Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Visé-infos - Page 1132

  • Dans La Meuse ce matin

    0001jf.jpeg- Laurent, sa première interview : "A 50 ans je n'ai plus besoin de mes parents"

    - Politique : les petits partis montent en Wallonie

    - Top Chef : Pierre Augé nous reçoit chez lui à Béziers

    - Cinéma : Alao Kasongo, l'épouse de Jean-Denis Lejeune, joue avec les Dardenne

    - Tribunal : Gilbert fantasmait sur les orteils des enfants

    - Taxidermie : la chine mise sur Liège

    DANGER : risque potentiel d'incendie de certains lave-vaisselles Bosch, Siemens et Neff

    - Liège : dès le 2 aoùt, la plus grande exposition du monde sur la guerre 1914 - 1918

    - Non-lieu : Fernand Koekelberg totalement blanchi et réintégré

    - La loi sur le nom de l'enfant est passée

    - Ségolène Royal interdit les décolletés (Ndlr : par jalousie?)

    - Le loup est à la frontière belge

    - Foot : De Sart, ses vérités sur l'arbitrage

    - Sylvio proto : "Ne pas craindre le Standard"

    - Adnan Januzaj au Brésil : la polémique 

  • Le mot du bourgmestre

    picture.jpeg

    La Ville de Visé est présente au Congo.

    Les restrictions budgétaires qui règnent actuellement en Europe ne doivent pas nous écarter des missions de solidarité élémentaires avec les plus pauvres de la planète. Depuis quelques années, la ville de Visé est présente dans les quartiers populaires de Kinshasa, en RDC, pour y soutenir une activité de théâtre de rue pour des enfants provenant de milieux très défavorisés. C'est l'AMO (Association en Milieu Ouvert) Reliance, une asbl installée rue de la Prihielle à Visé, qui pilote ce dossier subsidié par Wallonie Bruxelles International. WBI encourage financièrement les communes à nouer des contacts avec le tiers-monde pour y amener nos compétences en vue d'un meilleur  développement. L'AMO excelle, à Visé et Basse-Meuse, dans la gestion des problèmes des jeunes, avec des maisons de quartier, des formations scolaires, des suivis individuels, ... La Ville de Visé, avec l'appui de l'AMO, a obtenu le soutien de WBI pour aider des jeunes de Kinshasa à sortir de la rue pour monter un projet théâtral et organiser des représentations pour la population.

    Ces jeunes proviennent des couches de la société les moins favorisées d'un pays parmi les plus pauvres de la planète : un orphelinat et un atelier de couture pour jeunes filles à Masina, une école fondamentale à Barumbu et un dispensaire/maternité des guides du Congo à Kisenso. Ces établissements, situés dans différentes banlieues populaires de Kinshasa, manquent de tout. Pas de médicaments au dispensaire, pas de tissu pour les jeunes filles qui apprennent la couture, pas de matelas pour le sommeil des orphelins, des classes d'école qui ressemblent à des étables, pas le moindre subside de l'état congolais ... Mais les adultes bénévoles qui gèrent ces centres sociaux sont admirables et les enfants, malgré leur dénuement, sont souriants.

    Parmi ces enfants, ceux qui veulent s'élever par le théâtre se rejoignent périodiquement pour créer et mettre en scène des saynètes humoristiques sur la nécessité d'occuper la jeunesse pour qu'elle ne traîne pas en rue et sur les droits universels de l'enfance.

    La présence de la Ville de Visé, grâce au programme de WBI, n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan des besoins de ces populations mal loties, mais elle se veut tournée vers l'avenir : les enfants.

     

    Marcel NEVEN bourgmestre

  • La Meuse vous propose

    - Irgel, le chauffard récidiviste, condamné à 4 ans de prison

    0001tN.jpeg- Intense émotion lors de l'adieu à Esteban

    - Liège : un steward de la ville frappe un SDF handicapé à la barre de fer

    - Assises : il parle d'un accident : sept coups de couteau!

    - Alain a gravé une arme pour Spielberg

    - Des vélos électriques testés à Liège

    - Nos spécialistes goûtent le filet américain préparé

    - Blanchiment : quand les notaires et les casinos dénoncent l'argent frauduleux

    - Les cousins d'Amérique d'Elio Di Rupo

    - Foot Adnan Januzaj choisit les Diables

    - Standard : le dialogue est (re)noué

    - Cyclisme : Philippe Gilbert "C'est Liège qui compte"

    - Etc, etc...

  • Meurtre à Visé: le client mécontent portait une djellaba, et voulait ouvrir un compte sans carte d'identité

     1040523484_B972548610Z.1_20140423141058_000_GGV2B27NT.1-0.jpg

    Hier à 10h30 une minute de silence a été respectée dans toutes les agences BNP du pays

    Les deux pistes principales suivies, dans le triple meurtre de Visé, restent celle d’une personne licenciée et revancharde, et celle d’un client mécontent, avec une préférence pour cette dernière.

    Et parmi ces clients avec qui Benoît Philippens avait connu des problèmes, il y a bien sûr ce fameux étranger qui s’est présenté il y a un peu plus de six mois à l’agence d’Ans-Alleur et qui a proféré de sérieuses menaces.

    « J’ai justement vu Benoît ce jour-là, nous raconte une de ses amies. Et il m’avait de suite raconté ce qui s’était passé car il en était fort tracassé. Ce n’était pas habituel. Je ne l’avais d’ailleurs jamais vu comme cela. »

    Mais que s’est-il donc passé ? « D’après ce qu’il m’a raconté, il s’agissait d’un homme d’origine étrangère, portant une djellaba et qui est entré comme un caïd dans l’agence. Il a bousculé des clients, est passé devant eux et a voulu qu’on lui ouvre un compte.

    Lorsque l’employé a vu qu’il ne présentait qu’un passeport et qu’il ne disposait pas d’une carte d’identité, il a refusé de lui ouvrir.

    L’homme s’est alors énervé et a commencé à proférer des menaces sur le personnel. En entendant ces cris, Benoît Philippens est sorti de son bureau et l’a pris fermement à partie en lui expliquant les règles de la banque et celles de simple bonne conduite.

    « Comme l’homme ne voulait pas sortir, Benoît l’a poussé vers la sortie et l’a mis dehors, reprend son amie. Et l’homme a alors proféré de violentes menaces à son encontre. »

    S’il s’agit bien de lui, il n’est cependant pas facile à retrouver, le personnel n’ayant pas conservé son identité.

    Par contre, les policiers disposent de sa description et le fait qu’il porte la djellaba en public est un indice intéressant. Ce vêtement ne se rencontre en effet pas à tous les coins de rue. (Luc Gochel)

     

  • Triple assassinat de Visé : de quoi se poser des questions...

     DSC_0074.JPG

    Selon les spécialistes des services chargés de l'enquête, une balle aurait perforé la vitre d'un vestiaire du hall omnisports de Visé, ce qui accréditerait l'hypothèse de la présence du tireur dissimulé dans l'allée latérale; du côté gauche en faisant face à la maison. Intrigué par la forme particulière de ce point d'impact, qui ne nous semblait pas provenir d'un tir, nous nous sommes adressés à des habitués du hall. Et là, stupeur!  Plusieurs personnes affirment que le bris de la vitre n'est pas du tout dû à un tir, mais bien à un jet de pierre de la part d'un supporter d'un club de football mécontent ayant été opposé à Visé. Et la vitre serait brisée depuis plusieurs semaines. Un enquêteur s'est-il rendu dans le vestiaire à la recherche de la balle ? Sinon il aurait constaté que la perforation était obturée par un morceau de carton ! 

    Sachant que la fenêtre d'éjection d'une arme automatique ou à répétition se trouve à droite de la culasse, les douilles auraient alors dû être retrouvées à tout le moins dans la pelouse de l'habitation des victimes ou dans la propriété voisine. Des témoins arrivés sur place avant les forces de police sont formels, les douilles se trouvaient au sol, du côté du trottoir. On pourrait donc en déduire logiquement que les tirs ont eu lieu à partir d'un point situé en diagonale par rapport à ce qui a été annoncé.

    Alors que l'enquête ne fait que commencer, annoncer que l'enfant a été victime d'une balle "perdue", n'est-ce pas aller un peu vite en besogne ? De quels éléments dispose-t-on pour l'affirmer? De plus, n'est ce pas déjà donner "une porte de sortie" au tueur, l'exonérant par avance de sa responsabilité dans l'assassinat de l'enfant ? 

    Dès lors, je m'interroge, et vous ?

    Pierre Neufcour