aujourd’hui, on s’aperçoit que ce n’est plus le cas. Les Musulmans habitent désormais un peu partout en ville et en périphérie, mais ils continuent à fréquenter la mosquée et à privilégier les commerces qui se sont installés tout autour. »

    1185 commerces

     

    Mohamed El Boujjoufi est architecte-urbaniste et l’auteur de l’étude.
    Mohamed El Boujjoufi est architecte-urbaniste et l’auteur de l’étude. - S.P.

     

    Pour prouver scientifiquement la conclusion à laquelle il est arrivé, Mohamed El Boujjoufi a pris pour échantillon les 13 mosquées reconnues sur le territoire liégeois (10 maghrébines, 2 turques et 1 subsaharienne) et il a recensé tous les commerces islamiques situés dans un rayon d’un kilomètre autour d’elles.

    « Le recensement a été réalisé de janvier à mars 2019 et il a permis de comptabiliser 1185 commerces dont les exploitants et/ou les clients et les produits proposés sont musulmans ou d’origine musulmane. »

     

    Les commerces ethniques se succèdent rue du Moulin à Bressoux.
    Les commerces ethniques se succèdent rue du Moulin à Bressoux. - P.N.

     

    Et il les détaille : 396 font partie du secteur Horeca, 370 proposent des produits légers (vêtements, décoration, hygiène…), 261 de la nourriture, 121 des produits plus lourds (meubles, bricolage…) et 38 émanent du secteur des services. « Dans la rue du Moulin à Bressoux ou rue Puits-en-Sock en Outremeuse par exemple, on voit bien la concentration de ces commerces ethniques, ajoute-t-il, malgré que les mosquées y soient plutôt discrètes. »

    Il a ensuite comparé cet échantillon avec les quartiers des Guillemins et de Sainte-Walburge où l’on trouve des commerces islamiques mais pas de mosquées. « Et on constate bien que la concentration y est moins forte. »

    Et le nombre d’habitants

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    Les 13 mosquées sont situées dans le centre de Liège mais les habitations des Musulmans sont disséminées un peu partout. - S.P.

    Enfin, il a aussi croisé ces données avec les endroits où habitent les Musulmans de Liège. « Vu que seules les nationalités sont répertoriées officiellement dans les registres (pas les origines, ni la religion), j’ai dû me contenter de ce seul critère. Mais ces pays présentent un très haut taux de Musulmans (plus de 96 %). Et il faudra aussi tenir compte des Musulmans qui se sont naturalisés et qui ne sont pas répertoriés ici. »

    Ce sont les Marocains qui arrivaient en tête à Liège en 2013 (3757), suivis des Turcs (1239), des Algériens (685), des Tunisiens (471) et des Irakiens (382). « On s’aperçoit qu’ils n’habitent plus comme avant dans les quartiers où se trouvent les mosquées, reprend le chercheur. Par contre, ils continuent à s’y rendre pour aller prier et ils en profitent pour organiser leur journée afin d’y acheter de la nourriture, d’aller chez le coiffeur, de manger ou prendre un thé avec des amis dans ces sortes de galerie commerçante à ciel ouvert. »

    Un phare

     

    On vient de loin pour acheter rue du Moulin.
    On vient de loin pour acheter rue du Moulin. - P.N.

    Pour lui, il est clair que « la mosquée devient un phare, un élément structurant dans l’espace urbain ». Elle exerce en effet une puissante influence sur l’emplacement des magasins islamiques, davantage que sur les lieux d’habitation de la population musulmane.

    Et avec toutes les conséquences qui en découlent, au niveau de la valeur de l’immobilier, de la mobilité et de l’intégration pour ne citer que ceux-là. (Texte Luc Gochel - Photos Pierre Neufcour)

  • Dalhem : des cadavres de moutons le long de la Berwinne

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                                                                      Photo : Serge Belleflamme
     
    Alors qu’il comptait profiter du charme des endroits bucoliques situés entre Aubin-Neufchâteau et Val-Dieu pour réaliser quelques clichés dont il a le secret, Serge Belleflamme a découvert l’horreur. Le docteur en médecine vétérinaire dalhemois, habitué à la prise de photos liées à la beauté de la nature et du monde animalier, est tombé sur des restants de cadavres de cinq moutons le long de la Berwinne.  
    Lorsqu’il a le temps, Serge Belleflamme parcourt les plus beaux coins de la commune de Dalhem. Armé de son appareil photo, il a l’habitude de déceler la présence d’animaux rares ou de constater des faits naturels pour le moins étonnants. Amoureux de la photographie, il n’hésite d’ailleurs pas à capturer ces instants de pur bonheur. Avant de publier les clichés sur son compte Facebook.
     
    Mais ce samedi, alors qu’il effectuait sa tournée matinale, le docteur en médecine vétérinaire a rapidement déchanté. « Je voulais profiter du charme de la vallée de la Berwinne », énonce-t-il. « Je suis ainsi passé par le bois de Mauhin avant de redescendre vers la rivière. Soudain, j’ai vu des sachets au loin. Je me suis approché et j’ai senti une odeur nauséabonde. J’ai rapidement compris que quelque chose ne tournait pas rond. Et lorsque j’ai vu ce qui se trouvait dans les sachets, j’ai été choqué. Il y avait des restants de cinq moutons au sol. Surtout des peaux et des organes digestifs putréfiés dans des sacs. L’odeur pestilentielle me fait dire que ce dépôt ne date pas de samedi. C’est répugnant. Je n’avais jamais vu ça dans notre belle commune»
     
     
    DES MOUTONS SANS TÊTE
     
    Outré, Serge Belleflamme a trouvé des indices permettant de déceler l’une des causes probables de ce dépôt clandestin. « Des carcasses de moutons sans tête à une telle période de l’année, on se doute de quel genre de personnes ça peut venir… Il ne s’agit pas d’un dépôt d’une entreprise, mais bien de la part de particuliers. Ces derniers tuent les moutons, ne savent ensuite que faire des restes de bêtes et les jettent n’importe où. Ils ne respectent pas la loi belge. Et encore moins celle au sujet du bien-être des animaux, la loi sur l’abattage de ceux-ci et la loi sur la protection de l’environnement et des cours d’eau. Le hic, c’est que si on laisse ces carcasses le long de la Berwinne, cela pourrait devenir infectieux pour d’autres animaux. Il est donc primordial d’enlever rapidement ces sacs ! À ce sujet, j’ai essayé de contacter la commune. Les ouvriers communaux devraient, je l’espère, vite réagir . »
     
    À noter que Serge Belleflamme a posté une photo de ce dépôt clandestin sur son compte Facebook. Les réactions ont rapidement fusé. À l’instar du docteur en médecine vétérinaire, tout le monde est outré.
    Écœurant. Scandaleux. Dégueulasse. Voici les adjectifs le plus souvent utilisés pour qualifier ce triste spectacle. (Yannick Goebbels)
  • Rallye "Eglises ouvertes" ces 4 et 5 juin 2016

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    En Basse-Meuse, huit édifices religieux sont mis à l'honneur pour la sixième année consécutive. Laissez-vous surprendre et découvrez d'une manière différente ce patrimoine remarquable.

    Le thème retenu pour l'édition de cette année est "Sons et Silences". Les églises participantes rompront, dès lors, le silence de leurs trésors cachés, afin, une fois de plus, de vous émerveiller! Durant le week-end, vous aurez l'occasion de visiter librement les églises d'Eben-Emaël, Glons, Hermalle-sous-Argenteau, Lantin, Mortroux, Oupeye, Richelle et la collégiale de Visé.

    En bonus, vous aurez le privilège d'assister à des expositions, des spectacles, mais surtout des concerts d'orgue et de chorales.

    Le dimanche, les amateurs pourront, comme l'année dernière, participer à un circuit de visites commentée par un guide conférencier. Le départ se fera à 14h de la collégiale de Visé. Inscriptions souhaitées à la Maison du Tourisme.

    Pour toute information complémentaire et surtout obtenir le programme complet de ces journées Eglises ouvertes, contactez la Maison du Tourisme de la Basse-Meuse au 04/374.85.55, consultez le site internet www.bassemeuse.be ou sur la page Facebook de la Maison du Tourisme de la Basse-Meuse. 

  • Attentats de Bruxelles: le Conseil des Théologiens refuse de réciter une prière dédiée aux victimes "pas toutes musulmanes"


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    Dès ce jeudi, l’Exécutif des musulmans de Belgique avait annoncé dans nos colonnes vouloir planifier une action pour ce vendredi au sein des mosquées du pays suite aux attentats de Bruxelles. Mais également, d’unifier un discours pour la prière du vendredi 25 mars. Finalement, son Conseil des Théologiens a préféré appeler tous les imams de Belgique à consacrer le sermon du vendredi au refus de toute forme de radicalisme, de fanatisme et de terrorisme, sans faire de déclaration commune à toutes les mosquées.

    Une position qui manque de fermeté dénoncée par certains membres de la communauté musulmane. Mais plus encore. Lors d’un conseil, comme nous l’affirment plusieurs sources, les représentants religieux ont refusé de demander aux imams de réciter la sourate « Al-Fatiha » (l’ouverture) en hommage aux victimes des attentats. Et ce, parce que les victimes ne sont pas toutes musulmanes. « Ils ont prétexté que cela n’était pas prévu dans les codes rituels. C’est-à-dire qu’il n’est pas prévu dans la pratique de dédier une prière à des non-musulmans. »

    Une information qui nous a été confirmée par l’islamologue Michaël Privot. « Il a été refusé de réciter cette prière en hommage à des « mécréants » pour reprendre les propos. Une minute de silence a également été proposée lors de la réunion, qui a été une nouvelle fois refusée », ajoute-t-il.

    Cette position n’a pas été exprimée d’une seule voix. La proposition a été mise sur la table et a été discutée, mais le refus l’a emporté. « Que peut-on attendre d’un corps de garde qui se base sur une matière prémâchée ? Plus que jamais, il faut un sursaut de la part de la communauté musulmane. Car c’est en leur nom qu’on commet des actes barbares. Que ce soit réciter Al-Fatiha ou observer une minute de silence, il faut une initiative unanime. Les représentants religieux expriment finalement une rupture avec l’altérité », dénonce l’une de nos sources. (Rédaction en ligne)