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  • FLASH : la ville de Visé annule le marché de Noël et les évènements connexes

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    Nous venons de l'apprendre, la ville de Visé en collaboration avec les divers organisateurs, a décidé d'annuler les évènements festifs prévus à l'occasion de la Noël : 

    - Pas de fête du cloître

    - Pas de Marché de Noël

    - Pas de Corrida

    et cela dans toutes les communes de l'entité.

    Comme nous l'explique Guy Jolly, le responsable de la communication de la Ville : "Nous devons rester cohérents et préserver tant la santé des visiteurs que celle des commerçants. Il n'est pas question que les commerces Horeca visétois subissent cette pandémie en devant prendre des mesures restrictives tout en laissant faire un "un peu n'importe quoi" sur les marchés. C'est une mesure que nous avons été obligés de prendre, avec regrets, au vu des circonstances actuelles. Visé est une ville festive et veut le rester, mais pas à n'importe quel prix ! "

    (Pierre Neufcour)

  • ON NE SAURA JAMAIS ASSEZ TE REMERCIER JOHN POUR L’ETENDUE DE TON ŒUVRE

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    Le 26 novembre 2009 mourait à Visé , à l’âge de 91 ans, l’historien de Visé, John Knaepen.

    Fils du professeur de « flamand » de l’école primaire de Visé, John, fils unique et descendant d’une famille originaire de Saint-Trond, à l’âge de 22 ans se retrouva en mai 1940 avec d’autres jeunes du Centre de Recrutement de l’Armée Belge (les jeunes non encore incorporés) au sud de la France.

    Terminant par après ses études universitaires d’histoire à Liège, il échappa au STO (service du travail obligatoire) en travaillant aux Archives de l’Etat. Ne fit-il pas œuvre utile en copiant des archives, sachant bien peu que fin 1944 un robot (V1) toucha les archives de la gare de Jonfosse (les archives des villes en V) ; son mémoire fut basé sur le Moyen-Age visétois. Jeune membre de la société archéo-historique dès 1944, il fut nommé vice-président dès 1946. Il donne sa première conférence sur le marché de Visé en 1948. Commençant sa carrière professionnelle en 1946 comme surveillant, il eut une charge complète de professeur d’histoire à l’athénée royal en 1965. Son premier article sort en 1951 dans le Bulletin de l’Institut Archéologique Liégeois. Ses conférences (28) et ses articles (13) vont se succéder, principalement sur sa période préférée, le Moyen-Age, ce qui nécessitait une connaissance des écritures de l’époque. Son épouse, Julia Joskin lui donnera 2 filles, Dominique et Joelle. Pour lui, il n’était pas possible de laisser tomber ses recherches à l’aube de sa retraite en 1980. Il fit en sorte de relancer la Société Archéo-historique, en veilleuse depuis 1965. S’appuyant sur de jeunes pousses et des anciens comme Jean Renard, l’association reprit vigueur le 15 novembre 1981. L’exposition du Centenaire, terminée il y a peu à la Chapelle des Sépulcrines et la dernière revue des Nouvelles Notices au début de cette année, ainsi que le livre édité pour les 80 ans de l’historien en 1998 expliquent en long et en large ses nombreux travaux, édités principalement par la Société royale archéo-historique de Visé et de sa région. Ce cadeau fait pour ses 80 ans était donc sa quarantième œuvre, clôturant la première série de ses travaux : les 16 tomes de l’histoire des rues de Visé. Inlassable, il écrira encore dans les 11 prochaines années quatre séries d’ouvrages : l’histoire de la justice d’ancien régime, l’histoire du bon métier des Naiveurs, un des 3 bons métiers qui essaima ses activités sur la Meuse, tant en aval qu’en amont. Puis les différents métiers ayant cours à Visé et enfin mais inachevé la toponymie de Visé (les lieux dits de A à L). On ne dira jamais assez le rôle majeur de ses contributions grâce à son inlassable travail dans les archives de Liège ( de l’Etat ou de l’Evêché) et de Maestricht et d’ailleurs ainsi que sa connaissance parfaite de la paléographie (écritures anciennes) ; Ses petites fiches (que le musée a conservées) sont un trésor inépuisable. Merci, mille fois de ton travail. Il s’était refusé à évoquer l’après-guerre 40-45, jugeant qu’il n’y avait pas assez de recul. A nous de le démentir. Hommage respectueux.

    Pour la SRAHV, le secrétaire qui l’a très bien connu Jean-Pierre Lensen

    (Ndlr : Sir John, comme nous le surnommions, a été mon professeur d'Histoire - et d'histoires également n'est-ce pas M'sieur ;-) - à l'Athénée Royal de Visé de 1964 à 1967)

     

     

  • Une usine pour produire des pellets est en projet à Hermalle-sous-Argenteau

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    C’est là que pourrait s’installer cette usine de pellets. - Google

    Pellets Ardents, une société en construction, souhaite implanter une usine en bord de Canal Albert, à Hermalle-sous-Argenteau. Cette usine serait construite rue Al’Fosse, sur un terrain qui avait fait parler de lui voici quelque temps.

    Occupé par le transporteur Jost, ce dernier y avait entreposé des dizaines des remorques de camions, sans aucune autorisation. Plainte avait été déposée et l’entreprise avait été contrainte d’évacuer ces remorques.

    À l’époque, les autorités locales s’étaient émues de voir qu’un terrain industriel si bien situé ne servait qu’à stocker des remorques de camions. Il pourrait donc prochainement servir à autre chose, en l’occurrence produire des pellets industriels et de l’énergie.

     

    Serge Fillot.                                                           Serge Fillot. - L.H.

    C’est en tout cas la volonté de Pellets Ardents, qui va présenter la semaine prochaine à la population son avant-projet d’usine. Derrière cette nouvelle société et ce projet se cache IBV, Industrie du Bois Vielsalm & cie, une des plus grosses scieries du pays.

    « IBV est la propriétaire du terrain et elle nous a approchés voici quelques mois avec son projet, explique Serge Fillot, bourgmestre d’Oupeye. Je n’ai pas tous les détails. Comme la population, je dois attendre la réunion d’information de ce mercredi. J’ai cependant été rassuré sur certains points. Les bois qui arriveront là seront des bois de catégorie B. C’est-à-dire qu’ils sont non-traités et donc non-dangereux. Au niveau de l’activité, nous avons reçu des garanties que tout se passerait en intérieur, ce qui limiterait les nuisances sonores. On demande également que la voie d’eau soit privilégiée pour limiter le nombre de camions. Enfin, on a souhaité qu’on porte une attention particulière à l’intégration de l’usine dans le paysage. »

    Réunion d’information

    Son usine de cogénération en bois non-dangereux servirait à produire de l’électricité en brûlant les sous-produits du bois comme les écorces ou les découpes. Cette électricité serait utilisée en interne et le surplus renvoyé vers le réseau. Quant à la production de pellets, elle serait alimentée par les sciures et plaquettes provenant de la scierie de Vielsalm.

    Ce projet n’en est qu’à ses prémices. Ce 1er décembre à 19h, une réunion d’information doit ainsi se tenir au Château d’Oupeye. Elle aura pour objectif de présenter le projet et de lancer l’étude d’incidences. Ce n’est qu’une fois cette étude terminée que le projet définitif, et modifié suivant les éventuelles remarques, pourra faire l’objet d’une demande de permis unique.

    En raison des mesures sanitaires et des contingences dans le cadre du COVID-19, l’inscription préalable est souhaitée, par courriel à l’adresse contact@com-une.be. Notons que la commune n’aura qu’un avis à rendre sur ce dossier. C’est en effet la Région wallonne qui délivrera le permis. (Source : La Meuse)

  • Saint Nicolas était à Visé cet après-midi pour récompenser ses petits amis

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    © Adrien Angé.

    Les membres du "Saint Nicolas Fan Club" était venus en nombre pour serrer la main de leur idole. 

    Après avoir déambulé dans les rues de la cité de l'Oie, Saint Nicolas a accédé aux demandes de l'association du commerce Visétois. 

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    © P. Neufcour

    Dans l'entrée, de la salle de la Renaissance où un trône avait été installé, il a reçu et gâté les centaines d'enfants qui se pressaient, qui pour lui passer commande, qui pour émettre ses souhaits ou encore le remercier de son passage. Le trottoir des rues Haute et du Collège étaient bondés. Tout ce petit monde espérait avoir accès au trône du grand Saint pour pouvoir lui parler quelques instants. 

    Chacun a été récompensé par un sac contenant diverses friandises, fruits, bonbons, bons de réduction... valables dans les divers établissements visétois participants. Accompagné de notre "apprenti" nous ne pouvions laisser échapper l'occasion de prendre quelques clichés.

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    © P Neufcour

    Le travail avant tout.

    Une fois les prises de vues terminées et les images mises en boîtes, Adrien (7 ans) a pu lui aussi approcher le patron des enfants sages et lui faire part de ses souhaits à l'occasion de la grande fête qui s'approche à grands pas.

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    © Adrien Angé

    fullsizeoutput_170fb.jpeg© A.Angé

  • RÉOUVERTURE DE L’EURO SPACE CENTER UN AN APRÈS...

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    2021 est l’année d’un double anniversaire pour l’Euro Space Center. Le seul parc à thème dédié à l’espace d’Europe souffle cette année ses 30 bougies et fête le premier anniversaire de sa réouverture. Après un investissement de 13 millions d’Euro et un an de travaux, l’Euro Space Center a en effet fait peau neuve. Outre de nouvelles attractions permettant une plus grande immersion dans l’univers du spatial grâce à une scénographie complètement revue, le centre inclut deux restaurants, 240 lits, un planétarium, des laboratoires, etc. Les nouvelles attractions, telles que le Free Fall Slide, le Space Rotor ou encore un tout nouveau village martien raviront les petits et les grands, que ce soit pour un stage, une classe de l’espace ou une visite en famille ou entre amis. Explications.2021, l’été des succèsUn an après sa réouverture et malgré un contexte sanitaire difficile, l’Euro Space Center se porte bien ! A ce jour, en 2021, l’Euro Space Center a accueilli des élèves pour des classes de l’espace totalisant plus de 17.000 jours de stage. Juillet et août ont été bien remplis avec pas moins de 1000 stagiaires qui ont profité des congés scolaires pour renforcer leurs connaissances dans un des 13 stages, allant de l’astronomie à la construction de fusées. Les stagiaires apprécient d’ailleurs visiblement nos propositions, les réservations de stages pour l’année 2022 étant très nombreuses. 
         
    L’été a également vu défiler plus de 30.000 visiteurs qui, en famille ou entre amis, sont venus toucher du doigt les confins de l’univers… succès qui ne s’est pas démenti à l’automne avec une semaine de la Toussaint qui affichait, elle aussi, complet avec près de 3.000 visiteurs.Par ailleurs, un nouveau système d’eticketing permet aux visiteurs de réserver leurs places en fonction de la date qui les arrange. Ce système de réservation garantit à la fois la qualité du service et permet de réserver un accueil idéal à tous les visiteurs. Le parc à thème éducatif affiche complet plusieurs semaines à l’avance, et depuis sa réouverture, l’Euro Space Center aura accueilli pas moins de 65.000 visiteurs venus donner corps à leurs rêves d’aventure spatiale.Le Père Noël à l’Euro Space Center, une première !Continuant sur sa lancée festive, et après la venue de Saint-Nicolas (les weekends des 28 et 29 novembre et des 4 et 5 décembre), l’Euro Space Center se réjouit d’accueillir un autre invité de marque. En effet, pour le weekend des 18 et 19 décembre, c’est le Père Noël qui pose son traineau à Transinne et accueillera les petits et grands astronautes en herbe et qui sait, leur prodiguera quelques conseils de navigation pour leur engin volant.Cette année, l’Euro Space Center met les petits plats dans les grands … cette année, pour les fêtes, le centre vous offre une ambiance de Noël galactique avec une sélection de délicatesses de saison, une décoration qui sent bon les sapins et un bon vin chaud pour compléter une ambiance de Noël qui, pour la première fois en 30 ans vous permettra de vivre la magie de Noël sur orbite.CONTACT PRESSEMuriel GILBERTDirectrice MarComMuriel.Gilbert@eurospacecenter.be