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Travaux - Page 40

  • Le viaduc de l'E40 à Herstal en chantier pour 2,5 ans: 100.000 véhicules y passent tous les jours

     

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     C’est l’endroit autoroutier le plus fréquenté de Wallonie. 100.000 véhicules y passent tous les jours et il va être en chantier pour 2,5 ans. Le but est de le réparer et de l’élargir. Dès la fin de l’année, la vitesse y sera limitée à 70 km/h pour deux ans

    Le SPW et la Sofico viennent d’annoncer ce matin le début des travaux de réhabilitation et d’élargissement du viaduc autoroutier de Herstal sur l’E40. L’ouvrage date des années 60 et a beaucoup vieilli. Et l’augmentation du trafic exige de l’élargir pour créer une bande d’arrêt d’urgence dans chaque sens. On en profitera également pour créer une quatrième bande dans le sens vers Aix afin de remettre en service l’accès à l’E40 via le centre de Herstal.

    Ces six premiers mois, les automobilistes ne verront pas la différence : on construit un viaduc de circulation supplémentaire en amont. Par contre dès la fin de l’année, les six bandes de circulation (trois dans chaque sens) seront rétrécies et la vitesse sera limitée à 70 km/h jusqu’à la fin de l’année 2016 ! Et durant 15 jours dans le courant de l’année 2016, il n’y aura plus que deux bandes de circulation vers Bruxelles.

    Ces travaux sont vraiment indispensables mais ils vont entraîner de sérieux ralentissements de circulation pendant deux ans. Autant savoir… (Luc Gochel)

    Lien permanent Catégories : Travaux
  • Visé : aménagement du centre ville et de la place Reine Astrid

    Vise ville logo Couleu_fmt.jpegDepuis quelques jours, une pétition circule dans la Ville. La pétition, tout en étant une procédure constitutionnellement démocratique, est un outil à risque puisque chacun y adhère avec un état de connaissances et de compréhension de la problématique, fatalement souvent limité. Et dans ce cas, malheureusement, des rumeurs tout à fait incorrectes se sont répandues.

    Dès lors le collège communal tient à clarifier l’état de la question.

    Quels objectifs poursuivons-nous ?

    - réaliser des aménagements qui améliorent l’attractivité et la convivialité de Visé, et qui embellissent la ville. Les récents aménagements de la place du marché-collégiale constituent notre (et votre) référence.

    - augmenter la capacité de parcage pour le centre ville car la vitalité de notre commerce est une priorité pour tous

    Il n’est absolument pas question de supprimer les arbres sur les boulevards, de délocaliser le marché, de supprimer le système de zone bleue, de faire un piétonnier rues Haute et du Collège….

    Quel est l’état des dossiers en cours ?

    1) le dossier de l’avenue Albert Ier : l’objectif est de créer 100 places de parking publiques enterrées (+40 par rapport à la situation actuelle) dans une promotion privée et la gratuité de la première heure est acquise par convention. Le permis n’est pas délivré ; après l’enquête publique, la Région Wallonne a demandé des plans modificatifs ; les modifications demandées améliorent le projet pour les riverains immédiats.

    2) Le dossier de la place Reine Astrid : le dossier n’est pas neuf et a fait l’objet de différentes démarches concertées et collégiales (concours d’idées, jury avec participation citoyenne, notamment le commerce visétois, exposition, avis de la Région Wallonne). Le collège a remis un avant-projet en septembre 2013 remanié avec création de nouvelles places de stationnement (une trentaine d'emplacement en moins sur la place, donc un total supplémentaire par rapport à la situation actuelle). A partir de mars 2014 le collège a 12 mois pour remettre le projet définitif ; un subside en revitalisation urbaine de 1.250.000€ y est lié.

    3) Au dossier de la place Reine Astrid, un plan de circulation modifié est joint. Ce plan est une hypothèse et le subside en revitalisation n’y est pas lié. A ce stade il est normal que des mandataires, des techniciens et finalement l'ensemble de la population y réfléchissent. Toute modification à la circulation doit être une réelle plus-value, sinon il est préférable de s’abstenir. La réflexion sur le plan de circulation est indépendante du projet de place Reine Astrid et ne lui est pas impérativement liée. L'aménagement de la place permettra une évaluation permanente des meilleurs modes de circulation à Visé, toutes les options demeurant ouvertes.

    4) le stationnement avenue de Navagne : le collège travaille intensément avec la SNCB pour augmenter l’offre de parcage sur les terrains de la SNCB. Des solutions de court et de moyen-long terme sont ébauchées.

    Nous restons à votre disposition et à votre écoute et poursuivrons la concertation avec l’association du commerce visétois et aussi avec les autres Visétois.

    Le DG secrétaire communal    Le bourgmestre       Le premier échevin

            Ch. HAVARD                     M. NEVEN                  L. LEJEUNE

  • Ce lundi dans La Meuse

    0001PJ.jpeg- Farid le fou, le nouveau "Roi" de la prison d'Andenne

    - Le Jack russel, champion des abandons

    -  Basse-Meuse : le point sur les chantiers du printemps

    - Tentative d"'évasion à la voiture bélier à la prison de Saint-Gilles

    - Taxes communales en région en Basse-Meuse : c'est Visé qui taxe le plus, Blegny et Juprelle le moins 

    - Les enjeux des élections

    - Richelle : Jean K. voulait récupérer son dû

    - Comme tous les jours, notre BD Bad Bartje

    - Le nouvel ami de Valérie Trierweiler n'est ni président ni acteur, c'est un Américain de 52 ans

    - Foot : à 4 en 3 points, le suspense reste total

    - Standard : un bon point au caractère

    - Cyclisme : Tom Boonen lance la victoire de Terpstra

  • Canal Albert : trois ponts de la Basse Meuse trop bas pour le Trilogiport!

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    Alors que la Flandre se prépare à rehausser ses 62 ponts surplombant le canal Albert pour augmenter la capacité de transport de ses péniches, la Wallonie se tâte encore. Alors que seuls trois ouvrages, tous situés en région liégeoise, sont concernés. Et que l’avenir du futur Trilogiport est lui aussi en jeu.

    Le canal Albert, c’est un peu l’autoroute fluviale, celle par laquelle transitent chaque année 40.000 tonnes de marchandises. Mais elle est victime de son succès. Et l’arrivée annoncée du Trilogiport à Hermalle risque de doper plus encore le transport de conteneurs.

    D’autant que le Port Autonome de Liège (PAL), le port d’Anvers et le gestionnaire du canal Albert, NV De Scheepvaart, viennent de signer un accord de collaboration visant notamment à promouvoir les terminaux à conteneurs situés le long du canal.

    Mais encore faut-il que le canal soit capable d’assimiler ce trafic supplémentaire attendu. Du côté flamand, on promet donc de rehausser d’ici 2020 les 62 ponts installés sur son territoire afin de permettre aux bateaux fluviaux de transporter quatre couches de conteneurs, contre trois aujourd’hui.

    Une augmentation de la capacité de chargement d’un tiers qui rendra évidemment le transport fluvial plus attractif encore. A condition toutefois que les trois derniers ponts situés sur le canal Albert, tous en Wallonie, soient eux aussi adaptés. Sans quoi les barges à quatre étages se heurteront, au propre comme au figuré, à des obstacles majeurs une fois la frontière wallonne franchie. Mais ce n’est manifestement pas encore gagné…

    « Ces trois ponts sont situés entre la frontière linguistique et le Trilogiport, explique-t-on au Port autonome de Liège. Nous avons déjà sensibilisé le gouvernement wallon à l’importance de les rehausser également, mais rien n’est budgétisé pour l’instant. Mais nous allons continuer…  »

    Les ponts de :

     

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    Lanaye 

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    Lixhe

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    Haccourt

    ne permettront pas le passage des barges chargées de 4 rangs de conteneurs. 

     Une question de budget et de priorités, rétorque Yvon Loyaerts, le directeur général des Voies Hydrauliques. «  Si la Région wallonne était une région très riche et pouvait dépenser sans compter, on pourrait le faire. Mais ce n’est pas le cas. Or, il faut se rendre du coût de tels chantiers. Souvent, il faut reconstruire le pont, mais aussi réaménager les voiries ou les voies de chemin de fer qui passent dessus  ». La priorité, c’est donc la construction de nouvelles écluses, comme celle de Lanaye. Pour les ponts, on verra plus tard…

  • Pas contents, les riverains !

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     Le 15 septembre 2013 débutaient les travaux pour la rénovation de la rue St Hadelin et de la rue de Maestricht. Durée des travaux : de 6 à 8 semaines, selon les services des travaux de la ville de Visé et, aujourd’hui, 6 mois plus tard, la partie Visé-Nord n’est toujours pas terminée malgré les promesses du bourgmestre qui avait, en novembre, annoncé la fin des travaux pour le première semaine de décembre. L’accès aux commerces est toujours difficile, les accotements ne sont pas encore stabilisés. En plus du manque à gagner pour certains,  la chaussée présente un danger pour la circulation. En cause : des taques d’égouts qui dépassent le revêtement actuel de plus de 5 cm.

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    Pourquoi, Diable, autant de retard ?

    Nous avons contacté la Direction des routes, au SPW, et monsieur Montalbano, ingénieur, nous a apporté quelques éléments de réponses.

    "A l'origine, explique-t-il, le chantier devait débuter à proximité du collège St Hadelin et se terminer à l'accès d'autoroute de Visé nord, près du pont de chemin de fer. En réalité, il a été prolongé d'environ 800 mètres, nous avons dû travailler jusqu'à la limite de la commune de Mouland. De plus, à divers endroits, dont sous le pont du chemin de fer, la couche de fondation était inadaptée pour recevoir la nouvelle matière de recouvrement, nous avons dû la modifier. Les filets d'eau, initialement prévus en blocs de beton juxtaposés, se sont révélés instables suite au trafic très importants de poids lourds. Il a fallu les remplacer par des filets d'eau en beton coulés d'une pièce, sinon les rigoles n'auraient pas résisté au temps"

    A noter que suite à une erreur de "niveau" de l'entrepreneur concernant ces filets d'eau, le travail a dû être partiellement arraché et recommencé.

    Notre correspondant ajoute encore : " Comme il faut que la température soit d'au moins 8 degrés pour pouvoir placer le tarmac, en période hivernale, les usines qui le fabriquent cessent leur production et en profitent pour effectuer l'entretien des machines. Le matériau n'était donc pas disponible.n Une réunion est prévue cette semaine avec les entreprises concernées afin de pouvoir établir le planning de la suite des travaux"

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    Puis, il faudra alors procéder au marquage routier. Heureusement, le chantier est signalé dans les deux sens, et la vitesse y est limitée à 30 km/h. Il ne reste plus aux riverains et aux usagers qu'a faire preuve de patience, mais pour combien de temps encore ? 

    (Texte et photos : P Neufcour)