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  • Quelques titres de La Meuse

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    - Liège : SDF dealer arrêté. Sarah a été droguée et sodomisée avant sa mort

    - Esneux : Belgium's got talent : la guitariste sans mains (12 ans) en demi-finale

    - Autoroute des Ardennes : un mort et trois blessés graves à Harzé

    - Grand prix de F1 à Francorchamps : Didier Defourny condamné à 18 mois

    - Nature : déranger un cerf qui brame coute cher

    - Travaux routiers : des bandes vibrantes pour sécuriser les chantiers

    - Façades de Wallonie : plus d'argent pour payer les primes

    - Vivez "branché" 100 % online

    - Football : Eden Hazard rêve du ballon d'or

    - Judo : Charline Van Snick risque de perdre sa médaille des mondiaux de Rio

  • Michel Hofman, Président du PS visétois, réagit au communiqué de Bernard Aussems

    DSC_0013.jpgNous avons été contacté cet avant-midi par Michel Hofman, qui, au nom du PS, désire réagir à la publication hier soir, d'un communiqué de Bernard Aussems, Président du CPAS. Selon le PS visétois,  le communiqué du président du CPAS (cdH) ne serait qu'une réponse à son communiqué rédigé le 24 octobre et paru dans "Visé Magazine" en ce début de semaine. Vous lirez ci-dessous, le texte intégral que le Président de la section visétoise du PS nous a fait parvenir


    LICENCIEMENTS ET SUPPRESSION DE SERVICES

     

    La Ville de Visé doit faire face à des difficultés financières importantes. En effet, elle présente un déficit annuel de l’ordre de 600.000 € et elle est fortement endettée.

     

    Dans ce contexte, le Bourgmestre et les membres de sa majorité actuelle, après avoir licencié 6 personnes en début d’année, impose au CPAS de Visé de réduire ses dépenses.

     

    Cette injonction a été suivie par le Président du CPAS qui a proposé la suppression de deux services.

     

    Après la suppression du service des « Titres services » il y a quelques mois, c’est le service des « Aides ménagères » qui a été fermé la semaine dernière.

     

    Hier, une étape supplémentaire a été franchie en licenciant encore 3 personnes parmi le personnel de la cuisine et de l’entretien.

     

    Au total, 14 personnes ont ainsi été licenciées par le CPAS de Visé.

     

    Le Groupe PS a voté contre toutes ces mesures douloureuses pour le personnel concerné et pour la population qui avait recours à ces services.

     

    D’autres solutions existent pour redresser les finances communales. La plupart des communes de l’arrondissement de Liège ont d’ailleurs décidé de ne pas licencier leur personnel.

     

    Nous avons proposé au collège MR-CDH de réfléchir, au-delà des clivages politiques, aux autres solutions qui pourraient être mises en œuvre progressivement pour redresser la barre et éviter les licenciements.

     

    A ce jour, pour des raisons dogmatiques, notre proposition constructive n’a malheureusement pas encore été acceptée par la majorité actuelle.

     

    Par ailleurs, la Directrice Financière déclare dans un rapport récent relatif au budget 2013 que : « des mesures plus drastiques devront être prises pour 2014 ».

     

    Ces déclarations sont très inquiétantes et il semble que d’autres vagues de licenciements soient à craindre.

     

    Nous continuerons à plaider pour éviter d’autres licenciements et pour maintenir les services à la population.

     

    Pour le Groupe PS,

     

    Michel HOFMAN


  • Le billet du C.A.L Basse-Meuse

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    Les cours philosophiques en questions

     

    C’est le thème développé dans « Salut § Fraternité » le trimestriel du Centre d’Action Laïque (CAL) de la Province de Liège  n° 83 et je vous en livre la première page :

    « L’idée d’un cours de philosophie et d’éducation à la citoyenneté, donné dans l’enseignement officiel, est dans l’air depuis plusieurs années maintenant.
    Si le débat ne date pas d’hier, il est revenu en force dernièrement.
    Le 17 janvier 2012, la Ministre Marie-Dominique Simonet proposait la création  d’un « tronc commun » aux cours philosophiques, qui comporterait trois axes : le questionnement philosophique, le dialogue interconvictionnel et l’éducation à la citoyenneté active.

    Pour les associations laïques, le Centre d’étude de l’école publique(CEDEP) en tête, le problème reste entier. Outre que les élèves restent séparés en fonction des convictions religieuses ou philosophiques de leurs parents, les autorités n’ont aucun droit de regard sur le contenu des cours religieux…  voire n’ont même pas accès à leur programme !

    Et la polémique de se poursuivre, alimentée par la Ministre elle-même, qui réclame, un an plus tard, l’instauration d’un cours de morale « vraiment neutre ».

    Un argument de poids penche toutefois en faveur des partisans d’un cours d’éducation philosophique, éthique et citoyenne : trois constitutionnalistes ont conclu que rien ne contraint les parents à inscrire leurs enfants dans un cours philosophique, même si les écoles publiques se doivent de les organiser. L’abandon de ces derniers au profit d’un cours donné à tous les enfants de l’enseignement obligatoire en commun ne paraît donc plus si difficile à réaliser.

    Quels sont les enjeux pour les parties en présence ? Quelle est la position du monde laïque ? Le cours de morale est-il neutre ? Autant de questions sur lesquelles se penche ce numéro de Salut et Fraternité. »

    Pour vous le procurer, vous pouvez vous rendre au CAL Province de Liège, Boulevard d’Avroy, 86, 4000 Liège ou le demander  à l’adresse info@calliege.be ,  ou au téléphone : 042327040.  Bonne lecture et bonne réflexion !

    C.Dethioux, vice-présidente de Culture et Action Laïque de la Basse-Meuse

  • Ce matin La Meuse vous propose

    0001dp.jpeg- Sécurité routière : délits de fuite en Wallonie, + 16% en 3 ans

    - Grâce-Hollogne : la Nonna écrasée deux fois! le chauffard est en fuite

    - Polémique : 154.000 € pour le voyage de De Crem en Afrique du Sud

    - Communes : en difficulté, elles virent des fonctionnaires

    - Herstal, un entrepôt détruit par les flammes

    - Licenciements évités : Blegny sauve 6 emplois

    - Météo : "Christian" n'a pas fait beaucoup de dégâts

    - Finances : les communes peuvent même taxer les poneys. Un catalogue recense les taxes autorisées, certaines sont... surprenantes!

    - Au volant, 71 % des Belges se sentent agressés

    - Politique : Maggie fait peur aux réfugiés

    - Trop de primes pour les fonctionnaires de l'Intérieur

    - 25 % de Belges en plus à l'étranger en 10 ans

    - Philippe : 100 jour d'état de grâce... royale

    - Etc, etc...

     

     

  • Visé : Le Président du CPAS de Visé informe

    DSC_0015.jpgLes importantes difficultés budgétaires que connaissent la plupart des communes et des CPAS nous ont amenés à prendre des décisions douloureuses tant lors de l’adoption du budget 2013 que celui  de 2014 en cours d’élaboration.  Ces décisions, prises en concertation avec la Ville, l’ont été afin de garantir l’équilibre budgétaire de ces deux entités communales ainsi que la viabilité des services rendus à la population.

    Ainsi, en  octobre 2013, le conseil de l’action sociale, en ayant débattu préalablement et démocratiquement en bureau permanent, a  décidé de supprimer le service des « Aide-ménagères » (7 agents concernés) après avoir dû supprimer précédemment celui des « titres-service » (6 agents concernés). 

    De plus, ce 23 octobre 2013, ce même conseil vient de décider de se séparer de 3 agents sur base de critères que nous avons voulus être les plus objectifs possible. Nous tenons à préciser que l’ensemble de ces agents n’ont commis aucune faute ; il ne s’agit en aucun cas de licenciement pour faute grave.

    Nous tenons également à souligner, qu’après avoir reclassé, notamment en interne, les 6 agents concernés par la suppression des « titres-service », nous étudions toutes les possibilités pour pouvoir  également retrouver de l’emploi pour les autres.   Celles-ci sont réelles tant pour les agents concernés par la suppression du service aide-ménagères que pour les  autres ; l’hypothèse notamment d’un reclassement dans le secteur des titres services devrait pouvoir être confirmée dans les prochaines semaines.  Les solutions envisagées devraient donc également permettre aux bénéficiaires de retrouver un service similaire tout comme ce fut les cas lors de la suppression des « titres-service ».

    Ces décisions difficiles, prises à contrecœur, ont donc été réfléchies afin de limiter au maximum leurs impacts sociaux et humains tant pour les agents que pour les bénéficiaires. 

    Tout en restant à l’écoute de chacun,


    Bernard Aussems,

    Président du CPAS de Visé